Plus le temps passe, plus les gens prennent conscience des méfaits et des conséquences alarmantes et négatives engendrés par les vastes mouvements de population que la planète subit, et plus spécifiquement chez les pays occidentaux ciblés et envahis sans répit.

Les dégâts grandissants dus à la surimmigration débridée s'effectuent sur le plan social, humain, économique, culturel, sur le plan de la sauvegarde de l'identité collective de chaque nation, sur le plan des limites atteintes des capacités de services de nos systèmes sociaux gouvernementaux, mais aussi en mettant directement en péril la santé des populations natives, nos concitoyens, nos familles, vous et moi.

En effet, l'une des pires conséquences est la recrudescence des maladies contagieuses graves et épidémies véhiculées par la migrance universelle incontrôlée. Tous les étrangers quels qu'ils soient sont à très haut risque de nous infecter: que ce soit les immigrants officiels infectés, les travailleurs temporaires infectés, les étudiants étrangers infectés, les migrants illégaux infectés, les pseudo-demandeurs d'asile infectés, les faux-réfugiés infectés, même l'adoption internationale d'enfants infectés, et l'hyper-tourisme excessif en provenance de pays hautement contaminateurs.

À lire: Entrons-nous dans une ère d'épidémies apportées par les immigrants?

La plus récente maladie grave qui s'en vient d'Afrique avec les Africains est la variole simienne, dite du singe.

De nombreuses maladies rares, dommageables et incurables sont en train de se répandre et se propager à grande vitesse.

Voici quelques résultats récents d'analyses scientifiques et de recherches médicales qui corroborent la situation telle qu'elle se présente à l'échelle internationale.

Avertissement, vous n'en dormirez plus la nuit. Hypocondriaques s'abstenir de lire ce qui suit.

La migration de la population a été associée à la propagation de maladies allant de la peste, de la variole, de la rougeole et de la syphilis à, plus récemment, le VIH et la tuberculose. Les déplacements entre pays sont également associés à la propagation de vecteurs de maladies, tels que les moustiques vecteurs de la fièvre jaune et de la dengue.

Les populations migrantes peuvent cependant jouer d’autres rôles en modifiant le profil des maladies présentes dans une population. Certaines maladies chroniques sont associées à l'acquisition à distance d'infections, telles que la trypanosomiase américaine ou la maladie de Chagas (maladie cardiaque et œsophagienne), la cysticercose (troubles épileptiques) et l'infection par les hépatites B et C (cirrhose hépatique). L’incidence future de certains cancers (carcinome hépatocellulaire, cancer du col de l’utérus) pourrait également être affectée par la prévalence d’infections telles que les hépatites B et C et le virus du papillome humain (VPH) au sein des populations mobiles se réinstallant dans des zones où ces infections sont moins fréquentes.

Les immigrants peuvent jouer un rôle direct dans la transmission de maladies infectieuses aiguës d’une zone géographique à une autre. Cette préoccupation est particulièrement grande lorsque de grands groupes, tels que les réfugiés, sont réinstallés dans le monde entier. Depuis 2004, la réinstallation des populations réfugiées a été perturbée au Kenya, en Tanzanie, en Thaïlande, en Éthiopie et en Côte d’Ivoire par des épidémies de maladies évitables par la vaccination, notamment la rougeole, les oreillons, la rubéole, la polio, la coqueluche, l’hépatite A et la fièvre typhoïde.

Source : Rôle des immigrants et des migrants dans la propagation de maladies infectieuses émergentes

L'adoption internationale est également à remettre en question pour cause de propagation de maladies graves.

Les recherches scientifiques médicales sont claires:

Les enfants adoptés à l’échelle internationale constituent un groupe spécial qui mérite une mention supplémentaire. Puisqu’ils ne sont pas tenus de se faire vacciner avant de quitter leur pays d’origine, ils peuvent être sensibles ou déjà infectés par des maladies évitables par la vaccination au moment de leur arrivée en Amérique du Nord. La transmission de la rougeole, de l'hépatite A, de l'hépatite B, de la tuberculose et d'autres maladies infectieuses a été documentée par des enfants adoptés à l'échelle internationale. La coqueluche, la rubéole et la varicelle ont été diagnostiquées chez les adoptés peu après leur arrivée.

Source : L’immigration internationale, une menace pour la santé publique

Conclusion des recherches scientifiques médicales les plus récentes:

La migration de population joue un rôle essentiel dans la propagation des maladies en déclenchant des épidémies de maladies aiguës, en modifiant la prévalence des maladies infectieuses dans un lieu donné et en modifiant l'aspect des maladies chroniques résultant d'infections antérieures.

Source : Rôle des immigrants et des migrants dans les maladies infectieuses émergentes

La solution pratique à toutes ces menaces est pourtant simple d'application. L'immigration venant des pays les plus dangereusement contaminateurs doit cesser complètement. Les gouvernements des pays occidentaux ont le devoir de protéger nos populations et de bloquer l'accès au pays à tous les porteurs infectieux recensés et bien identifiés.

Pour sa survie, l'Occident doit ériger un mur anti-maladies, en plus de frontières solides et hermétiques contre tous ceux qui représentent une menace pour la santé publique et qui risquent de nous terrasser par les infestations de microbes et de virus.

Le remplacement progressif de notre population s’effectue par les tonnes d’étrangers incompatibles qui nous submergent. Un de leurs outils supplémentaires pour accélérer le processus est l’infection par les maladies de leurs pays qui n’existent pas ici.

C’est Lord Durham qui serait bien fier de la tournure des événements, ayant infecté à la variole des couvertures dans le but de décimer les indiens. Maintenant c'est au tour de la variole simienne qu'on permet de se répandre parmi nous. Le résultat attendu est le même.

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