Redressement - Non à la "Gouvernance souverainiste"

Les Québécois et la politique

Le vide idéologique



Richard Lahaie - Depuis le 2 mai, on a tenté d'analyser la déroute du Bloc québécois lors du dernier scrutin fédéral. On a parlé de la volonté de changement des Québécois et du désintérêt des jeunes envers la politique. Nous savons déjà que, depuis la «nuit des longs couteaux» en 1982, les Québécois refusent de donner la majorité des sièges du Québec au Parti libéral du Canada. Nous savons aussi que...

Notre pays et nos aïeux



Après avoir relu cette biographie, je me rends compte avec encore plus d’acuité que le tracé sinueux esquissé par la «gouvernance souverainiste» de Pauline Marois se situe dans un autre genre de registre de chien battu. C’est un détournement menant à une voie de garage d’un projet collectif inspirant, soit l’indépendance du Québec.

Le PQ tourne en rond



Il tourne, tourne et retourne dans la cour de notre prison nationale. Mais il fait parfois du surplace, le temps de nous dire: «Hé! Québécoises et Québécois, la porte de sortie de la prison, c’est par là, là, devant vous.» Puis il se remet rondement en marche, mais toujours en rond, jamais en ligne droite vers la porte d’évasion.

Réponse à l'article "Le PQ... jusqu'à la défaite finale!"

Au retour, Lévesque n’était plus le même homme

Il ne servira à rien d’amener au pouvoir un Jean Charest en jupons


Je tiens à remercier Pierre Cloutier pour la clarté de sa série d’exposés concernant la dernière mouture du programme du Parti Québécois (i.e. "PQMarois") qui se révèle, pour les tenants de l’indépendance, une bouillie pour les chats plutôt insipide et indigeste, farcie des faux-fuyants app...

Réponse à l'article "Le PQ... jusqu'à la défaite finale!"



J’ai bien apprécié l’analyse de Me Pierre Cloutier. Sauf sa dernière remarque. Je m’en serais bien passé : "[10] Si Mme Marois décidait demain matin de renoncer au plan Marois et de mettre le cap sur l’indépendance en vue des prochaines élections, un projet de pays sur la table et une élection décisionnelle, je serais le premier à applaudir." C’est comme s’il ne s’était...

La maïeutique de Maître Cloutier



Le classique au Québec n'est pas «longtemps je me suis couché de bonne heure», mais un instinct politique : «longtemps j'ai cru au PQ». Comme indépendantiste, jeune (c'est-à-dire que je n'ai pas pu voter en 95), j'ai longtemps pensé qu'il suffisait de nous (ce «nous» était pour moi naturel, il s'agissait des nationalistes, simplement) rassembler, de nous organiser et de faire front commun suffisamment longtemps pou...

L’HISTOIRE EST UN ÉTERNEL RECOMMENCEMENT

Le PQ – un film d'horreur qui n'en finit plus

Pour en finir avec l’angélisme et la loyauté inconditionnelle aux chefs du PQ


Tous ces constats auraient pu (et auraient dû) être faits par Pauline Marois et ses prédécesseurs, mais, à chaque fois, la peur de la réaction des fédéralistes et de perdre le pouvoir ont prévalu sur l’objectif de faire l’indépendance. Malheureusement, cet entêtement risque d’avoir gravement, sinon à jamais, détérioré l’image de la "marque de commerce" péquiste aux yeux de la population. Pauline Marois saura-t-elle avoir autant le sens de l’État québécois que Jacques Parizeau?

Ce "souverainisme" qui donne la nausée

Les sacristains, les bedeaux et les pleutres de la gouvernance souverainiste

C'est l'indépendance que nous voulons


(...) une bonne gouvernance à saveur souverainiste, cet éternel grignotage sans lendemain, cet absurde recommencement qui procure tant de bonheur et d'avantages aux élites politiques