Billet — Louis Lapointe

Le bilinguisme institutionnel canadien selon Bernard Lord



On dit souvent qu’être bilingue au Canada signifie d’abord parler anglais. Les habitants de la péninsule acadienne du Nouveau-Brunswick en ont eu la preuve vivante au cours de la dernière année. Leurs plaintes n’y ont rien fait.

Qui sont les véritables caribous?

Une foi aveugle unit ceux qui croient encore au Canada, celle des vrais Caribous. Faudrait-il les suivre ?


Alors, dites-moi, qui a la foi, ceux qui pensent qu’une prière peut arrêter la pluie ou ceux qui se construisent un abri ? Qui a la foi, ceux qui pensent que le Canada va changer ou ceux qui travaillent à fonder un nouveau pays ? Pas plus qu’une prière ne peut arrêter la pluie, la foi aveugle ne changera pas le Canada.

Série «René, le destin d’un chef» : le silence coupable de la SRC



Tout cela nous prouve bien que le droit de savoir du public et la réputation de la SRC sont des concepts mous dans la bouche de Mario Clément et de son avocat, dont le juge Wagner devra apprécier l’élasticité.

Le problème autochtone québécois: une bombe à retardement amorcée par le gouvernement fédéral



Parce que nous n’avons pas la juridiction sur les populations autochtones qui occupent nos territoires, nous risquons d’être mis devant le fait accompli d’une situation que nous avons contribué à laisser perdurer par notre silence et notre mutisme.

Sarkozy le Libérateur, petit essai de politique-fiction

Après Napoléon et Lafayette, Sarkozy !


Morale de l’histoire, René Lévesque avait bien raison de se méfier des Présidents de la France. À défaut d’un grand comme De Gaulle, on voit ce que pourrait donner la visite d’un petit illuminé avec des airs de grand Empereur!

La cage de Jean Charest



Cependant, si les Québécois aiment que Jean Charest soit en liberté surveillée, ils font plus confiance à Pauline Marois (32%) et au PQ (30%) pour le surveiller, qu’à Mario Dumont (20%) et à son parti, l’ADQ (22%).

L’accident de René Lévesque, destin ou complot contre un premier ministre ?



En visionnant le premier épisode de la série René, le destin d’un chef, mardi soir, je n’ai pu m’empêcher de me rappeler du contenu de deux dépêches de la Presse canadienne parues dans les éditions du Devoir du 2 octobre 2006 et du 7 novembre 2007 ainsi que des évènements du 6 février 1977 qui m’avaient tant marqué à l’époque.

Un pays pour les citoyens du Québec



Dans cette perspective, on ne peut plus parler d’indépendance du Québec sans aussi parler de démarche citoyenne préalable. Pour cette raison, le débat qui doit précéder l’accession à l’indépendance doit porter avant tout sur le pays que nous voulons habiter au quotidien, pas uniquement sur les pouvoirs qui doivent être transférés des fonctionnaires d’Ottawa à ceux de Québec.

Dans le ventre de la baleine



Le moment de vérité est maintenant arrivé. Par le passé, nous avons déjà essayé de prendre le contrôle de la baleine, ça n’a pas fonctionné. À défaut de prendre son contrôle, si nous ne la quittons pas bientôt, comme d’autres avant nous - ces autochtones qu’on traite avec tant de mépris - on va se retrouver dans des aquariums.

Le pont d’or de Capitaine Canada



Qu’est-il advenu de ce fonds. A-t-il été transféré au PLQ ? A-t-il été déposé dans un fonds en fidéicommis au bénéfice de Jean Charest ? A-t-il été utilisé pour l’achat de biens mobiliers ou immobiliers à l’avantage personnel de Jean Charest ? A-t-il été donné ou cédé de quelques manières que ce soit, directement ou indirectement, à Jean Charest ou à des personnes qui lui sont liées ? Plusieurs questions qui demandent de nombreuses explications de la part de Jean Charest !

Trois hirondelles ne font pas le printemps



On entend souvent dire que l’option indépendantiste soulève peu d’enthousiasme. Pourtant, lorsqu’on observe sérieusement la situation, on constate que c’est surtout l’option fédéraliste qui est en panne.

Ça sent la coupe!



Il semble que le PQ ne mettra pas le débat sous le tapis alors que l’accession à l’indépendance redevient son premier objectif. Bref, Madame Marois a repris la tête du classement en fin de semaine. Ça sent la coupe.

La bataille du Québec : Jérôme-Forget vs Marois



S’il y a un fait saillant dans le budget libéral, c’est l’habileté de Monique Jérôme-Forget. Depuis qu’elle a pris les rênes des Finances, la popularité du gouvernement de Jean Charest n’a cessé d’augmenter. Même si tout le monde parle de Philippe Couillard comme étant le dauphin de Jean Charest, nous ne pouvons que constater que c’est sous le tandem Charest/Couillard que le PLQ est passé de majoritaire à minorita...

Dion l’indécis



Tellement pur et obsédé par la clarté, que c'était jamais assez clair pour lui. Pas capable de se décider.

Rémunération secrète de Jean Charest

Le «Qui» et le «Quoi»



Étonnamment, le débat qu’a suscité Jean Charest en avouant avoir reçu 750, 000$ du PLQ depuis 1998 a rapidement dévié sur l’épineux sujet de la juste rémunération des membres de l’Assemblée Nationale, le «Quoi», oblitérant totalement la question de la provenance des fonds, le «Qui».

Expliquez-vous Monsieur Charest !



Lorsque Jean Charest nous avoue volontairement recevoir un salaire de 75,000$ du PLQ depuis dix ans, qu’essaie-t-il de se faire pardonner. Sa maison ? Son chalet ? Ceci expliquerait-il cela ?

Pour mieux investir- Deux solutions pour l’éducation

Le Devoir, (opinion)


Je suis toujours surpris de lire que la première solution au problème du sous-financement des universités est l'augmentation des frais de scolarité alors que la démonstration du sous-financement n'a pas vraiment été faite.