Non je n'ai pas peur
Assez de discours mensongers M. Couillard
Pour une deuxième révolution tranquille et l'indépendance
Au lendemain du référendum de 1995, je me retrouvai, par hasard, chez mes parents. Mon père qui était né pour un petit pain, m’accueillit à la porte en se tapant dans les mains, tout sourire, et me dit : Il l’a perdu son référendum ton Parizeau. Sans hésitation je lui répondis : tant et aussi longtemps qu’on chiera dans notre froc, on restera des moutons qui ne savent que suivre docilement. Je ne sais trop pourquoi, m...