Automne 2008, le premier ministre du Québec, M. Jean Charest, devant
l’affaiblissement de l’opposition officielle et des sondages qui laissent
croire qu’une majorité se trouve à portée de main, décide, envers et contre
tous et sous de faux prétextes, de déclencher des élections provinciales.
Ses militants s’attendent bien sûr à ce qu’il serve les intérêts du Parti
libéral (et tout ce que cela implique) et si cela fait de lui un bon chef
de parti de dissoudre le gouvernement pour des raisons partisanes, ça ne
fait certainement pas de lui un chef d’État. Un chef d’État se montre au
service du peuple avant tout, ainsi le parti sert les citoyens plutôt que
l’inverse comme c’est le cas actuellement avec ces élections.
Il s’agit du quatrième scrutin provincial auquel je participe en tant que
voteur, et selon mon habitude, je vais appuyer le candidat du parti
québécois. Malgré des divergences de vue sur certaines orientations et
stratégies, je demeure convaincu que seul le parti québécois offre une
véritable solution, celle de l’émancipation de notre nation, celle du bris
du carcan fédéral.
J’accorde ma confiance au parti façonné par des grands hommes d’État, René
Lévesque, Jacques Parizeau, Pierre Bourgault, Camille Laurin, pour ne
nommer que ceux-là.
L’équipe de Pauline Marois me semble aussi la plus apte pour
- rehausser la qualité de vie de nos aînés,
- aider nos jeunes familles en ces temps difficiles,
- défendre nos agriculteurs,
- protéger les acquis de la Révolution tranquille,
- garantir la sauvegarde de notre culture,
- gérer les défis environnementaux de notre époque
Pour l’avènement d’un Québec libre et solidaire, le 8 décembre je vote
pour le Parti québécois.
Mathieu Taillefer
-- Envoi via le site Vigile.net (http://www.vigile.net/) --
Libre et solidaire
L’équipe de Pauline Marois me semble aussi la plus apte
Laissez un commentaire Votre adresse courriel ne sera pas publiée.
Veuillez vous connecter afin de laisser un commentaire.
Aucun commentaire trouvé