Si l’indépendance n’est ni à droite ni à gauche, nous sommes mal barrés
Et on pourrait même se retrouver dans la rue
Je suis bien d’accord avec l’idée que les indépendantistes devraient faire preuve de souplesse quant à leurs autres convictions politiques fondamentales jusqu’à ce que le Québec soit un pays. Je ne suis pas d’accord cependant avec la prétention que le Parti québécois, critiqué autant par la gauche que par la droite, représenterait ainsi un compromis raisonnable entre ces deux pôles. Les décisions prises par le gouvern...