Ça suffit !
Eh ben. On n'a plus les belles-mères qu'on avait. Alors qu'autrefois, les ex-chefs péquistes défiaient leurs successeurs sur le terrain de l'audace, aujourd'hui, Mme Marois et son prédécesseur Bouchard rivalisent dans le renoncement. On aura tout vu. Non mais, qu'avons-nous fait pour mériter cette interminable entreprise de démobilisation ? Les chantres du Canada, pendant que leur pitoyable fabulation ...