Les adversaires de PKP ne lui vont pas à la cheville!
Gulliver au pays des Lilliputiens
Lorsqu'il lui arrive de prendre connaissance des attaques souvent mesquines et généralement de peu d'envergure que lui lancent ses adversaires (pour ne pas dire ses ennemis!), même dans son propre camp, je ne peux m'empêcher de penser que Pierre Karl Péladeau doit parfois se demander, le soir avant de s'endormir, s'il n'aurait pas mieux fait de rester sur ses terres et de profiter tout bonnement de sa fortune, entouré ...