Comme en 1995
PROCESSUS ÉLECTORAL
Avec toutes ces erreurs potentielles, volontaires ou non, comment pouvons-nous éviter qu’un parti politique « perdant » refuse de reconnaître le résultat du 7 avril ?
Je me sens dans l’obligation, par la présente, de corriger et compléter les informations contenues dans le communiqué de presse publié samedi par le porte-parole du directeur général des élections (DGE), Denis Dion. À titre de citoyen soucieux du respect du processus électoral, de la franchise à l’égard du public et surtout à titre d’ex-président démissionnaire d’une Commission de révision, j’aimerais soulever les points suivants.