«il faut dire la vérité au public, ce que les avocats sont incapables de faire parce qu’ils sont trop habitués à la culture du secret»
Le discours réactualisé de Bourassa peut alors se traduire ainsi : non, la nation québécoise n’est pas à vendre.
Il faut que je trouve des réponses au désarroi qui m’habite. C’est pourquoi je vais passer les deux prochains mois à y réfléchir.
Peuple tiraillé<br>empêché de se mouvoir<br>par des élus invertébrés<br>aiguilleurs vers le mouroir.<br>Peuple clôturé<br>gavé de dilatoire<br>en train de se raturer<br>dans sa propre histoire.
INDÉPENDANCE DU QUÉBEC 315
Analyse du rapport Durham - I : Les solutions envisagées.
Réplique à Claude Morin
Pour sortir de l’emprise de la Constitution canadienne, il faut être prêt à la remplacer unilatéralement si nécessaire