L'homme qui manque de jugement
Après un tel parcours, André Boisclair aurait dû avoir la décence de démissionner le soir même des élections. Eh bien non, il s'accroche, il manoeuvre, il gagne du temps, il divise, il vocifère, il plastronne. Aux députés et aux présidents des associations du parti de prendre alors leurs responsabilités, de faire preuve de courage et de lui indiquer la porte de sortie. Non pas à l'automne ou au printemps 2008 mais dès à présent.
Tout le monde y pense, mais personne dans le camp souverainiste ne l’avait dit publiquement. Gérald Larose, lui, a avancé d’un pas. André Boisclair doit partir s’il ne peut montrer, rapidement, qu’il est capable d’avoir le contrôle sur le Parti québécois. Il faut que les choses soient claires et vite.
Et rapidement, cela veut dire avant l’été, a précisé hier à L...

Exaspéré par ce qu'il perçoit comme une opération de déstabilisation organisée par Gilles Duceppe, le chef péquiste André Boisclair a décidé de jeter les gants et de déclarer la guerre au chef bloquiste.
«Je vois des gens qui voudraient nous engager dans des débats précipités. Je dis attention, en particulier quand je vois les intentions que certain...
Presse Canadienne - Les rumeurs l'envoient souvent à Québec prendre la place du chef du Parti québécois (PQ), André Boisclair, mais le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, soutient qu'il a donné des ordres à ses troupes leur défendant d'amorcer des démarches.
À sa sortie des Communes, jeudi, M. Duceppe a insisté sur le fait qu'il avait spécifiquement signalé...
Michel Corbeil - Pendant qu’André Boisclair lutte pour sa survie, le téléphone n’arrête pas de sonner chez les péquistes pour tester l’idée que Gilles Duceppe lui succède à la tête du Parti québécois.
Hier, plusieurs sources ont confirmé au Soleil avoir effectué des appels ou avoir été approchées au sujet de la possibilité que M. Duceppe quitte la direction du Blo...









