Économie - Québec dans le monde

Québec

Le Québec inc. en Italie



Au moins trois grandes sociétés québécoises, inscrites en Bourse, sont installées en Italie. Bombardier La division Bombardier Transport est l'un des principaux fabricants de matériel roulant d'Italie (locomotives, trains à grande vitesse, navettes, etc.). Elle participe à certains des projets les plus importants du pays. Quelque 500 personnes travaillent à son usine de Vado Ligure. Elle possède également un...

Sept clés pour réussir au pays du ballon rond



Rodgers, Caroline - Les Québécois et les Italiens ont beaucoup de choses en commun. Mais ils ont aussi des différences qu'il vaut mieux connaître avant de se lancer en affaires en Italie. Et la meilleure façon de gérer cette différence, c'est de la comprendre. La Presse a recueilli quelques conseils d'Italo-Québécois et d'amis de l'Italie qui connaissent bien ce qu'on appelle "le système". ...

Des liens à faire grandir

Le courant passe bien entre le Québec et l'Italie.


Rodgers, Caroline - Non seulement leurs peuples partagent-ils une culture latine, mais leurs économies se sont toutes deux bâties sur l'ingéniosité de leurs PME. C'est pourquoi leurs liens ont grandi au fil du temps. L'Italie fait partie des huit premiers partenaires commerciaux du Québec. Au cours des cinq dernières années, les exportations québécoises en Italie ont bondi de 352 millions à 1,...

"L'état de la nation"



L'état de la nation Jean-François Lessard collection : petite collection Liber, 2007 Où en sont la nation et l’État à l’ère de la mondialisation et de la globalisation? L’éloignement l’un de l’a...

"Dérive globale"



Essais et Documents Dérive globale Dorval Brunelle Dorval Brunelle revient sur les fondements de l’ordre mondial d’après-guerre, tels qu’ils se lisent dans les propos de ses architectes d’alors....

Des limites au rôle de la Caisse



Dans le cadre du débat actuel sur le rôle de la Caisse de dépôt et placement du Québec, M. Dumont tente une relation «cause à effet» en déplorant que seulement 8% des actifs de la Caisse sont directement investis dans notre économie. Le chef de l'ADQ prétend que la Caisse devrait jouer un rôle plus important pour empêcher les entreprises étrangères de «nous dépouiller de nos richesses». La Fédération des Chambre...

Why we're creating the Canadian International Council

The CIC will be a Canadian player among global foreign relations councils


The days are long gone when Canadians could believe they lived in a fireproof house, insulated from world events. A glance at the front pages of this newspaper most days is enough to confirm that we are global citizens living amid dangerous, deep-seated problems -- including those in Iraq, Afghanistan, Darfur and the Congo, to name only the bloodiest; to al-Qaeda, the Taliban and the Janjaweed, the most murd...

Autonomie économique : un devoir de leadership



C'est en spectateur que le gouvernement a assisté, depuis 2003, à la prise de contrôle par des intérêts étrangers de plusieurs entreprises. À la liste déjà longue des Domtar, Abitibi Consol, Cambior, Sico et Molson, se sont ajoutées, dans les derniers mois, Alcan et BCE.

La Caisse reprend sa mise



Cela dit, le principal acquéreur de Bell Canada, c’est Teachers, le régime de retraite des enseignants de l’Ontario. Teachers n’a pas la réputation de jouer au "Monopoly" avec ses placements. Si Teachers a décidé d’investir massivement dans Bell Canada, c’est parce que cette entreprise québécoise représente aux yeux de ses dirigeants un solide placement.

Mario et le syndrome Tim Hortons



Mais l'ADQ est bien davantage un parti populiste qu'un authentique parti conservateur.

WOW - qui savait que Teachers et Rio Tinto jouaient au "Monopoly" ?

Entre interventionnisme et <i>Monopoly</i>



Jean Charest est persuadé du contraire. «Mario Dumont est en train de dire qu'il est prêt à jouer au Monopoly avec l'argent durement gagné par les retraités du Québec», a lancé le premier ministre, qui participait lui aussi à une réunion du caucus de son parti hier.

Perspectives

Une caisse interventionniste?

Mario Dumont n'a pas tort d'interpeller ainsi la Caisse de dépôt en ces lendemains de BCE et d'Alcan.


Bref, il faudrait peut-être laisser la Caisse faire son métier de gestionnaire de caisses de retraite. Ce qui n'empêche pas de lui rappeler, de temps à autre, qu'elle ne peut demeurer insensible lorsque les intérêts économiques du Québec sont menacés, et ce, sans compromettre son impératif de rendement. Qu'elle seule dispose de cette force financière pouvant influencer le déroulement des choses.

Clarifiez, M. Dumont!



Dans l'esprit de bien des Québécois, Mario Dumont sera le prochain premier ministre du Québec. Ils attendent seulement qu'il leur fasse la preuve que sa maîtrise des dossiers, son sens des responsabilités et la compétence de son équipe sont à la hauteur de la tâche. Malheureusement, depuis qu'il est chef de l'opposition officielle, le leader adéquiste tend plutôt à faire la démonstration du contraire. Ai...

Il faut s'opposer à la vente de l'Alcan à des intérêts étrangers

À tout prendre, il est peu probable que cette transaction soit à l'avantage du Canada, et n'apparaît certainement pas être à l'avantage du Québec.


Par son côté symbolique et pratique, je suis d'avis que cette vente à gros prix, annoncée le 12 juillet 2007, si elle est acceptée par les gouvernements fédéral et provincial, marquera officiellement la fin de la Révolution tranquille. Elle représentera une abdication et une capitulation tant des gouvernements québécois et canadien que de la classe d'affaires québécoise.

Le cri du coeur de Caldwell



Vendredi dernier, Thomas S. Caldwell, président de Caldwell Securities Ltd, une firme torontoise de conseils en placements, s'est payé une pleine page de publicité dans deux journaux anglophones nationaux pour dénoncer la vente d'entreprises canadiennes à des intérêts étrangers. Geste courageux ou intéressé, le fait est que la liquidation d'actifs en cours fait des ravages. Comme l'a rapporté [Le Devoir samedi derni...

Cri du coeur à Bay Street



Une firme de Toronto dénonce la perte de leadership et de sièges sociaux canadiens Se payant une page complète dans le Globe and Mail et le National Post, une firme de placement bien connue à Bay Street a dénoncé haut et fort hier les circonstances particulières dans lesquelles nombre de sociétés canadiennes ont été vendues à des intérêts étrangers depuis un an. Dans un texte d'une éclatante limpidité, le préside...

Vente d'Alcan: Pactole de 110 millions pour la direction



Vallières, Martin - Toronto - S'il a lieu tel que prévu, l'achat d'Alcan par le géant britannique Rio Tinto vaudra au moins 110 millions de dollars en primes et gains divers à ses cadres et ses hauts dirigeants. Ce pactole pourrait même atteindre quelque 138 millions, si ces dirigeants obtiennent aussi l'indemnisation prévue en cas de perte de leur poste, après un changement de contrôle de la multinationale mon...

Alcan fortement convoité



Si les États sont affaiblis par la mondialisation, il apparaît clair que les régions et les villes peuvent venir à la rescousse par l'entremise d'une certaine régulation de proximité, dont les modalités s'inventent progressivement ici et là autour de composantes telles que la stabilité opérationnelle, la formation de la main-d'oeuvre, la R&D, les relations d'affaires avec les services spécialisés, la structuration de filières industrielles et la vie communautaire.

Alcan vendu: il faut réagir!



Ce qui frappe lorsque l'on situe l'acquisition d'Alcan par Rio Tinto dans un contexte plus large que celui qui anime les amnésiques marchés financiers, c'est l'impuissance, réelle ou feinte, de toutes les parties opposées à cette prise de contrôle ou à tout le moins inquiètes de cette transaction. Voyons qui ne souhaitait pas cette transaction: - La direction d'Alcan qui avoue qu'elle aurait souh...

Danger en vue



Alcan, l'un des plus beaux joyaux industriels du Canada, ne sera plus canadienne une fois qu'aura été approuvée son acquisition par Rio Tinto au montant de 38 milliards de dollars. Il s'agit d'une autre prise de contrôle d'une société canadienne par des intérêts étrangers, qui s'ajoute à des centaines d'autres effectuées ces cinq dernières années. Le phénomène est inquiétant et il y a lieu de soulever des questions. ...

Le groupe Rio Tinto défend son acquisition d'Alcan

L'entreprise anglo-australienne justifie sa prise par l'explosion de la demande chinoise


La haute direction d'Alcan et celle de Rio Tinto lors de l'annonce de la transaction entre les deux compagnies, jeudi. Photo: Jacques Nadeau AP - Sydney, Australie -- Le directeur général de Rio Tinto a justifié hier par l'explosion de la demande chinoise la pertinence du rachat par le groupe minier anglo-australien du Canadien Alcan pour la somme élevée de...

Rio Tinto, 134 ans et toutes ses dents

La compagnie est présente au Québec depuis 1950


En intégrant les actifs d'Alcan aux siens, Rio Tinto se propulse littéralement au premier rang mondial dans l'industrie de l'aluminium, de la bauxite et de la technologie d'électrolyse. Alcan est une compagnie centenaire, mais Rio Tinto, qui en deviendra vraisemblablement propriétaire dans quelques mois, est encore plus ancienne. Ses origines remontent à 1873, alors que des investisseurs anglais mettaient sur...

Le Canada vend ses joyaux économiques

Mais pourquoi les entreprises étrangères comme Alcoa et Rio Tinto tiennent tant à mettre le grappin sur la société Alcan?


(...) l'absorption d'Alcan par Rio Tinto permet à cette dernière d'acquérir les substantielles concessions hydroélectriques que le Gouvernement du Québec a consenties à Alcan tout au long du 20ième siècle.

Rio Tinto avale Alcan

Un alliage de 38 milliards $US pour ce joyau québécois centenaire


La mort dans l'âme, Yves Fortier, président du joyau centenaire de l'industrie canadienne qu'est Alcan, a simplement avoué qu'il a «fallu faire contre mauvaise fortune bon coeur» et accepter «l'offre de loin la meilleure», celle de Rio Tinto, qui met sur la table 38,1 milliards de dollars américains comptants pour acquérir toutes ses actions. Mais Alcan n'était pas du tout à vendre, a insisté M. Fortier. C'est l...

Une industrie en fusion



L'activité des fusions-acquisitions dans le secteur des métaux est à ce point intense qu'Alcoa, prétendante déchue d'Alcan, est désormais dans la mire des grands groupes mondiaux. Si la Chine, l'Inde, la Russie, le Brésil et l'Australie s'y relancent à qui mieux mieux, on s'attend à ce que l'entrée en scène des fonds d'investissement vienne accélérer le rythme déjà effréné et faire monter les enchères. Des ench...

Belle transaction, mais

L'acquisition d'Alcan par Rio Tinto rappelle notre incapacité à survivre dans la jungle de la mise en valeur des richesses naturelles


C'est une transaction bien ficelée que le président du conseil d'Alcan, Yves Fortier, était fier de présenter hier matin lors de la conférence de presse annonçant l'acquisition de la société de la rue Sherbrooke par Rio Tinto. Pourtant, M. Fortier reconnaissait avoir un "motton dans la gorge" en acceptant l'offre de 38milliards$US du groupe britannique. La dernière grande compagnie canadienne indépendante dan...

"Un mariage de raison"



par Mercure, Philippe; Cousineau, Sophie - Le président d'Alcan, Dick Evans, et celui de Rio Tinto, Tom Albanese, viennent de s'entendre sur un "mariage de raison" qui risque de déboucher sur la plus grosse transaction minière de l'histoire. La Presse Affaires s'est entretenue avec les deux hommes. Q Alcan a annoncé ce matin dans la foulée de la transaction avec Rio Tinto que sa division d'emballage serait vendue...

Qui est Rio Tinto?



Le principal prétendant d'Alcan, Rio Tinto Group, est une force dominante dans un groupe d'élite des plus grosses sociétés minières au monde en compagnie de BHP Billiton et de CVRD. Rio Tinto se targue d'être le deuxième producteur mondial de charbon et d'uranium, le troisième producteur de diamants au chapitre du poids des carats, et le quatrième producteur mondial de cuivre. L'acquisition d'Alcan en ferait ...

Alcan takeover fuels economic worry



par STEVEN CHASE and ANDY HOFFMAN AND SINCLAIR STEWART - The biggest foreign takeover in Canadian history has added new fuel to the corporate “hollowing out” fears buffeting Ottawa after London-based Rio Tinto Thursday struck a $38-billion (U.S.) deal to buy the 105-year-old aluminum maker Alcan Inc. of Montreal. The friendly transaction, which the Harper government must approve, is sure to worry eco...

A great deal for Quebec and Canada



Editorial - At the Rio Tinto Alcan takeover news conference at noon yesterday, Yves Fortier, the Prime Minister of Alcan, laid out the harsh terms the corporate state of Alcan had extracted from Rio Tinto after days of tough "bite-the-bullet" negotiations. Rio Tinto has guaranteed, in writing, the "maintenance of our cultural and other community commitments, which include certain flagship activities, such as ...