Ne pas attendre les bras croisés
Protéger la langue française, la clé
Faut, au moins, résister et survivre
Un Québécois devient plus facilement séparatiste quand il est francophone et qu'il a peur à l'anglicisation éventuelle du Québec, celle qui est déjà installée à Montréal. Si les Québécois francophones avaient été anglicisés complètement depuis 2 ou 3 générations, ils ne seraient pas facilement séparatistes aujourd'hui et ils ne verraient pas pourquoi ils devraient sauver la langue française qu’il ne parle plus. Est...