Souvenirs de Parthenais, octobre - décembre 1970
Québec 1970 – territoire occupé… à libérer ! En liberté après 76 jours sous la Loi des mesures de guerre Mais combien de jours encore avant que le Québec devienne complètement libéré ?
Québec 1970 – territoire occupé… à libérer ! En liberté après 76 jours sous la Loi des mesures de guerre Mais combien de jours encore avant que le Québec devienne complètement libéré ?
40 ans jour pour jour après son arrestation, en ce 28 décembre
En ce 28 décembre, il y a 40 ans jour pour jour prenait fin la Crise d’octobre 1970, alors que les trois membres en cavale de la cellule Chénier du Front de Libération du Québec étaient arrêtés dans un tunnel qu’ils avaient creusé sous une maison de Saint-Luc-sur-Richelieu. C’est Paul Rose, leader du groupe, qui écopera le plus, avec deux peines d’emprisonnement à vie pour l’enlèvement et le meurtre de ...
«L’histoire, ça a toujours été une guerre entre différentes versions des faits : à un moment, il y en a une qui s’impose. Dans le cas de la crise d’Octobre, plusieurs éléments font, à mes yeux, que le version officielle ne tien...
Tetley, Amyot, puis la SAQ
Au cours des dernières semaines, on a beaucoup parlé des 40 ans de la Crise d’octobre et de son odieuse Loi sur les mesures de guerre. Octobre étant maintenant derrière nous, quoi de mieux pour conjurer toute répétition de l’histoire que de visiter le centre d’exposition de la Prison des Patriotes? Quoi de mieux que de le faire un 4 novembre, jour anniversaire d’une autre loi martiale de notre histoire, celle qu’imposa...
Réplique de Daniel Waterlot
Suite à la [parution sur Vigile de deux articles diffamatoires->31937] envers moi-même et la Fondation Octobre 70, mais aussi à la mémoire toute entière des évènements d’octobre. Je propose la mise en place d’une discussion publique à la SSJB où monsieur Crevier-Delisle sera invité à exposer les preuves qui soutiennent ses graves accusations. En aucun cas la Fondation Octobre 70 et la Société-Sa...
Le cas "Jocelyn Létourneau"
La « culture politique nationale » n’est pas un long fleuve tranquille. La société paisible et tranquille s’est fait laminé de bout en bout de son histoire et ne doit sa survivance qu’à une extrême détermination et d’immenses sacrifices.
Mais l’histoire n’oubliera pas une certaine violence de la revendication identitaire qui déboucha sur les événements d’octobre 1970, quand le Front de libération du Québec (FLQ) enleva deux personnalités politiques et le gouvernement fédéral canadien mena la répression en proclamant la Loi des mesures de guerre
Claude Ryan, Le Devoir et Octobre 1970
Lors de la Crise d’octobre, le contrôle des médias est clairement devenu pour le gouvernement fédéral un enjeu central. Mais Pierre Elliott Trudeau et Marc Lalonde se heurteront au jugement implacable d’un Claude Ryan et de son équipe éditoriale qui remettront en cause la pertinence d’invoquer la Loi sur les mesures de guerre.
Claude Ryan, Le Devoir et Octobre 1970
Le « nationalisme » de Claude Ryan et sa défense des intérêts du Québec heurtaient de front les projets politiques de plusieurs membres du gouvernement canadien.
Guy Lachapelle, professeur de science politique à l’Université Concordia, secrétaire général de l’Association internationale de science politique, l’auteur a publié en 2005 un essai intitulé Claude Ryan et la violence du pouvoir - Le Devoir et la Crise d’octobre 1970 ou le combat de journalistes démocrates (Presses de l’Université Laval) (suite de [Claude Ryan, Le Devoir et Octobre 1970 – Quand les idées font tre...
L'espace papier nous manque pour publier les récits passionnants que certains continuent de nous acheminer au sujet d'Octobre 70. Qu'à cela ne tienne, notre site Internet ([www.ledevoir.com->www.ledevoir.com]) nous permet de les héberger et de vous les offrir.
Les dessous d’Octobre 1970
Mais l’enlèvement de Pierre Laporte, le samedi 10, sème la peur en milieu politique. La police est débordée par les demandes de protection. Les forces armées sont appelées en renfort (...)
Un dernier mot sur les "dessous de la liste d'octobre 70"
Comme un papillon qui sort de sa larve, l’ex-policier et ancien soi-disant « gérant de librairie communiste » de 1970, Daniel Waterlot a étrangement émergé des boules-à-mites de l’Histoire du Québec, après 30 ans ‘d’absence’ en Europe. Grâce à son amnésique vedette, à son histoire rocambolesque et à son faux/vrai dossier de la GRC, Radio-Canada parvenait, à quelques heures de l’inauguration du Monument Octobre 1...
Si cela vous intéresse, j'ai mis P. E. Trudeau HISTORIA partie 2 de 2 en entier sur Youtube. Crise d'octobre 70 etc. C'est la suite de la semaine dernière. Souvenez-vous qu'avec Firefox et unplug installé, vous pouvez télécharger les vidéos dans vos ordinateurs. Voir: http://www.vigile.net/Avec-le-fureteur-Firefox-et-unplug *** 1 de 4
Nous nous laissons donc pas culpabiliser par nos ennemis et poursuivons courageusement et sereinement notre route.
Pour en finir avec la culpabilité Que ce soit notre cher Jean Charest à l'Assemblée Nationale ou monsieur Bernard Amyot ancien président de L'Association du barreau canadien dans les pages des journaux voilà que deux fédéralistes tentent encore aujourd'hui de culpabiliser le peuple québécois pour lui nuire et freiner sa marche vers l'indépendance politique. Jean Charest accuse des députés du Parti Québécois de comma...
Il n'apporte aucune preuve à l'appui de cette affirmation gratuite, calomnieuse et contraire à la vérité.
Gilles Paquin - Dans une lettre odieuse et mensongère, M. Bernard Amyot prétendait mardi dernier dans vos pages que la majorité des 500 personnes arrêtées sans mandat et incarcérées s...
Mesures de guerre
Une anthologie de textes écrits par des Canadiens anglais montre que la décision de Trudeau a choqué en dehors du Québec
des Canadiens anglais prêts à dénoncer une mesure qualifiée de «dictatoriale», «totalitaire», ou même de «fasciste», et à s'interroger sur «l'hystérie et la peur» que le gouvernement Trudeau a créées en agissant de la sorte il y a 40 ans
Réplique à Bernard Amyot
La question reste donc posée : pour en arriver là, était-il nécessaire de promulguer la Loi sur les mesures de guerre ?
(Réplique à) un texte de M. Bernard Amyot qui contient des affirmations fausses et même diffamatoires à l'égard de la grande majorité des quelque 500 personnes arrêtées et emprisonnées, arbitrairement et injustement, lors de la Crise d’octobre 1970.
Octobre 1970
Voilà comment errent les aspirations de la nation dans les officines du pouvoir exercé ou à prendre. Sans elle, à coup sûr. Contre elle?
la charge explosive des mots adéquats à la réalité des situations problématiques fait peur. Et, étrangement, aux réformistes encore plus qu’aux réactionnaires. Il fallait donc désamorcer ces mots dangereux qui assuraient la fécondité des débats et des combats.
Renseignement
Cette situation de faiblesse a «nui» au premier ministre et a légitimé la création du CAD, raconte Gilles Néron
Québec — Pendant la Crise d'octobre, le premier ministre Robert Bourassa «s'était trouvé absolument ...
Bernard Amyot déforme encore une fois l’Histoire pour en faire son allié, pour mieux justifier l’injustifiable
Encore une fois, par un savant sophisme, il tente de justifier l’impardonnable, l’emprisonnement en 1970 de centaines de personnes qui ont eu le malheur de penser différemment de lui, des indépendantistes. En définitive, ce que défend Bernard Amyot, pour qui le devoir de mémoire est sélectif, c’est que la raison du plus fort est toujours la meilleure, même lorsque la force utilisée est démesurée. Un avocat qui n’a malheureusement tiré aucune leçon des horreurs qui ont façonné le 20e siècle.
Révisionniste! "Demander la participation de l’armée pour soutenir la police dans son travail est une chose, suspendre les droits démocratiques de toute une population, c’en est une autre." - [Louis Lapointe->31631]
Par leur démagogie irresponsable, M. Landry et la SSBJ contribuent à banaliser la violence et ses conséquences dans une société démocratique.
Il «oublie» aussi que l'arrivée de l'armée a eu pour effet de rassurer la population, de calmer les fomenteurs de trouble, et d'éradiquer, non pas le mouvement indépendantiste, mais bien le terrorisme et ses méfaits.
Le PLQ condamné à commémorer des zéros!
Un nouveau monument souligne l'engagement politique de Pierre Laporte
Brian Myles - Pour le 40e anniversaire de son assassinat aux mains du Front de libération du Québec (FL...
Claude-Jean Devirieux à CISM 89,3 FM
J’ai été menacé de mort (…) et quand on a cambriolé ma maison on m’a volé quoi ? Uniquement mon dossier sur la crise d’octobre. (Claude-Jean Devirieux 5 octobre 2010 - CISM FM)
«Nous avons un devoir de mémoire et de gratitude envers ceux et celles qui ont été victimes d'une injustice qui a été la honte du Canada, a déclaré Bernard Landry. Est-ce qu'une démocratie envoie 500 personnes en prison brutalement sans accusation, sans qu'ils aient violé la loi? Ça ne s'oublie pas et ça ne doit pas s'oublier. Des abus de pouvoir sont toujours possibles.»
Octobre 1970
En octobre 1970, comme en 1810, 1837-1838, 1870-1885, 1918, le Canada a montré qu’il est un État terroriste quand il lui paraît nécessaire d’utiliser l’armée pour briser l’élan du Québec vers une plus grande maîtrise de son destin.
La Presse Canadienne Montréal - Il y a 40 ans ce mardi, le diplo...
Le monument est une sculpture réalisée par l'artiste Marcel Barbeau, l'un des signataires du Refus global. Les noms des quelque 500 personnes arrêtées le 16 octobre 1970 y sont gravés.
Même 40 ans plus tard, la crise d'Octobre provoque encore des tensions à l'Assemblée nationale
Octobre 70 – Le club des liberticides:
EXTRAIT Just watch me. Cette phrase de Pierre Trudeau, qui signifie à la fois “regardez-moi aller” et “vous n’avez encore rien vu”, fut prononcée pendant la crise d’octobre, alors que des soldats gardaient les bâtiments fédéraux mais avant que les droits et libertés des citoyens ne soient suspendus. Elle résume l’homme, son attitude, son action.