Lors du prochain référendum sur l'indépendance, les ennemis d'un Québec pays souverain seront prêts à toutes les bassesses, commettront toutes les escroqueries imaginables et entorses à la loi dans le seul but de faire voter Non des gens qui ne devraient pas avoir droit de vote en premier lieu.
Rappelons que tous les derniers pays qui ont tenu un référendum sur l'indépendance avaient de nombreux critères de sélection visant à empêcher expressément ceux qui ne sont pas qualifiés de toute tentative illégale d'usurper le droit de vote. Car ils vont s'essayer, soyez-en sûr et certain.
Ce serait une folie de leur permettre de trouver le moyen de faire voter contre notre projet légitime de pays des multitudes de personnes non qualifiées (voir les catégories plus bas) et qui n’ont pas d’affaire à se mettre le nez dans nos affaires existentielles qui ne les concerne pas une miette.
Un exemple analogue de ce genre de tentative malhonnête s'est vérifié dans la course à la direction du parti libéral du Canada 2025 visant à remplacer Justin Trudeau depuis qu’il a remis sa démission de chef du parti libéral et de premier ministre du Canada.
Des critères pour pouvoir voter très flous
En effet, les médias comme les réseaux Radio-Canada et Global font état que les critères élastiques permettant de voter pour choisir le prochain chef laissent place à de l'ingérence étrangère pour truquer le résultat du vote. Des membres du parlement fédéral s'en inquiètent à juste titre.
Par exemple, les critères du Parti libéral permettaient jusqu'à tout récemment de faire voter des étrangers résidents permanents (un résident permanent du Canada est une personne qui a obtenu le droit de vivre, travailler et étudier au Canada de façon permanente, mais qui n'est pas encore citoyen canadien), et des mineurs dès l’âge de 14 ans, permettant comme ça s’est déjà fait d'envoyer des autocars remplis d’étudiants étrangers chinois d'aller voter pour un candidat chinois recommandé par la Chine, qui chercheront ensuite à influencer la politique canadienne à leur avantage. L'un des critères pour se qualifier pour voter était qu’il suffit de « vivre au Canada » !
Ci-dessus: manifestation violente hindoue devant un immense temple hindou, à Brampton, Ontario, formée en majorité d'immigrés hindous
Ingérence étrangère
L’Inde ferait de même pour s’ingérer et profiter de la multitude d’hindous qui entrent au pays en masse (c’est l’ethnie la plus surpeupleuse au monde qui entre actuellement au pays et se concentre dans des régions précises pour faire élire facilement les leurs). Le pays est en train de tomber aux mains d'étrangers organisés et très intéressés.
Les autorités étrangères forcent ces immigrés à voter dans un certain sens, souvent sous la menace de représailles à leur famille.
Soyez assuré que des tentatives semblables d'infiltration et de jeux d'influence nébuleux seront tentées lors du prochain référendum québécois. Nos ennemis retors et prêts à tous les stratagèmes essaieront de faire admettre toutes sortes de catégories de non-Québécois uniquement pour empêcher le peuple fondateur de décider par lui-même de son avenir, juste pour nous mettre des bâtons dans les roues et faire dérailler le projet.
Irrégularités aux élections fédérales de 2025
Aux dernières élections fédérales, lors du recomptage judiciaire dans la circonscription de Terrebonne, on a établi que de nombreux résidents étrangers qui n'avaient pas droit de vote ont reçu un carton pour aller voter -et qu'ils n'ont pas hésité à en abuser. Comme par hasard, les irrégularités vont toujours dans le mauvais sens en favorisant l'ennemi. Combien de centaines, voire de milliers d'entre eux, réussiront à voter illégalement lors du référendum québécois? Le dernier référendum a été perdu de justesse par quelques dizaines de milliers de votes, on ne le sait que trop.
Liste des catégories à écarter
On peut établir une liste préliminaire de toutes sortes de catégories à écarter : Anglo-Montréalais, Anglo-Canadiens parachutés artificiellement pour l'occasion, étudiants anglo-canadiens inscrits au Québec, étudiants étrangers temporaires, migrants illégaux, faux réfugiés, pseudos demandeurs d'asile, prisonniers, travailleurs saisonniers étrangers, résidents permanents étrangers, détenteurs de visa, immigrés reçus depuis moins de 5 ans, immigrés reçus depuis moins de 10 ans, immigrés reçus depuis moins de 25 ans, tous ceux qui échouent les tests de francisation, de connaissance de la culture québécoise, et de pleine intégration quotidienne à la société québécoise.
Pour plus de catégories à écarter légitimement, consultez plus bas les critères utilisés la dernière fois en Catalogne et en Nouvelle-Calédonie, qui étaient très spécifiques.
Soyons bien conscients que nos adversaires seront nombreux à chercher à s'immiscer dans notre processus décisionnel en invoquant toutes sortes de justifications fallacieuses et de pseudo droits. Il faudra se montrer plus malin qu'eux et leur bloquer le passage.
Et à chaque catégorie que nous refuserons, l'ennemi aura recours aux accusations habituelles de "xénophobe", "raciste", "intolérant", "non inclusif" pour essayer de nous faire reculer et accepter des non-légitimes, des anti-Nous.
Ce sera à nous de leur répondre encore et toujours la même chose avec fermeté, c'est-à-dire que l'indépendance d'une nation ne concerne que la nation impliquée. Nous sommes dans notre bon droit, pas eux. Et comme c'est précisément d'eux dont on chercher à se débarrasser, alors pas question qu'on les laisse imposer des critères qui les avantagent à notre détriment, en s'ingérant là où ils n'ont pas d'affaire à être.
À lire: Qui devrait être autorisé à voter lors du référendum sur l'indépendance du Québec?
Critères de qualification pour voter utilisés ailleurs
C'est pour toutes les raisons que nous venons d'évoquer que les règles de qualification devront être très précises comme en Catalogne, et encore mieux comme celles encore plus restrictives utilisées en Nouvelle-Calédonie. Il faut écarter, exclure tous ceux que cela ne concerne pas mais qui veulent nous empêcher d'agir et d'avancer vers le but ultime, c'est-à-dire l'émancipation de notre peuple tout entier.
C'est notre décision, pas la leur.
On ne demande pas la liberté, on la prend.
À lire: 41 pays devenus indépendants depuis le premier référendum de 1980
Critères utilisés en Catalogne : cliquez ici
Critères utilisés en Nouvelle-Calédonie : cliquez ici
Seuls les nôtres décideront de notre avenir collectif, et personne d'autre.
Ce sera Eux contre Nous. Mais c'est Nous qui l'emporterons cette fois-ci -et de manière décisive.
Et nous mettrons enfin au monde ce nouveau pays du Québec bien à nous, rien qu'à nous, et qui ne sera jamais le leur.
Vive le Québec libre et souverain, celui de la nation québécoise profondément enracinée sur sa terre natale!
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