Sur le bilinguisme de Mme Marois
Surtout, qu’est-ce qui oblige Mme Marois à répondre parfois à une presse hostile, dans une langue qu’elle ne maîtrise pas bien ?
Qu’arriverait-il si Mme Marois ne s’adressait plus aux journalistes qu’en français ? Est-ce que les « québécois et les québécoises » lui en tiendraient rigueur ? Mais alors, quels « québécois et québécoises » ? Mme Marois ne pourrait-elle pas expliciter sa pensée en français seulement, avec politesses d’usage en anglais, en italien ou en espagnol à l’occasion, mais en toute occasion inclure un « merci » de poli...