L'opposition songe à défaire Harper
Sabrer le financement des partis politiques menace notre survie: «On n'a pas le choix», disent des libéraux.
Sabrer le financement des partis politiques menace notre survie: «On n'a pas le choix», disent des libéraux.
Une nouvelle campagne a commencé hier. Le débat a eu un effet dopant sur la confiance de Pauline Marois, qui a dit croire à un gouvernement majoritaire péquiste.
Des trois chefs de parti, M. Charest a sans doute été le moins convaincant, et ce n'est pas à cause de la cacophonie qu'il a déplorée.
Dans un débat musclé, les chefs se querellent autour de leur bilan
«Aujourd'hui, j'ai une bière pour avoir un pays, poursuit-il. Demain, j'aurai un pays pour boire cette bière.»
Le cadre financier rendu public par Jean Charest semble contredire les propos qu'il tient sur toutes les tribunes