Pourriture municipale et putréfaction capitaliste
Dans sa chronique de ce lundi 8 novembre 2010, Yves Boisvert pose d’excellentes questions sur la corruption municipale. Toutefois il omet de s’interroger sur la putréfaction du capitalisme sauvage, principal vecteur de cette corruption à tous les niveaux de gouvernement. Boisvert passe aussi sous silence le fait que La Presse, pour laquelle il travaille, continue à défendre ardemment ce capitalisme devenu sauvage. ...