Pauline Marois doit démissionner comme chef du PQ

Québécois! Il est temps d'être libres et maîtres chez nous!

On constate aujourd’hui l’échec du leadership de Pauline Marois par le fait que l’électorat souverainiste est maintenant plus que jamais divisé, notamment entre le PQ, Québec Solidaire et le nouveau mouvement de François Legault.

Pacte électoral - gauche et souverainiste

Pendant que la Jovialiste Castafiore qui est actuellement chef du PQ tarde à comprendre qu’elle ne deviendra jamais premier ministre du Québec, des enregistrements de ses échanges téléphoniques stratégiques avec les présidents d’exécutifs de comté se retrouvent dans les journaux de « Mononc Paul » et ailleurs…("CIEL MES BIJOUX !")
Comme si le PQ, sous sa brillante gouverne ("AH! JE RIS DE ME VOIR SI BELLE EN CE MIRROIR !"), avait oublié que ses listes de membres et autres documents stratégiques avaient été dérobées régulièrement par toutes une série d’agences ayant des acronymes aussi obscurs les uns que les autres.
Voilà un autre bel exemple de l’amnésie chronique dont souffre la chef actuelle du PQ et sa garde rapprochée.

Elle a oublié en particulier que le PQ a été conçu comme une large coalition destinée à rassembler TOUS les souverainistes derrière UN objectif fondamental i.e. RÉALISER L’INDÉPENDACE politique du Québec.
Elle a oublié que cet objectif dérange beaucoup les adversaires historiques du peuple québécois qui sont prêts à tout pour compléter la mise en œuvre du Rapport Durham, comme le décrit si bien Louis Hamelin dans « La Constellation du Lynx », un livre fondamental s’il en est un pour comprendre l’histoire contemporaine du Québec et que Pauline Marois a avoué - tout jovialement - n’avoir jamais lu en prononçant son discours lors du Gala des Patriotes le mois dernier!
Elle a aussi oublié que chaque fois que la direction du PQ a tenté de reporter la réalisation de la souveraineté aux calendes grecques, la coalition indépendantiste rassemblée derrière le PQ s’est effritée.
Souvenons-nous de l'éclatement du conseil des ministres en 1984 lors de la crise du “beau risque” sous René Lévesque et de la désintégration du membership sous le règne de “l’affirmation nationale” de Pierre-Marc Johnson qui se termina en 1987 par un putsch du caucus des députés ayant à sa tête le regretté Gérald Godin, lequel ouvrit la voie au retour de Jacques Parizeau.

Sous le leadership de Jacques Parizeau, le PQ ratissa large au sein de l’électorat souverainiste parce que TOUS étaient convaincus que Jacques Parizeau à la tête du PQ voulait réaliser l’indépendance du Québec. Jacques Parizeau réalisa même le tour de force de faire entrer l’ADQ dans une coalition en faveur du OUI lors du référendum de 1995.
Pour Jacques Parizeau, il était clair qu’une fois le référendum gagné les électeurs souverainistes se répartiraient, pour la suite de l’histoire d’un Québec souverain, entre un large spectre de tendances allant de la gauche à la droite en passant par l’extrême centre… L’IMPORTANT était de pouvoir réunir TOUS ceux qui voulaient faire un pays derrière UN parti ayant les moyens et la volonté politique de donner au peuple québécois sa liberté.
On constate aujourd’hui l’échec du leadership de Pauline Marois par le fait que l’électorat souverainiste est maintenant plus que jamais divisé, notamment entre le PQ, Québec Solidaire et le nouveau mouvement de François Legault.
Pourquoi? Simplement parce que les souverainistes égarés chez QS, chez François Legault et ailleurs savent très bien que, sous la direction de Pauline Marois, le PQ n’a aucune véritable intention de réaliser l’indépendance politique du Québec mais aspire tout simplement à gouverner - "à qui ferait les plus belles courbettes"- un Québec soumis au minable statut de province pillée et enchaînée au sein du Cadena anglo-canadien (comme le disait si bien Pierre Falardeau).
Car si le PQ était sérieux, il aurait entrepris la mise à jour des études de 1995 nécessaires à toute véritable tentative de réaliser l’indépendance politique du Québec. De plus, on assisterait à une offensive forte et discrète sur la scène internationale pour préparer les alliances nécessaires à la reconnaissance d’un Québec souverain une fois une déclaration d’indépendance proclamée. En plus le PQ serait en train de revoir toutes les options disponibles pour accéder à la souveraineté, en particulier depuis le jugement de la Cour internationale de justice de juillet 2010 dans l’affaire de la déclaration unilatérale d’indépendance du Kosovo… Or au PQ, en dépit du beau programme adopté au Congrès d’avril 2011, il n’en est rien!
À cet égard Jacques Parizeau a rappelé dans son récent discours au colloque des IPSOs que le programme du PQ de 1970 et de 1973 incluait l’accession à l’indépendance politique par élection référendaire (possible en cas de soutien par une large coalition des électeurs souverainistes face à un Parti libéral complètement discrédité par une gestion pourrie aux antipodes de l’intérêt collectif des Québécois). Enfin, si le PQ était vraiment sérieux dans son objectif de faire l’indépendance du Québec, il aurait lancé des états généraux destinés à rallier tous les souverainistes derrière un plan d’action collectif.
Au lieu de cela, on a étouffé durant le dernier Congrès du PQ tout véritable débat sur une stratégie sérieuse devant mener à l’indépendance et on a assisté à un noyautage en règle du processus de sélection des délégués par Pauline Marois et sa garde rapprochée afin de lui donner à tout prix SON 93%… qui ne veut malheureusement pas dire grand chose en terme d’appui provenant du large spectre de l’électorat favorable à l’indépendance politique du Québec…
Pauline s’est ainsi enfermée dans l’illusion qu’elle contrôlait la situation et pouvait présenter ses dictats au caucus et aux membres notamment pour ce qui a trait à ses initiatives parlementaires. Depuis, les erreurs de jugements graves, les gâchis et les cafouillages se multiplient…
Pauline commence à comprendre qu’elle ne contrôle en réalité pas grand-chose et certainement pas l’essentiel i.e. un agenda sérieux qui mènera le peuple du Québec à la liberté.
Quatre députés lui ont récemment administré un électrochoc afin de l’inciter à revenir sur Terre…
La campagne de financement actuelle du PQ avance maintenant beaucoup plus difficilement car le nombre de membres outragés par le manque de jugement de la direction actuelle du PQ est inversement proportionnel au nombre de ses bénévoles.

Autre électrochoc: des membres d’exécutifs de comtés du PQ font maintenant circuler dans le cyberespace rien de moins qu’une pétition en faveur de la création d’un autre parti indépendantiste.

Voilà des signes incontestables que le corps indépendantiste du PQ a tout simplement commencé à sécréter une panoplie complète d’anticorps destinés à mettre à la porte une chef et une garde rapprochée qui sont INCAPABLES de mettre l’objectif stratégique de l’indépendance du Québec et de son peuple AVANT tout le reste. Les "castafioresques jovialistes" n’ont qu’à bien se tenir, car "le bûcher" politique n’est pas loin…
Quand il deviendra clair, en particulier à la lumière des sondages, que l’aile parlementaire du PQ - sans changement de direction - sera tout simplement balayée lors des prochaines élections, les actuels députés du PQ auront notamment à choisir entre:
1) Organiser un putsch contre Pauline Marois comme celui de 1987 et amener rapidement à la direction un véritable chef rassembleur non seulement au sein du PQ mais pour l’ensemble des souverainistes du Québec.
2) Répondre aux nombreux appels de François Legault (certains ont maintenant reçus plus de trois appels) et quitter le caucus du PQ pour se déshonorer en abandonnant la cause de la liberté du Peuple Québécois, mais en continuant toutefois à possiblement collecter leur salaire de députés...
3) Autrement quitter la vie politique comme députés du PQ.
Afin d’éviter que la cause de la souveraineté du peuple québécois ne meure (le temps passe et la démographie francophone périclite), il est essentiel que Pauline tire rapidement les conclusions qui s’imposent comme Pierre-Marc jadis le fit et, au nom de cette cause primordiale, démissionne en faveur d’un chef rassembleur dont tout le Québec ne puisse douter ni qu’il soit indépendantiste, ni de sa volonté de faire tout ce qui est nécessaire pour amener PRIORITAIREMENT le Québec à prendre sa place d’état libre au sein du conseil des nations.
Afin qu’il soit clair dans l’esprit de tout un peuple que l’objectif primordial du PQ soit de réaliser rapidement l’indépendance du Québec, il est suggéré que ce parti soit possiblement renommé QUÉBEC LIBRE car, comme l’a si éloquemment dit Charles de Gaule durant un bel après-midi de juillet 1967, il s’agit bien de donner à tout un peuple SA LIBERTÉ; celle qu’il attend depuis déjà si longtemps.
Il est maintenant du devoir de TOUS les patriotes du Québec de se lever et de contribuer - chacun au meilleur de ses forces et de ses moyens - à la réalisation de cet objectif fondamental avant qu’il ne soit trop tard.
Au moment où Jean Charest s’apprête, notamment par son Plan Nord et ses concessions de gaz de schiste, à laisser piller les ressources stratégiques du Québec par un capitalisme que l’on ne peut qualifier que de « sauvage »; au moment où il laisse bafouer la Charte le la Langue Française par un régime d’écoles passerelles dans lesquelles on achète littéralement le droit à terme de transformer en minorité et de marginaliser politiquement sur leur propre sol les francophones du Québec, il en va de la survivance et de l’avenir du Peuple Québécois.

C’est maintenant ou jamais pour le Peuple Québécois le temps de se mettre en marche pour prendre sa LIBERTÉ afin de devenir une fois pour toutes MAÎTRE CHEZ SOI.
Rien ne saurait être plus important!


Laissez un commentaire



10 commentaires

  • François Ricard Répondre

    24 juin 2011

    Nous avons au moins deux partis indépendantistes en trop.
    Si nous croyons vraiment en un Québec libre, ne devrions-nous pas nous joindre en une cause commune qui nous permettra d'avoir notre pays à nous.
    Possiblement qu'un tel front exigera de chacun des groupes concernés à mettre sur la tablette des idées qui leur sont chères:remplacer, peut-être, le référendum par une élection référendaire; s'entendre sur un gouvernement de coalition jusqu'à ce qu'on puisse demander au peuple de se prononcer sur une constitution; et possiblement d'autres arrangements.
    Ce que nous savons, ce que nous pouvons sentir chez nos concitoyens est leur lassitude pour la chose politique et leur besoin lancinant pour un véritable changement. Ce changement pourrait alors être incarné par la coalition Legault qui a de fortes chances d’être gonflée d’adéquistes. Alors les forces fédéralistes pourraient compter sur deux partis qui prônent le statu quo.
    Nous voulons un pays plus démocratique que la faiblarde démocratie offerte par le parlementarisme à la britannique; nous voulons un pays qui nous assurera de la propriété de nos richesses naturelles; nous voulons un pays dont la langue, et seule langue officielle, sera le français; nous voulons un pays qui aura plein contrôle de sa citoyenneté et de son immigration; nous voulons un pays qui veut combattre la pauvreté plutôt que tous les Talibans de ce monde; nous voulons un pays qui décide à lui seul de ses priorités en éducation et en santé. Devenons libres pour nous donner ce pays que nous voulons.
    Faisons donc front commun pour nous donner ce pays.

  • Archives de Vigile Répondre

    21 juin 2011

    Québécois! Il est temps d'être libres et maîtres chez nous!
    Comment y arriver quand il y a plus de têtes que d'indiens?
    Devant l'improvisation et cette division au Parti Québécois, aucun parti ne pourra avoir le temps de s'organiser avant les prochaines élections provinciales.
    Le Parti Québécois et Madame Marois avaient toutes les chances de déloger les Libéraux de Jean Charest. Voilà que les 'dissidents' et la 'vieille garde du Parti Québécois'
    viennent d'offrir la ré-élection des Libéraux sur un plateau d'argent.
    Comme stratégie, ça ne vaut pas cher chez les Péquistes, les Souverainistes et les Indépendantistes...
    Les Québécois devront oublier pour longtemps leurs aspirations d'être maitres chez-eux puisque le gouvernement Libéral de Jean Charest aura tout le temps nécessaire pour vendre le Québec aux étrangers.

  • Archives de Vigile Répondre

    21 juin 2011

    Bonjour,
    J'ai récemment assisté à une rencontre qui réunissait le péquiste M. Girard, Député de Gouin et l'ex péquiste Mme Beaudoin, député de Rosemont Petite Patrie ainsi que Biz de Loco Locas.
    Belle disussion sur les perspectives d'Un QUÉBEC SOUVERAIN, mais dans ma tête de Québécois d'adoption j'ai eu l'impression qu'on tournait en rond et j'ai pris la parole pour dire ce qui suit : Autant que je m'en rappelle et depuis au moins six générations avant moi mes ancêtres et moi même sommes nés colonisés (occuppation de l'Algérie par la France). Mon défunt père militant de l'indépendance de l'Algérie avait toujours cette phrase à l'intention de ses interlocuteurs qui parlaient de l'après indépendance et de la puissance coloniale, il disait : ''Laissez les bâtir ils finiront par partir''.
    Au lendemain de l'indépendance de mon pays d'origine et après les moments d'euphorie, moi qui suit devenu indépendant grâce à la lutte des mes aînés, je me suis rendu compte un demi-siècle (j'ai mis beaucoup de temps pour le comprendre) plus tard que si ce pays était indépendant je n'étais pour autant pas libre de penser comme je le voulais, de m'exprimer comme je l'entendais, de faire librement mes choix de vie et de participation citoyenne. L'exil a lancé son appel et en arrivant au Québec j'ai réellement ressenti cette liberté tant recherchée depuis cinquante ans.
    Lorsque j'entends parler les québécois de la souveraineté je partage leurs souhaits et leurs désirs de voir la Belle Province et ses citoyens souverains dans leurs actes et leur devenir. Cependant, à la différence de l'Algérie et de ses citoyens qui ont chérement acquis leur indépendance, les Québécois sont libres de faire du Québec un pays souverain.
    J'ai dis aux personnes présentes à la librairie Pauline de la rue Masson. Faites cette souveraineté tant souhaitée puisque vous êtes libre de le faire. Aujourd'hui, j'ajouterais faire la souveraineté c'est facile de le dire mais il sera difficle de la faire sans l'unité. Alors Québécois Libres Unissez-vous et aller de l'avant.
    Ferid Chikhi

  • Archives de Vigile Répondre

    21 juin 2011

    Roger Warren
    Un parti qui n'est pas capable d'avoir une position ferme pour la protection de la langue n'est tout simplement pas un parti souverainiste. La raison première de faire la souveraineté est de protéger notre culture. Le QS n'a pas la note de passage. Si votre chef se préoccupait autant de la cause québécoise qu'il se préoccupe de la cause palestinienne, il l'aurait réalisé.
    http://louisprefontaine.com/2011/04/13/quebec-solidaire-face-a-ses-contradictions
    Christiane Dupont
    Ce pas qu'une question de charisme. Quand on s'excuse presque de ne pas parler parfaitement l'anglais, on n'a pas sa place à la tête du PQ. Quand on est déstabilisé par une simple accusation d'être une 'extrémiste', on n'a pas sa place à la tête du PQ. C'est pas 4 adolescents, en crise, qui ont claqué la porte.
    Croyez-vous vraiment que ces personnes n'ont jamais fait savoir qu'ils allaient passé aux actes. D'après eux, ils ont pratiquement été défié de le faire! Je vous signale que depuis son arrivée à la chefferie, il y a une impression de purge qui émane de ce parti.
    À l'exception des chicanes, avez-entendu des idées susceptibles d’amélioré le Québec dans les prochains 4 ans. Moi,j'attends toujours après l'annonce de l'abolition du programme enseignement religieux et éthique. Ou l'abandon de l'idée de deux CHUM. Parce que être élu, ça veut aussi dire devoir gouverné. Là encore, il y a de grosse lacune.
    La politique est un sport de contact. Spécialement dans le PQ. Mme Marois a de grande qualité, mais pas celle qui sont nécessaire pour être le numéro 1 du parti. En agissant rapidement, nous pouvons donnez son 4% à Charest au prochaine élection.
    Andrée Ferretti
    Ce n'est pas tout le monde qui aspire à avoir une vie publique. À faire de la Télé , a vendre des livres ou à faire carrière dans la politique. Certaines personnes ne veuillent que débattre. Et l'anonymat empêche les débats qui se réduise en attaque de personnalité.

  • Marcel Haché Répondre

    21 juin 2011

    @ Andrée Ferretti
    Merci.C'est exactement de quoi il s'agit...

  • Gilles Laterrière Répondre

    20 juin 2011

    Rien ne justifie l'anonymat sur les pages de Vigile. Surtout lorsque l'on s'amuse à caricaturer les personnes publiques qui travaillent à visage découvert et que l'on parle de liberté et de démocratie.

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    19 juin 2011

    R W dit: "Québec Solidaire.Là au moins il y a un chef qui a de la suite dans les idées"...
    ben voilà! J'y allais avec modération en parlant d'alliance, mais c'est justement QS qui ne voit pas assez d'indépendantisme chez PQ! Québec solidaire ne peut devenir autoritaire puisque le poste de chef est remplacé par 2 porte-paroles. Et Françoise, qui est en demi sabbatique pour écrire, sera bientôt le balancier d'Amir, si prompt et si omniprésent... De plus, le côté féministe de QS devrait rassurer le 50% de la population qui se méfie du "machisme" prétendu de ce bouillant chef politique déterminé à faire un pays de sa "province" d'adoption.
    Nul besoin d'un NOUVEAU parti!

  • Andrée Ferretti Répondre

    19 juin 2011

    Signature demandée.
    Comme notre lutte, pour le meilleur et, peut-être pour le pire, ne se déroule pas dans la clandestinité, il m'apparaît essentiel pour sa crédibilité que toute intervention soit clairement identifiée. Autrement, lâcheté pour lâcheté, je préfère celle qui n'ose pas combattre l'ennemi avec les moyens appropriés que ceux qui se cachent pour faire semblant de le combattre avec détermination.
    Andrée Ferretti.

  • Archives de Vigile Répondre

    19 juin 2011

    Pauline Marois a autant de compétences et de charisme que d'autres chefs avant elle pour rassembler les Québécois et faire l'indépendance. Arrêtez de lui casser du sucre sur le dos ! Elle a fait une erreur; elle l'a dit. Elle a de l'ambition? Grand bien lui fasse! Une femme qui a de l'ambition, ça fait peur! Un homme qui a de l'ambition, on dit de lui qu'il sait ce qu'il veut!
    La population n'en a pas nécessairement contre elle, mais plutôt contre les luttes intestines que le PQ a toujours su mener avec brio depuis nombre d'années. Un autre prendra sa place, qui n'aura pas plus de succès.
    Pour un peu, on croirait que, parce qu'elle est une femme, nombreux (et nombreuses, pourquoi pas) sont ceux et celles qui ne veulent pas lui donner une chance de prendre le pouvoir et de mener le Québec à sa souveraineté. (Bien que cela soit douloureux de se le rappeler, souvenons-nous que nombre de femmes ne voulaient pas avoir le droit de vote quand le gouvernement a "consenti" --grâce à la lutte de quelques unes-- à donner le droit de vote aux femmes.) Y aurait-il des "anti-femmes" au sein du PQ ? Possible.
    Je vous invite plutôt à lire le texte de Michel Dion.
    http://www.vigile.net/Tentative-de-putch-ou-sabotage
    Bon été.

  • Archives de Vigile Répondre

    19 juin 2011

    Vous excluez une quatrième option.
    Joindre Québec Solidaire.Là au moins il y a un chef qui a de la suite dans les idées et qui n'a rien de la moumounerie péquiste.Et puis,quoiqu'en disent les démagogues,c'est un parti indépendantiste qui ne craint pas de consulter ses membres.