Se défaire de Harper ou du Canada

Conservateurs et libéraux même farine

Tribune libre

Depuis l'annonce des élections fédérales, on nous fait croire que nous devons nous débarrasser de Harper alors que le vrai motif des indépendantistes est tout autre ; soit celui de nous libérer du Canada .

Nous , les indépendantistes, devons éviter de tomber dans le piège que nous tendent les journalistes et les politiques fédéralistes,
Trudeau qui se dit fier de l' héritage de son père , héritage ( 500 prisonniers, indépendantistes i innocents, et la constitution de 1982
contre le Québec) qu'il endosse, et de Tom, « dit Thomas» , Mulcair, qui a lutté contre la loi 101 et pour le canada lors des référendum Québécois.

Les indépendantistes doivent donc éviter de tomber dans le piège que nous tendent les politiques fédéralistes la FTQ, pour qui ses intérêts
sont plus importants que la libération du Québec et de son peuple; dans ce sens ils ont plus près des ennemis du Québec qu'ils combattent de toutes les façons, politique , économique ( voir dépossession tranquille du Québec) en=t anti langue française par leurs «7» lois linguistiques, dont celle qui a chassé les Acadiens de leurs terres par leur déportation v3ers des pays étrangers.

Lundi: « Voter pour la libération du Québec et de son peuple, en votant pour le seul parti, le «Bloc Québécois » nous proposant de protéger et de promouvoir les intérêts du Québec à Ottawa ,,est le seul moyen dont nous disposons en territoire fédéral !.

Les indépendantistes doivent donc éviter le piège des fédéralistes qui ont pour objectif de se libérer de Stephan Harper alors que nous ,indépendantistes, voulons libérer un peuple assujetti de tout temps, par Ottawa .

Lundi 19 octobre, il n' y qu'un vote possible soit celui que nous accorderons ensemble au « BLOC QUÉBÉCOIS » .

Lundi je vote Bloc Québécois et j'incite les indépendantistes à faire de même !

Si on faisait parvenir ce message à tous nos ami-e-s avant qu'ils et elles ne tombent dans le piège fédéraliste alors qu'il est encore temps


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2 commentaires

  • Marcel Haché Répondre

    20 octobre 2015

    Maintenant que les troupes d’Harper ont cédé sur le front « anti-Harper », cela au nom du « changement », l’Indépendance a-t-elle avancé d’un seul petit pouce au Québec, selon la savante stratégie de Gilles Duceppe ?
    Trudeau à Ottawa, un trudeauiste à Québec, y a-t-il encore des indépendantistes pour prévoir prochainement qu’ils seront ceux qui écriront l’Histoire ?
    Faut-il renoncer ? Bien sûr que non. L’indépendance reste « à faire »…Et si je peux modestement ajouter ceci : elle a déjà suffisamment été « dite et chantée » l’Indépendance.
    Le nouveau cycle politique qui s’inaugure ce matin au Canada et au Québec va nécessiter de nouveaux hommes et de nouvelles femmes qui vont Nous parler net, autrement…ben autrement… c’est tout le Québec qui va se rendre et s’incliner devant l’infamie de 1982.
    Ne s’agit plus de sortir le Canada du Québec. S’agit bel et bien de sortir le West Island du Québec ! Pour cette raison... Gilles Duceppe doit partir.

  • Archives de Vigile Répondre

    18 octobre 2015


    Gilles Duceppe a ouvert il y a longtemps un front « anti-Harper ». C’est un front qui n’avait rien à voir avec l’Indépendance. Cela n’était pas bien avisé de l’ouvrir.
    La p’tite gang du West Island, oui, oui, celle du père et du fils Trudeau, tous les deux si détestables, a laissé champ libre au Québec au N.P.D., afin qu’il bouscule le Bloc à son profit, son profit consistant toujours, à cette p’tite maudite gang, à triompher de l’indépendantisme québécois par tous les moyens.
    Après avoir laissé la gang des progressistes à la noix de Q.S. et du N.P.D. terrasser le Bloc (le mot d’ordre de Duceppe de ne pas voter pour Harper était habilement sauvegardé mais contourné), cette même p’tite gang d’incapables s’apprête à survoler maintenant le N.P.D. lui-même, qui a pourtant fait tout le travail sur le front « anti-Harper ». En personnalisant et en diabolisant à outrance la présente campagne électorale, Mulcair a donc fait tout-tout-tout le travail que Trudeau n’aurait pas su faire lui-même, ni au Québec ni au Canada, exactement comme Duceppe avait fait tout-tout-tout le travail de préparation à la venue de Layton au Québec.
    Sans le vouloir à l’époque, Gilles Duceppe avait pavé gratuitement la voie au parti fédéraliste le plus dépourvu de toute racine politique au Québec. Le N.P.D. était et reste le parti le plus intensément fédéraliste et le plus anti-Québec de tous les partis nationaux canadiens. Ce même N.P.D., à son tour, sans le vouloir lui non plus maintenant, a ouvert toute grande la voie à la p’tite gang d’incapables du West Island, mais cette fois, pour cette p’tite gang de bâtards politiques, non pas seulement au Québec, mais à la grandeur du Canada, là précisément où les racines politiques rouges sont autrement plus longues que les racines oranges.
    La boucle sera bouclée le 19 octobre prochain : les winners sont encore les mêmes, et les losers, les mêmes itou…