Tirer sa révérence... et ce n’est pas un canular
Disons-le tout de suite, il n’y a rien d’un canular dans la présente chronique, qui sera ma dernière sur cette tribune. Les lecteurs ont certainement observé que, depuis le 9 septembre dernier, je n’ai tout simplement pas eu le temps d’écrire une seule ligne, et le facteur temps est un concept très important à considérer ici. A la fin de l’été dernier j’avais mentionné, au retour des vacances estivales, que mes c...