Actualité québécoise - Rapport Duchesneau

Duchesneau has a job to do before basking in glory



It's beginning to look as though Jacques Duchesneau's soaring media profile is beginning to go to his head. The leader of the anti-corruption squad assigned to investigate dirty dealings in Quebec's construction industry has made headlines and led newscasts since last week's leak of an explosive report by the squad that suggests the problem is worse than was even suspected. It includes allegations that ...

Duchesneau pour une commission d'enquête à huis clos plutôt que publique



Affirmant qu'il a toujours affirmé qu'il était pour une commission d'enquête, M. Duchesneau explique sa position en déclarant qu'il serait précoce de tenir une commission d'enquête publique tout de suite. Cette commission à huis clos constitue « un moyen terme » entre l'absence de commission et une commission publique.

Rapport Duchesneau

Le principe de réalité



L'UPAC, a dit hier le premier ministre Jean Charest, a tous les pouvoirs pour enquêter partout où il y a des contrats de construction, et personne n'est exempté. Fort bien. Mais il faudra d'abord que ces beaux principes se répercutent sur le terrain, et au premier chef au ministère des Transports. Admettons pour un moment la logique gouvernementale voulant qu'il n'y ait pas nécessité de tenir une enquête publiq...

Des questions à M. Duchesneau



Le chef de l'Unité anticollusion du ministère des Transports, Jacques Duchesneau, devrait comparaître bientôt devant une commission parlementaire pour répondre aux questions des députés au sujet du rapport-choc qu'il a rédigé. C'est une fort bonne chose car ce rapport soulève, en effet, beaucoup de questions. Plusieurs se sont indignés du commentaire du président de SNC-Lavalin, Pierre Duhaime, qui a dit trouve...

Lors de sa comparution en commission sur l'administration publique

Des questions à poser à Jacques Duchesneau



Voilà qui pousse à conclure que Jacques Duchesneau a déjà sa petite idée sur les personnes ou firmes qui auraient usé de corruption et, par extension, sur ceux et celles de nos élus qui en auraient profité.

Jacques Duchesneau au Devoir

«Le problème est plus grave qu'on pense»

Le patron de l'Unité anticollusion a hâte d'expliquer son rapport devant les élus à Québec


Kathleen Lévesque - Jacques Duchesneau est impatient de comparaître en commission parle...

Construction

Charest sous pression

Des manifestations se préparent dans plus d'une ville pour dénoncer le refus du premier ministre de tenir une commission d'enquête.


« Vous devez agir en toute liberté. Votre vrai patron, ce n’est pas Jean Charest, c’est la population québécoise. [...] Nous avons tous été élus par les Québécoises et les Québécois. En dernière instance, notre ultime loyauté, qui transcende les partis, c’est notre loyauté envers la population québécoise » - Pauline Marois

La corruption au Québec

L'heure de Jacques Duchesneau a-t-elle sonné?



Les pans de ponts qui tombent ne sont plus la seule preuve qu'il y a quelque chose de pourri dans la construction. Les langues ont commencé de se délier. L'omertà et la peur reculent. La population avait déjà compris qu'il ne s'agit plus d'envoyer quelques individus en prison. Le rapport Duchesneau le confirme: c'est une vaste organisation de pillage camouflé qu'il faut démanteler. Bientôt, la question ne sera plus de savoir quelle enquête y parviendra, mais quel vrai gouvernement va l'instituer.

L'autre rapport

une ère nouvelle dans les relations de travail...


La ministre du Travail, Lise Thériault, a fait savoir qu'elle déposera cet automne un projet de loi visant à mettre en oeuvre toutes les recommandations dudit rapport. Selon Mme Thériault, ce projet de loi marquera «le début d'une ère nouvelle dans les relations de travail» au sein de cette industrie.

La UNE de Vigile

Le roi est nu !



http://www.985fm.ca/audioplayer.php?mp3=111684 *** «Nous avons découvert un univers clandestin et bien enraciné, d'une ampleur insoupçonnée, néfaste pour notre société aussi bien sur le plan de la sécurité et de l'économie que sur celui de la justice et de la démocratie.» Rapport Duchesneau ***

Le talon d'Achille

Mais si l'on veut assainir le climat politique et social, il faut prendre le taureau par les cornes et oser aller au coeur du problème, celui du financement des partis politiques. Il est là le talon d'Achille de toutes ces histoires.


Cette crise morale qui traverse l’industrie de la construction et le monde politique est devenue l’affaire de tous

Éthique d'affaires

Les escrocs respectables

Le roi est nu! Et si sa photo n'est pas encore parue à la une des journaux, menottes aux poings, ce n'est peut-être qu'une question de temps.


Malgré ce qu'en pense le premier ministre Charest, le rapport de l'Unité anticollusion confirme sans détour que la corruption, la fraude et le favoritisme sont érigés en système dans l'une des plus importantes industries du Québec. Les escrocs sont des ingénieurs, des entrepreneurs, des fonctionnaires et même des politiciens. Une élite qui refuse encore d'admettre qu'elle a dépassé les bornes en sac...

Collusion et corruption

Lettre à un jeune ingénieur



La société espère secrètement que des ingénieurs bénéficient encore et toujours de cette indépendance d’esprit, de cette autonomie et de...

Le prix de la réingénierie

Il est vrai que le Québec n'a pas le monopole de la corruption, comme le premier ministre l'a plaidé, mais tous les gouvernements ne se sont pas départis à ce point des moyens de la combattre.


Le gouvernement Charest avait réclamé des excuses publiques l'an dernier quand le magazine Macleans avait affirmé que le Québec était la province la plus corrompue de la fédération. Depuis deux semaines, il est en possession d'un rapport de ses propres enquêteurs, qui explique qu'un «empire malfaisant» contrôlé par la mafia est en voie de prendre le contrôle de certaines fonctions de l'État. Et le premier ministr...

Rapport Duchesneau

Marois somme Charest de démissionner

Le premier ministre dit ne pas avoir lu le rapport Duchesneau, qu'il réduit à des allégations


«Il faut faire la part des choses. Quand, objectivement, on fait l’examen des faits, on arrive à quelle conclusion? Il peut y avoir des allégations, il peut y avoir des gens qui pensent des choses. Mais entre penser des choses, des allégations et la réalité des faits, il y a une distance. [...]. Il ne faut pas tomber dans les exagérations», a déclaré hier le premier ministre.

Mafia 1; peuple 0

Québec coupe 800 millions

Le Conseil du trésor a refusé de révéler le détail des montants coupés pour chacun des ministères.


Ces nouvelles compressions dictées par la présidente du Conseil du trésor, Michelle Courchesne, seraient en partie dues aux débordements des coûts en transport et ceux liés aux inondations en Montérégie, ainsi qu'aux revenus des exportations, moindres que prévus.

Une lecture obligatoire

Il y a aujourd'hui, entre les Québécois et leur premier ministre, un véritable gouffre. Si M. Charest continue de s'enfermer dans son entêtement, ce gouffre sera bientôt infranchissable. S'il ne l'est pas déjà.


La guerre des polices

C'est néanmoins une contribution importante, qui démonte avec une précision d'horloger les rouages d'un système qui fait systématiquement grimper le prix des chantiers québécois, un système où une dizaine d'entreprises se partagent les trois quarts des contrats.


L'inertie, c'est la muraille d'un JJC assiégé!!! JJC, le héros du NON...

Il n'y a pas que la chasse aux bandits

Mais il faudrait aussi que la lutte à la collusion et à la corruption passe à une autre vitesse, que le gouvernement se dote en quelque sorte d'une cellule de crise, pour agir vite, pour frapper fort, pour lutter contre l'inertie.


«Il faut mettre les bandits en prison», ont clamé à l'unisson les ministres du gouvernement Charest lorsqu'ils ont commenté les nouvelles révélations sur la collusion et la corruption dans l'industrie de la construction. Ce n'est pas la réponse qu'on attendait. Dans le monde décrit dans un rapport secret de Jacques Duchesneau, le dirigeant de l'Unité anticollusion, qui a fait l'objet d'une fuite cette semaine, ...

L'écartèlement

La question, à ce stade-ci, est de savoir combien de temps encore le gouvernement pourra rester en porte-à-faux avec une population de plus en plus exaspérée.


Le député adéquiste François Bonnardel a souligné avec à-propos, hier matin sur son compte Twitter, que sa collègue Sylvie Roy a été la première à réclamer une enquête publique sur le milieu de la construction, il y a maintenant 30 mois. C'est long, en politique, 30 mois. Dans notre monde hypermédiatisé, il est rare qu'une histoire dure plus d'une ou deux semaines. Alors, imaginez, 30 mois... Il doit bien y avo...

À quand le ménage?



Son rapport est courageux. Duchesneau n'a pas craint de se mettre tout le monde à dos: politiciens, entrepreneurs, firmes d'ingénieurs-conseils, fonctionnaires, mafia, motards. Il a un sacré culot. Lui et son équipe. Le gouvernement osera-t-il faire preuve du même courage en créant une commission d'enquête que tous réclament? J'en doute.

Le pire est à venir

La baisse des prix des soumissions pourrait n'être qu'un repli stratégique «présageant une prise de contrôle plus maîtrisée» de l'industrie, craint Duchesneau


Kathleen Lévesque - Jacques Duchesneau craint que la baisse des prix des soumissions constatée depuis la création de l'opération Marteau puis de l'Unité anticollusion ne soit qu'un repli stratégique «présageant une prise de contrôle plus maîtrisée», écrit-il dans son rapport. L'Unité anticollusion, menée jusque-là par M. Duchesneau, estime que cette accalmie a permis au ministère des Transports...

«J'invite quasiment la population à se révolter!»

La présidente du SFPQ perd patience devant les révélations du rapport Duchesneau


Québec — «J'invite quasiment la population à se révolter contre ça», pestait hier la présidente générale du Syndicat de la fonction publique du Québec (SFPQ), Lucie Martineau. Devant les révélations du rapport Duchesneau, sa patience a atteint «ses limites», a-t-elle lancé. Aussi, le SFPQ pourrait organiser une manifestation dès mardi, jour de rentrée parlementaire, devant l'Assemblée nationale, afin de dénoncer le ...

Les demandes d'enquête publique sont relancées



Québec — Les révélations au sujet du rapport Duchesneau ont eu l'effet d'une bombe dans le milieu politique québécois hier, ramenant à l'avant-plan les demandes pour la tenue d'une enquête publique sur l'industrie de la construction. Le ministre des Transports, Pierre Moreau, a beau dire que certains dossiers plus détaillés ont été transférés par M. Duchesneau à l'UPAC, c'est d'une enquête publique que le Qué...

Collusion dans la construction

La peur des libéraux



Le rapport de l'Unité anticollusion dirigée par Jacques Duchesneau confirme ce que tout le Québec sait. Existe au sein du ministère des Transports un système de collusion «d'une ampleur insoupçonnée» pour l'attribution des contrats de travaux publics. Un constat, qui même venant d'une personnalité aussi crédible, n'émeut d'aucune façon le gouvernement Charest qui persiste dans un refus injustifiable de mettre sur ...

Charest réagit au rapport de l'UAC

«Il faut laisser les enquêteurs faire leur travail. Ce dont on a besoin ce sont des preuves. Et on prend les moyens pour obtenir.»


«Le rapport fait partie de plusieurs mesures qui visent à faire le ménage sur l'ensemble des allégations qui ont été portées à notre attention», a exposé le premier ministre.

Collusion dans la construction

Qui dit vrai?

Pierre Moreau affirme que 13 dossiers ont été confiés à l'Unité permanente anticorruption. La police prétend n'avoir rien reçu.


Le ministre estime par ailleurs que le rapport Duchesneau fait office de commission d'enquête puisqu'il a démontré les stratagèmes mis en place par toute une industrie. Il n'a donc pas lieu d'en créer une comme le réclame l'opposition, a plaidé M. Moreau.

Mettre l'État avant le PLQ



Je ne sais pas qui a «coulé» à Radio-Canada et à La Presse le rapport secret de l'UPAC sur les rouages de la corruption et de la collusion au ministère des Transports. Et ce n'est pas important. Mais je suis convaincu d'une chose: la personne qui a donné ce rapport n'a pas confiance en ses maîtres politiques. Sinon, pourquoi faire éclater cette bombe? Il n'y a de toute façon aucune raison de faire confiance aux...

La page 50

Par ailleurs, il ne faut pas faire dire au rapport Duchesneau davantage que ce qu'il dit réellement. En particulier, le document ne permet pas de conclure qu'il existe un système reliant le milieu criminel, les dépassements de coûts sur les chantiers et le financement des formations politiques.


Hier, nous avons souligné combien étaient troublantes les révélations faites par le rapport de l'Unité anticollusion dirigée par M. Jacques Duchesneau. C'est en particulier le cas des informations selon lesquelles le crime organisé profiterait des travaux publics pour blanchir de l'argent et s'enrichir aux dépens des contribuables. Dans l'état actuel des choses, rien d'autre qu'une enquête publique ne calmera la c...