Enseignement intensif de l'anglais en 6e année

L'immersion sous la loupe des chercheurs

les chercheurs ne sont pas convaincus que ce type de programme doit être étendu à l'ensemble des enfants


L'immersion linguistique serait surtout profitable aux premiers de classe, mais ne désavantagerait pas les élèves ayant des problèmes d'apprentissage, selon des études présentées au congrès international de la Société de recherche sur le développement de l'enfant, qui s'est terminé samedi au Palais des congrès.

Absolument désolant - le peuple québécois mérite-t-il de survivre, lui qu'on enterre vivant? Les médias de masse (presse, tivi), les chaires fédérales, sont à l'oeuvre pour voiler les dangers. Le LOGOS québécois sous influence - aliénation: on se pense sous l'oeil des anglobitches (ceux qui, depuis des lunes, travaillent sans relâche à notre disparition).

Sondage Léger Marketing-Le Devoir

Anglais: le Québec pour un programme intensif



Pour consulter le sondage au complet (PDF) Alec Castonguay - La volonté du gouvernement Charest d'imposer un programme intensif d'anglais en 6e année du primaire d'ici cinq ans est bien reçue par les Québécois, selon un nouveau sondage Léger...

Accroître la connaissance de l'anglais et en réduire la puissance



Sachant cela, les Anglo-Québécois cherchent à entretenir la confusion dans l’esprit des francophones entre l’utile bilinguisme des individus (qui sert à les enrichir) et le nuisible bilinguisme du pays (qui sert à les appauvrir).

La Presse se fait le promoteur d'une "bilinguisation" institutionnelle au Québec

Une autre voie

Témoignage d'une famille québécoise qui sera jamais publié par La Presse.


Forts de leur identité, ils pourront alors faire face aux effets de la mondialisation que ce soit par l’apprentissage de l’anglais ou d’une autre langue ou la connaissance des nouvelles technologies.

Comment sauver l'anglais?

On s'étonne que le débat sur le bilinguisme au Québec, qui se gargarise pourtant de mondialisation, ne tienne pas compte de ces grandes tendances internationales pourtant connues.


Le site Portalingua a d'ailleurs créé un indice qui, en intégrant une dizaine de facteurs, permet de mesurer le poids relatif de ces langues dans le monde. Le français s'y classe au second rang, assez loin derrière l'anglais mais juste devant l'espagnol.

John James Charest serait-il le Lord Durham du 21e siècle?



On se souvient que le gouverneur Lord Durham après les événements de 1837-38 avait suggéré dans son rapport à Londres de rendre service aux Canadiens français d’alors en les assimilant. Les historiens qui se pencheront sur notre époque pourront-ils dire que John James Charest suit son exemple? À la lumière de son « règne » à la tête du gouvernement du Québec et surtout de ses récentes décisions, John James Charest ...

Chapeau à Christian Dufour



Il faut lever son chapeau devant Christian Dufour pour son intervention à l’émission de Christiane Charrette (1er mars) et [son texte dans Le Devoir (5 mars)->35738] dénonçant comme « mesure excessive et dangereuse » la décision du gouvernement Charest de bilinguiser intégralement la 6e année. On salue en particulier les propos suivants : « Joue également une idéologie du bilinguisme intolér...

L'apprentissage intensif de l'anglais est très efficace

L'enseignement d'au moins une langue seconde est partie intégrante de tous les programmes scolaires du monde, au même titre que les mathématiques, l'histoire ou la géographie.


L'enseignement d'au moins une langue seconde est partie intégrante de tous les programmes scolaires du monde, au même titre que les mathématiques, l'histoire ou la géographie. Pierre Calvé - L'auteur a été professeur au département de linguistique de l'Université d'Ottawa de 1969 à 2001 et doyen de cette faculté de 1994 à 1997.* Au sujet du dossier de l'apprentissage ...

Pourquoi apprendre une langue?

C'est dire au monde réel et à soi-même un message primordial: nous voulons vivre ensemble pour ce que nous sommes


Dans le débat sur l'immersion anglaise, le cas irlandais est porteur d'une leçon. Ouvrir l'avenir à nos descendants, c'est leur donner des moyens. Ceux d'exprimer leur rapport au monde réel dans une langue qui traduit leur appartenance sociale à une communauté ayant traversé le temps.

Bouchard et Bouchard et la langue anglaise



Plus de 7 milliards d’humains habitent notre planète. Seulement 5 % (350 millions) parlent l’anglais comme langue maternelle. On dit qu’environ un autre 5 % le parlent comme langue seconde, ce qui fait un maximum de 10 % de l’humanité. Mais ce pourcentage va constamment en diminuant, selon plusieurs grands linguistes, parce que, tenaces comme tout, les langues nationales supplantent cette ancienne langue coloniale...

Interculturalisme et multiculturalisme : même combat!

Bouchard voit les droits des minorités partout, même lorsqu’ils n’y sont pas. Son regard est moins perçant quand vient le temps de reconnaître leurs devoirs. Pour lui, la Charte des droits a l’allure d’un texte sacré.


Gérard Bouchard est de retour. Désolé que les Québécois ne se soient pas convertis à la philosophie de l’accommodement raisonnable malgré ses recommandations, il organisera en mai un symposium « international » pour nous convaincre de ses vertus. Le contexte est important. Dans plusieurs pays européens, on constate que le multiculturalisme a échoué, qu’il mène à la fragmentation sociale, à la perte d’identité collec...

Les autruches

Impossible d'imaginer une autre société au monde où près de la moitié des allophones choisiraient de faire leurs études supérieures dans la langue de la minorité sans qu'on se demande comment inverser une telle tendance!


La réalité que l'on oublie, c'est celle-ci: le Québec est la seule société où deux langues sont en situation de concurrence ouverte pour l'intégration des nouveaux arrivants.

Oui à la loi 101 au cégep



On l'observe tous les jours dans la région de Montréal. Les experts qui se penchent sur la question en viennent à une même conclusion: le français recule. Précisons: il recule non seulement sur l'île de Montréal, mais dans l'ensemble de la région métropolitaine. Les enseignements conjugués de la démographie et de la sociologie viennent confirmer ce qu'avait déjà deviné le sens commun. L'indépendance sera évidem...

Toujours l'anglais



Dans le contexte démo-linguistique du Québec, il n'y a certainement rien de «criminel» à s'inquiéter des effets potentiellement néfastes du bilinguisme. Le contraire serait totalement irresponsable, même s'il paraît tout aussi exagéré de crier à la régression identitaire simplement parce que l'anglais pourrait être enseigné de façon intensive pendant la moitié de la sixième année du primaire. Il y a des risques...

Aimons-nous notre langue ?



Jean Piuze - Québec - Je suis né à Québec, une ville où l'on entend très peu d'anglais. J'y ai fait toutes mes études (primaire, cours classique, qui correspond au secondaire et au collégial d'aujourd'hui, et université) en français; il en fut de même pour mon frère. En matière d'anglais, nous n'avons suivi que les cours de cette langue dispensés dans les réseaux scolaires francophones des années 5...

Je suis un caribou sans boussole



Je suis partie en vacances une semaine. Je suis rentrée chez moi le pas léger, ne me doutant de rien. Et puis, hier matin, à la page A18 du journal, la nouvelle m'est tombée dessus de façon brutale. Ciel! Je suis un caribou sans boussole et je ne le savais même pas. C'est le [politologue Christian Dufour->35738] qui le dit dans un texte où il dénonce avec tout le doigté d'un orignal la décision d'implanter un p...

L'indifférence des Québécois



« Il y a des peuples qui ont survécu à des centaines d’années de domination, mais il n’y en a pas qui survivent à leur propre indifférence » Bernard Émond, cinéaste

Parti indépendantiste

Non à l'immersion anglaise nationalement suicidaire en 6e année du primaire



En terminant, ceux qui, diplôme secondaire en mains, voudront perfectionner la maîtrise d'une langue étrangère, ils pourront le faire en se payant des cours offerts par les divers instituts linguistiques privés. Ce qui fera rouler l'économie sans utiliser nos impôts pour mieux nous auto-assimiler

L'anglais en 6e année. Du racollage politique?



Dans son discours inaugural de la deuxième session de la 39ième législature du 22 février dernier, sans consulter ni avertir les principaux acteurs du secteur de l'enseignement, Jean Charest s'est engagé à ce que partout au Québec soit enseigné de manière intensive l'anglais en sixième année. Votre serviteur a applaudi. La Commission des États généraux sur la situation et l'avenir de la langue française au Qué...

"63 pays du monde qui parlent anglais" - nommez-les...

La langue de chez nous



Au rythme de croissance actuel de l'apprentissage de l'anglais, il y aura bientôt plus d'anglophones en Chine que dans tous les 63 pays du monde qui parlent anglais.

L’immersion anglaise en sixième année, pour qui, pourquoi ?

La démagogie s’empare du débat, et Dieu sait où va aboutir cette mesure abracadabrante.


Les jeunes Arabes nous ont donné une grande leçon, que nous avions peut-être oubliée : quand les gouvernements se moquent de leur peuple, il a toujours le loisir de prendre la rue et de s’en débarrasser.

Le Québec: un pays ou... une «francophonie»?



M. Bouchard ajoute que le pluralisme va «renforcer la francophonie québécoise». C'est le comble! Notre pays n'en est plus un, il est devenu «une francophonie».

Pour en finir avec la surenchère de l’enseignement de l’anglais

La mesure proposée par les libéraux sent l’improvisation et l’électoralisme.


Si un sérieux coup de barre n’est pas donné pour renforcer le français au Québec, nous nous retrouverons devant un choix de plus en plus difficile et incontournable: s’angliciser ou redevenir des porteurs d’eau.

L’anglais obligatoire

On ne pourra pas vraiment contrer tout à fait cet appel au suicide de notre culture. Mais l’obligation par contre, j’espère qu’elle au moins sera dénoncée.


Toujours, toujours plus d’anglais. Après l’introduction de l’enseignement de l’anglais en première année du primaire, après l’adoption de la loi permettant aux enfants des écoles passerelles de poursuivre leurs études en anglais, on aurait peut-être pu croire que l’ogre libéral put être rassasié. Ce pouvoir qui n’a jamais adopté depuis 1972 aucune mesure visant à renforcer le français au Québec vient de nous propos...

Immergez-vous, qu'ils disaient...

Le PQ serait-il en passe de vendre consciemment la nation qu’il prétend défendre pour un plat anticipé de lentilles ministérielles ?


L’annonce du gouvernement Charest de consacrer 50% de la sixième année du cours primaire à une immersion en anglais rallie, semble-t-il, la quasi-totalité de la population. On brandit d’ailleurs cet accord comme un argument imparable. Au XVième siècle, presque tout le monde croyait que le soleil tournait autour de la terre; apparemment, cela n’empêchait nullement ce dernier de ne pas se conformer à la foi populaire, ...

<i>You know what I mean!</i>

L’unanimité inquiétante qui entoure la récente décision de consacrer cinq mois de la dernière année du primaire à l’étude exclusive de l’anglais illustre comment le bilinguisme est devenu depuis quelques années une véritable obsession au Québec.


L'autre jour, j'imaginais ce qu'aurait à dire une commission composée d'experts internationaux chargée d'examiner l'école québécoise. L'expert allemand trouverait que nous n'en faisons pas suffisamment en matière de formation professionnelle. Le Mexicain ne comprendrait pas qu'un peuple qui se targue tant d'américanité ne généralise pas l'apprentissage de l'espagnol, parlé par plus de 300 millions de nos concitoyens...

Christian Dufour contre la bilinguisation de la sixième année

Les caribous - Une mesure excessive et dangereuse



Les Québécois ressemblent furieusement ces temps-ci à une harde de caribous sans boussole et sans leader fonçant joyeusement dans le mur de leur non-avenir dans les deux langues.

Tout le monde il est beau...

Ni crime ni menace

L'enseignement intensif de l'anglais en sixième année ne justifie pas de crier au loup.


(Québec) Le projet d'enseigner l'anglais de façon intensive à la sixième année du primaire donne lieu à de l'enflure verbale. Selon l'historien et sociologue Gérard Bouchard, tourner le dos à l'anglais serait «criminel», alors que pour d'autres, l'initiative du gouvernement libéral est une véritable menace identitaire. Les francophones du Québec doivent se faire confiance. Aimer et préserver sa langue n'interdit p...