Le coût d'entretien des nouveaux immigrants du tiers-monde en augmentation constante
18 novembre 2016
La journaliste Tania Longpré démontre en plusieurs points l'échec de l'immigration:
Des gens qui quittent biens, familles et carrières à l’étranger et qui réalisent que la vie de rêve québécois qu’on leur vend n’est que du vent, c’est un échec.
Des gens issus de l’immigration économique qui font la file aux banques d’aide alimentaire, c’est un échec.
Des médecins, des dentistes et autres spécialistes qui apprennent que leurs diplômes ne sont pas reconnus, c'est un échec.
Des professionnels sélectionnés pour leurs diplômes qui doivent reprendre la totalité de leurs études, c'est un échec.
Des femmes qui ne veulent rien savoir du marché du travail, c'est un échec.
Des gens scolarisés au chômage durant plusieurs mois, voire plusieurs années, c'est un échec.
Un taux de chômage de plus de 20 % chez les Maghrébins francophones à Montréal, c’est un échec.
Des quartiers de Montréal qui se transforment lentement mais surement en ghettos, c’est un échec.
Des gens qui perdent leur statut social en arrivant ici, c'est un échec.
Les gens qui refusent de suivre des cours de francisation, c'est un échec.
Le gouvernement qui n’offre même pas 5 $ de l’heure comme subvention de francisation, c’est un échec.
Le gouvernement qui n’offre pas d’aide financière aux gens qui désirent se franciser à temps plein plus longtemps, surtout aux professionnels qui veulent apprendre à écrire davantage, c’est un échec.
Le service en français inexistant dans plusieurs restaurants ethniques, c’est un échec.
Des comptables étrangers qui travaillent à découper des poulets dans une usine, c’est un échec.
Un fort pourcentage de jeunes immigrants qui terminent leur secondaire en anglais, c'est un échec.
Les gens qui transitent par le Québec pour aller en Ontario ou en Colombie-Britannique, c'est un échec.
Des immigrants qui votent en bloc pour le parti libéral, c’est un échec.