Journal de Maria Mourani

Tribune libre

Madame la députée,

J'ai bien reçu votre journal de propagande fédéraliste que je ne suis pas intéressé à lire et encore moins à le recevoir.

Je vous prie donc, vous la transfuge députée pour laquelle je n'ai pas votée , puisque mon vote s'adressait à la candidate du «Bloc Québécois » devant « défendre les intérêts du Québec et de son peuple à Ottawa » , en attendant qu'il devienne un «État indépendant et laïque de langue française » en terre des Amériques.

Je profite de cette occasion pour vous suggérer «fortement » de demander à la SSJB de Montréal de vous destituer du titre de «Patriote de l'année » que vous n'avez jamais mérité puisque ce titre doit être attribué à une personne oubliée ayant œuvré à la promotion de l'indépendance du Québec et de son peuple qui souhaite voir poindre son drapeau dans le ciel des peuples libres et indépendants , pays capable d'œuvrer au bonheur de son peuple dans le cadre des pays libres membres partie des «Nations Unies».

Je termine ici ce propos, que vous ne lirez probablement pas, en vous disant qu'il est faux de prétendre que mon peuple, pas le vôtre, peut s'épanouir dans le Canada que vous défendez lorsque nous savons qu'il s dépossédé le Québec de tous ses outils économiques , alors qu'il a tout fait pour nous faire disparaître ,comme peuple de langue française en terre d'Amérique du nord et des Amériques.

Et ce n'est certainement pas Thomas Mulcair, votre chef, descendant du Grand Honoré Mercier, qui viendra défendre les intérêts du Québec de langue française alors qu'il a combattu la loi 101 , comme d'autres avant l'ont fait, en déportant les Acadiens qui refusaient de vendre leur âme française à la reine d'Angleterre, ces anglais (pas encore canadian à cette époque) qui ont ensuite interdit à ce peuple, qui était revenu chez lui, de parler sa langue, peuple Canadien (c'était notre nom à l'époque) a vu sa langue interdite dans 6 autres provinces par des lois ou des règlements amicaux ,dont une loi a amené à la pendaison de Luis Riel, «Grand Patriote » que l'on a «honoré «?» du titre de père de la confédération après lavoir pendu.

Et c'est ce peuple que vous voulez servir, je devrais dire que vous servez, comme députée du «NPD» depuis quelques mois?

Voilà pourquoi, Madame la députée transfuge, je refuse de recevoir votre bulletin, sans valeur pour moi et mes compatriotes.

Souhaitant que vous rendrez le titre de Patriote qu' on vous a décerné avant que le «Conseil général ne vous l' enlève » , je vous pire madame de recevoir mes salutations les moins chaleureuses.

D'un citoyen d'Ahuntstic. Ancien Secrétaire général de la SSJB de Montréal sous la présidence de M. Jean-Marie Cossette. Créateur du titre de Patriote de l'année (1975). Président de «3» sections de la SSJB de Montréal.


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6 commentaires

  • Jean Archambault Répondre

    8 juillet 2015

    Je suis président du Bloc Québécois de la circonscription Ahuntsic-Cartierville. Nous présentons un très bon candidat en la personne de Nicolas Bourdon. Notre bataille contre les fédéralistes sera épique.
    La très grande majorité des militants du BQ ont dénoncé le départ de Maria Mourani du Bloc. En tant que membre de son ancien exécutif qui a travaillé bénévolement, avec d'autres militants, à son élection lors des campagnes de 2006, 2008 et 2011, nous croyons que la seule raison qui a motivé son choix était de pouvoir garder son salaire de 163 000 $. La veille de son annonce publique en septembre 2013, Maria a rencontré son conseil exécutif pour les informer que Ibrahim El Béchara, son époux, et elle-même démissionnaient du Bloc Québécois et elle nous demandait de ne pas intervenir auprès de monsieur Paillé.
    Son choix était définitif. Cette démission survenait après les manigances des fédéralistes pour charcuter la circonscription d'Ahuntsic.Les fédéralistes, constatant leur insuccès électoraux, ont agi, dans l’ombre, pour éliminer le village gaulois.
    Stéphane Dion, l’homme qui ne supporte pas le concept de statut particulier, même pour garder le Québec dans la fédération canadienne, a mis de l’avant une stratégie machiavélique, acceptant même que sa circonscription, Saint-Laurent ait un « statut particulier ».
    En octobre 2012, dans son mémoire intitulé « Il faut préserver l’intégrité de Saint-Laurent et de Cartierville » et présenté à la Commission de délimitation des circonscriptions électorales fédérales pour la province de Québec, il propose de se départir du district de Cartierville dans son intégralité pour le rattacher à la circonscription d’Ahuntsic.
    Suite à des audiences tenues en novembre 2012, la Commission accepte l’idée du député Dion, de rattacher, dans sa totalité, le district de Cartierville (multiethnique) à la circonscription d’Ahuntsic. En privilégiant de préserver l’intégralité de Cartierville, aux dépens d’Ahuntsic, les commissaires décident de détacher le district de Sault-Au-Récollet (francophone) et de l’attribuer à la circonscription de Bourassa.

    Cette Commission a basé ce nouveau découpage à partir non pas de statistiques établies et factuelles mais de données prévisionnelles; ce qui va l’encontre même de la loi qui stipule que la reconfiguration des circonscriptions doit se faire à partir de statistiques du recensement le plus récent, soit dans ce cas, celui de 2011.
    En avril 2013, Maria Mourani, avant sa conversion aux vertus du fédéralisme canadien, affirme, avec tous les organismes représentatifs d’Ahuntsic, que cette nouvelle configuration « (…) est en soi une aberration sociologique, historique et humaine. Telle qu'elle est présentée, la proposition brise notre communauté et lui enlève son poids politique. Quand je parle de notre communauté, je parle, bien sûr, de la communauté d'Ahuntsic. (…) Allons droit au but. Le grand problème de ce redécoupage concernant Ahuntsic, le coeur du problème si vous le voulez, est que la commission a choisi d'accorder un traitement spécial à la circonscription de Saint-Laurent au détriment d'Ahuntsic. Fait rare et inusité, la commission le confirme dans son rapport. Elle dit ceci, et je cite: « [...] soulignons que la circonscription de Saint-Laurent, sur l’Île de Montréal, a été l’objet d’un traitement spécial (...) ».
    Il est clair que Stéphane Dion a accepté et même proposé un statut particulier pour sa circonscription afin que la nouvelle circonscription Ahuntsic-Cartierville tombe aussi aux mains des rouges.

    En 2013, grâce à cette Commission, nous nous retrouvons avec la circonscription de Saint-Laurent (Stéphane Dion) qui compte seulement 93 842 résidents et celle d’Ahuntsic-Cartierville qui se chiffre à 110 473 habitants. Sur l’Île de Montréal, il y a 18 circonscriptions dont la moyenne de population est de 104 805 résidents.
    Mais il y a pire que cela.
    L’un des commissaires de cette instance, Raymond Hudon, dans un article signé par Yvon Larose en mars 2013, reconnaissait l’apport très louable du député Stéphane Dion dans la reconfiguration des frontières de la circonscription d’Ahuntsic. Il affirmait que « (…) durant les audiences, des députés connus comme les libéraux Stéphane Dion (…) et Justin Trudeau, (…) proposé des amendements, même si ceux-ci allaient à l’encontre de leurs intérêts. Ces amendements que nous avons reçus et intégrés à notre rapport ont eu pour effet d’amputer leur circonscription de secteurs où leurs appuis étaient les plus solides. (…). Magnanimes, ils l’ont fait afin que la carte électorale soit un succès, c’est-à-dire la plus équitable possible ».
    Magnanime, Stéphane Dion, voyons donc, on croirait rêver !!! Ce commissaire (professeur en science politique de l’université Laval, qui a enseigné avec le père de Stéphane Dion (Léon Dion), a-t-il compris que Stéphane Dion se montre plutôt machiavélique en proposant un amendement dans lequel il laisse partir le district de Cartierville ? Cet amendement fait en sorte qu’Ahuntsic se voit amputer du district Sault-au-Récollet, district francophone pour un district multi-ethnique ; ce qui, à terme, enlève tout pouvoir aux gens d’Ahuntsic. Ce commissaire est-il vraiment sérieux lorsqu’il souligne l’apport magnanime de Stéphane Dion dans ce redécoupage de la circonscription d’Ahuntsic ?
    Pourtant les chiffres sont clairs et les commissaires les connaissent. En transposant les votes valides de l’élection de 2011 dans la nouvelle circonscription Ahuntsic-Cartierville, le BQ arrive maintenant troisième avec 28,3 % des votes, alors que le PLQ remporte la victoire avec 31,1 % et le NPD, second avec 29,9 %. En 2011, Le BQ était premier avec 31,8 %, le NPD était second avec 30,3 % et le PLC terminait troisième, avec 27,9 %. Si nous faisons l’exercice pour la nouvelle circonscription de Saint-Laurent, seulement dans le cas de Stéphane Dion, nous constatons que ce dernier gagne avec 42, 9 %, alors qu’ 2011, Stéphane Dion l’emportait avec 43, 4%.
    Somme toute, son attitude supposée magnanime ne lui coûte que 0,5 %. C’est le BQ qui fait les frais de cette opération anti-démocratique: dans Ahuntsic, il plonge à la troisième place. Rien ne change pour Stéphane Dion. Il remporte confortablement la circonscription passant de 43,4 % à (2011) à 42,9 % (avec la transposition des votes valides de 2011). Stéphane Dion n’a pas été magnanime puisque son amendement permet au PLQ de remporter les deux circonscriptions. Comment appelez cela sinon un vol planifié par les fédéralistes !!!!
    Le député Dion a influencé une commission qui se dit neutre et apolitique, dans le sens des intérêts des libéraux. Il y avait matière à maintenir coûte que coûte la requête en contestation de cette décision partisane de cette Commission en Cour fédérale.
    La volonté des commissaires de ne pas accorder le statu quo, démontre leur partialité. En plus d’attribuer un statut particulier à la circonscription Saint-Laurent en lui permettant d’avoir la population la moins élevée (93 842 résidents) des dix-huit circonscriptions de l’Île de Montréal (moyenne par circonscription : 104 805 résidents), ils accordent sciemment une plus grande possibilité de victoire de libéraux, en 2015, dans la circonscription Ahuntsic-Cartierville.
    Deux raisons militent en faveur de la requête pour annuler la nouvelle configuration de la circonscription d’Ahuntsic : le statut particulier réservé à la circonscription Saint-Laurent en utilisant des données prévisionnelles et l’amputation du Sault-au-Récollet, district historiquement lié à Ahuntsic.
    Maria Mourani avait le devoir (elle l’avait aussi promis aux électeurs du Sault-au Récollet) de d’aller jusqu’au bout.
    Après avoir déposée la requête en Cour fédérale le 16 septembre 2013, en l’annonçant dans un communiqué aux médias, Maria Mourani décide de la retirer, en catimini, le 25 octobre 2013.
    Pourquoi arrêter cette requête alors que ses chances de gagner étaient plausibles ? Un des commissaires, Raymond Hudon, reconnaissait en mars 2013, l’influence du député Dion sur les délibérations de la Commission, reconnue neutre et apolitique.
    En avril 2013 Maria Mourani avait raison de dire que la Commission accordait un statut spécial à la circonscription de Saint-Laurent.
    Mais au lieu de se battre en Cour fédérale en maintenant la requête au nom d’une citoyenne du Sault-au-Récollet, elle quitte le BQ en septembre 2013 et se déclare députée indépendante en réflexion. Mais dès décembre 2013, Maria Mourani fait son acte d’allégeance au Canada. Elle est devenue fédéraliste enragée, plus fédéraliste que Stéphane Dion. Elle parle des Québécois francophones en utilisant le vocable « les Canadiens-français ». Même les fédéralistes de longue date n’utilisent plus cette expression. Pourquoi ce changement si rapide et soudain ?
    Oubliez les raisons invoquées, Maria Mourani devient fédéraliste non pas à cause de la présentation du projet de loi sur la Charte des valeurs québécoises par le gouvernement Marois, mais suite à la certitude de conserver sa circonscription modifiée si elle quitte le BQ pour un parti fédéraliste.
    Ce qui est en cause, c’est son salaire de 163 000 $, qu’elle veut garder à tout prix même si elle doit trahir tous ses idéaux. La charte sur la laïcité est le prétexte parfait pour tout abandonner. Elle ne rappelle même pas qu’elle a participé entre 2007 et 2010 au Comité parlementaire Turquie-Canada.
    Dans ces années-là, la Turquie était le pays musulman le plus laïque au monde. Il y avait une interdiction absolue pour une fonctionnaire de porter le hijab. Ça ne semblait pas troubler Maria Mourani puisqu’elle accepte d’assumer la vice-présidence de ce comité en 2010. Cette même année-là, Maria Mourani voyage en Turquie entre le 11 et 18 juin, voyage payé par l’ambassade et le gouvernement turcs.
    Non, Maria Mourani connaît les chiffres. Elle juge que ses chances de l’emporter sont beaucoup élevées en joignant un parti fédéraliste, surtout le PLC. Je crois que, dès mai 2013, Maria Mourani avait déjà décidé de quitter le BQ; il lui manquait seulement le bon prétexte pour devenir fédéraliste et garder son image de femme politique honnête et démocratique.

    Alors que les fédéralistes ont obtenu ce qu’ils voulaient : une circonscription modifiée selon leurs vœux, foulant aux pieds les gens d’Ahuntsic, Maria Mourani, se prosterne devant le pouvoir fédéraliste, espérant en récolter les miettes. En mai 2013, elle est déjà ailleurs… L’arrivée possible de Mélanie Joly au PLC mettront fin aux espoirs de Maria Mourani. Elle confirmera alors sa conversion, en devenant officiellement candidate du NPD en janvier 2015.

    Finalement, soulignons que Maria Mourani, maintenant candidate du NPD, a fait une levée de fonds pour les élections fédérales. Cette opération financière dite pour les militants du NPD Ahuntsic-Cartierville s'est passée dans un restaurant à Laval. Sur sa page Facebook, après une journée, elle a retiré cette information. Maria Mourani ne voulait tout simplement pas être vue par les citoyens de Ahuntsic avec ses donateurs libanais et turcs.
    La présidente de l'association du NPD dans la circonscription Ahuntsic-Cartierville est Hasnaa Kadiri, ancienne candidate, en 2014, de Québec-Solidaire dans la circonscription de Saint-Laurent.
    Les militants du Bloc Québécois n'ont jamais suivi Maria Mourani, comme elle le prétend. Protégée par certains journalistes du Devoir et de La Presse qui étaient contre la charte, Maria peut se permettre de mentir et de cacher son jeu.
    Maria Mourani que je connais depuis 2005, nous a menti et va continuer à tenter de manipuler l'opinion publique. Grâce à nos efforts, nous l'avons forcé en décembre 2013 à se déclarer fédéraliste. Elle aurait voulu avoir plus de temps pour continuer ses négociations avec le PLC et le NPD. Sa sortie en tant que fédéraliste, a été déplorable. Sur sa page facebook, elle a même mentionné que les canadiens-français ne suivaient pas PKP. En utilisant ce vocable que des vieux fédéralistes n'utilisent même plus, Maria a démontré toute sa hargne contre ceux et celles qui ne l'ont pas suivie dans sa conversion fédéraliste. Dans les derniers mois, elle a perdu beaucoup de crédibilité et nous continuerons à mettre de la pression sur cette parvenue.

  • Archives de Vigile Répondre

    7 juillet 2015

    Sa circonscription a été l'objet d'un redécoupage majeur où on a dilué le vote bloquiste en y ajoutant un secteur rouge foncé (PLC). Notre patriote a bien compris la manoeuvre, et a compris que ses chances en tant que bloquiste en 2015 seraient pratiquement nulles.
    Elle aurait sans doute préféré joindre le PLC, mais Justin n'avait rien à gagner à s'associer à une ex-bloquiste. Mulcair, lui, a sans doute jugé qu'il n'avait rien à perdre.
    En bout de ligne, cela améliore peut-être les chances du Bloc de remporter cette circonscription. Si elle peut se partager le vote fédéraliste avec le candidat du PLC, celui du Bloc pourrait bien se faufiler entre les deux. À suivre...

  • Archives de Vigile Répondre

    6 juillet 2015

    Maria Mourani a pensé que le Bloc n'avait plus d'avenir. Elle a eu peur d'être obligée d'enlever sa croix dans le cou. Gros prétexte pour changer de parti et garder son salaire de députée au Parlement d'Ottawa. Elle a hésité entre le PLC et le NPD. Suite à la vague orange de Jack Layton, elle a choisi le NPD. Le salaire d'une députée à Ottawa en 2015 est de 167,400.$. A cela additionner une allocation pour le logement plus diverses allocations pour son secrétariat de députée.
    Parfois quand on cherche à comprendre pourquoi une députée change de parti, il faut être très prosaïque.
    On n'a plus les Patriotes de l'année qu'on avait. Ce genre d'évolution porte un nom: c'est de l'opportunisme. Avec des convictions à géométrie variable qui s'adaptent aux circonstances ce qui permet de conclure que ce n'était pas des convictions profondes. Si j'habitais dans son comté, je voterais pour le Bloc. Je souhaite qu'elle subisse la défaite ce qui serait le salaire normal d'une vire-capot sans envergure.
    Robert Barberis-Gervais, 6 juillet 2015

  • Archives de Vigile Répondre

    6 juillet 2015

    Lors du vote sur les mesures de guerre en 1970, Il y avait vingt députés NPD au parlement canadian. Tommy Douglas fut le seul à avoir le courage de voter contre et il en a payé le prix politique.
    De plus, le NPD a appuyé les libéraux lors du rapatriement de la constitution de Trudeau en 1982 et lors de la loi sur la clarté de Dion récemment!!!!
    Rappelons que le chef du NPD Mulcair a de l’expérience en matière de contestation des lois fondamentales du Québec, lui qui a été directeur des affaires juridiques au sein d'Alliance Québec, un organisme qui visait à contester et à affaiblir la Charte de la langue française donc contre la loi 101.
    Le NDP s'est opposé à l'Entente du Lac Meech et trouvait que l'entente de Charlottetown était trop généreuse pour le Québec.
    En 2008, le NDP a voté contre le retrait des troupes en Afghanistan en février 2009 et plus récemment, pour le maintien des attaques en Lybie.
    En 2013 Mulcair à signalé que son parti serait prêt “sans aucune hésitation” à financer les contestations de la Charte des valeurs québécoises devant les tribunaux dès son adoption a montré qu’il ne respecte pas le droit de la nation québécoise de choisir librement son modèle de société.
    .
    En 2013, le NDP a voté pour la motion M-412 (La garantie de prêts à Terre-Neuve pour construire ses lignes hydro-électriques/Projet du Bas-Churchill), contre le Québec.
    En 2014, le NDP s'est déclaré favorable à un oléoduc de l'ouest vers l'est et la possible pollution du Saint-Laurent.
    Mulcair c'est déclaré à plusieurs reprise pour que le fédéral envahisse les champs de compétences constitutionnels du Québec.
    Soyons clair ! Le NDP est un parti ultra centralisateur et fédéraliste!!! et contre les intérêts du Québec.

  • Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre

    5 juillet 2015

    Propos appuyé à deux mains.
    Sachons quand même qu'un électorat bien constitué a l'habitude de retourner à ses chaudrons un candidat transfuge. Cette individu misait sur l'impression, heureusement fugace, que le Bloc avait terminé sa vie utile. Or, ce nouveau cycle indépendantiste reprend vigueur sous Duceppe et Péladeau alors que les Québécois ne peuvent plus sentir les mensonges grossiers des élus à Québec et à Ottawa.
    Si nous ne sommes pas encore affamés par la haute finance comme les Grecs, nous voyons quand même venir. Le peuple québécois a donné toutes les chances au Canada de montrer la moindre équité envers Notre nation mais le pendule n'est jamais revenu: on nous minorise de plus en plus financièrement, culturellement par les médias et l'éducation, on nous minorise dans nos décisions environnementales, dans nos choix d'immigration, de commerce international, d'armement, etc.
    Nous allons ignorer ces propagandes hypocrites. Une candidate qui n'est même pas vire-capot et qui a usurpé fallacieusement le titre de Patriote sans avoir jamais été sincère puisque ses activités à la marge furent douteuses, ne peut s'adresser à ses anciens commettants sans risquer les huées. Bloc à Ottawa, P.Q. nouveau à Québec, pour un avenir qui Nous appartient.

  • Marcel Haché Répondre

    5 juillet 2015

    Maria Mourani nous fait la démonstration qu'il y a parmi le West Island une frange qui parle et qui écrit très bien le français.
    Ce n'est pas son transfuge politique qui fait problème,Maria Mourani, c'est que, dressée contre Nous, elle ait pu faire croire qu'elle était patriote. Elle n'a jamais été patriote. Car on ne peut pas dire : vous savez, j'étais pour la liberté du peuple auquel j'appartiens, mais maintenant je ne le suis plus. Cela n'aurait aucun sens politique. N'a jamais été patriote point.
    N'ayant jamais été patriote, la S.S.B.J. devrait savoir quoi faire...sinon nous serions en droit de penser que cette noble société est restée aux mains des zinzininclusifs.