En réponse à Robert Barberis-Gervais
Analyse d'un putch raté
Ou les coulisses du putch
Ma vision du putch raté est la suivante. Tout cela débute au moment ou le Parti Québécois décide démocratiquement de foutre à la porte le SPQ Libre, groupuscule ayant à peine 300 membres en règle. À chaque conseil national, les journalistes faisant le pied de grue aux portes du CNPP ne voulait qu’interviewer MM. Dubuc et Laviolette comme si leurs opinions réflétaient celles de la majorité silencieuse des membres du...



Quand un anglophone apprend le français, en dehors de ceux qui le font par intérêt et pour pouvoir tenir leur fonctions, c est pour le plaisir et l amour de notre culture. Il faudrait tout simplement qu il puisse en être de même pour nous. Mais le seul motif pour lequel l anglais devient nécessaire sous les régim...










