Médias et politique

Star's choice: Dion, Liberals



Prime Minister Stephen Harper has run a government that has put partisanship and ideology ahead of the public interest. In fiscal policy, Harper has pursued a neo-conservative strategy to cut the GST – not, as economists had recommended, income taxes – in order to reduce dramatically the role of government. He inherited a $12 billion surplus from the previous Liberal government (under Paul Martin) and has squ...

Harper is growing into the job



Two anxieties, neither wholly irrational, have attached themselves to Stephen Harper in his years as a contender for and holder of the top political office in the land. The first is that he is a right-wing ideologue, badly out of sync with mainstream Canadian values and sentiments. The second is that he is possessed by a mean-spirited and controlling nature; that his emotional intelligence isn't up to his mental...

André Pratte – "Aucun parti n’est à la hauteur"

<i>La Presse</i> avoue perdre la cause Canada



Le dépit de La Presse - Quel est le problème ? Il n’y a rien d’affreux à vouloir assumer toutes ses responsabilités de peuple démocratique, souverain et libre « d’assumer son destin » ? Comme on l’explique dans l’article « 

Ce que veut GESCA et ce que veulent les Québécois...

Aucun parti n'est à la hauteur

Élections > pourquoi La Presse prend-elle position?


Alors que s'achève cette campagne électorale, La Presse dresse un triste constat: aucun des partis politiques fédéraux n'a fait la preuve qu'il est vraiment prêt à gouverner le pays en cette période de profonde incertitude économique. Nous ne sommes donc pas en mesure d'accorder notre appui à l'une ou l'autre des formations en présence. En 2006, La Presse avait appuyé le Parti conservateur, et ce, malgré les in...

Jour 30 - La Presse partisane - La crise financière

Attention danger - Le pari perdu de la droite Conservatrice&nbsp;?


Raymond Giroux dans son billet de campagne d’aujourd’hui 2008 10 07, intitulé «  Enfin, Harper s’éveille à la crise  » publié dans la page 3 du Soleil - Dossier « Crise financière », observe, me semble-t-il fort justement, « Stephen Harper a hâte, très hâte aux élections. Car l’économie se porte mal et le chef conservateur, hier,...

Québec

Le danger croît avec l'usage



Lors de la campagne électorale de 2006, plus d'une centaine de sondages avaient scruté l'opinion des Canadiens. Pour certains, c'est trop; pour les médias c'est du «bonbon». Pour évaluer scientifiquement l'état de l'opinion, le sondage reste le meilleur outil. Mise au point en 1936 par George Gallup, cette technique est devenue incontournable en vue de prédire les résultats. En plus du rappel de la sempiternelle m...

La formule américaine



Les Américains nous donnent, ces jours-ci, une belle leçon de sérieux politique. Comparez leurs débats à nos «tables rondes» dépourvues de décorum et de cohérence. Le débat en français tenait, dans ses pires moments, d'une vulgaire assemblée de cuisine. Le climat était si familier que l'animateur a appelé Stéphane Dion par son prénom avant de demander à Gilles Duceppe s'il avait un REER, et qu'on a vu Elizabeth...

Autour des débats politiques



La peur de l'ennui est mauvaise conseillère. Cette semaine, pour éviter que les débats des chefs ne soient «plates», ternes, sans action, on a tenté d'appliquer une formule de table ronde inspirée de la table de cuisine si chère aux populistes. Certains rêvent que les chefs s'engueulent, s'invectivent, s'enragent, soient mis K.-O. pour que le show en vaille la peine qu'on y a mise. Dans le débat en français, l'exerc...

Dion was big loser in debate

The Liberal leader looked nothing like a prime minister in the English debate


Pollster Jean-Marc Léger says there are three "magic moments" in an election campaign when the voters are up for grabs: the first 48 hours after the election is called, the 48 hours following the televised leaders' debates and the last 48 hours before the vote. And the real objective of a leader in the debates is not to be declared the winner the morning after by either newspaper pundits or instant polls. ...

Campagne électorale - La spirale de la négativité



Les présentes élections fédérales, tout comme les élections québécoises de 2007, montrent que la tendance à la négativité s'impose dans les stratégies de communication des partis. Certes, la critique de l'adversaire a toujours fait partie de l'arsenal des partis politiques. Cette logique promotionnelle est inhérente au choix démocratique, qui suppose une comparaison entre au moins deux candidats, deux partis ou...

Les débats... et après



Les téléspectateurs de langue anglaise ont assisté hier soir à un débat plus dynamique, plus vigoureux que celui qu'avaient vu mercredi leurs concitoyens de langue française. Le chef conservateur, Stephen Harper, s'est beaucoup mieux défendu. Gardant son calme, bien qu'attaqué de toutes parts, il est parvenu à expliquer de façon plutôt convaincante que son gouvernement n'est pas aussi passif qu'on le dit dans les...

Le débat en anglais: le vrai débat!



Le vrai débat des chefs n'a pas eu lieu mercredi. Il s'est déroulé jeudi soir, en anglais. Pas parce que le débat en français était sans intérêt, ni parce que le Québec ne compte pas. Mais parce que le terrain de cette campagne électorale s'est déplacé. Le véritable enjeu de ces élections c'est de savoir si les conservateurs remporteront assez de sièges pour former un gouvernement majoritaire. Et si les troupes...

Le gala des «momies»

Et comme prévu, il ne s'est rien passé.


Le cartel des télévisions à qui on doit l'organisation des débats des chefs ne veut pas de débordements. C'est évident. Avec leur formule proprette et totalement aseptisée, leurs règlements hautement civilisés, les responsables du cartel ont réussi à tuer toute envie de faire de ces deux heures un moment important de notre vie démocratique.

Québec

Condescendance colonialiste...

Et maintenant, en anglais



En ce qui concerne Gilles Duceppe, le chef du Bloc québécois, sa présence dans le débat en anglais est une complète perte de temps et même une insulte étant donné que son parti ne présente aucun candidat hors du Québec. Presque personne dans l'auditoire anglophone au Canada n'est intéressé par ses plaintes prévisibles et inspiré par un esprit de clocher à propos du Québec.

Une tisane avec ça?



Il ne manquait que les petits fours et le pot de tisane - encore qu'un 40 onces de vodka aurait été plus indiqué, histoire de mettre de la vie dans ce débat soporifique que nous ont infligé hier soir les télédiffuseurs. Avec Elizabeth May dans le rôle de la mouche du coche, les leaders ont été pour l'essentiel des invités modèles, corrects et bien élevés. Une soirée entre voisins de bonne compagnie, bien gérée ...

L'effet d'un débat sur l'issue du scrutin



Depuis 50 ans, le débat des chefs est devenu une véritable institution électorale au Québec et au Canada. D'une part à cause de sa position charnière dans la campagne électorale. Ainsi, après le débat, on note généralement un changement de tempo. Et d'autre part parce que cette émission rejoint, selon les mesures d'auditoire, un public très large, incluant, pour la première fois depuis le début de campagne, une fo...

Un bon débat



En premier lieu, il faut féliciter ceux qui ont conçu la formule des débats des chefs de cette année. Malgré la participation de cinq leaders, les Canadiens francophones ont eu droit hier soir à une véritable discussion. Un débat de contenu, serein, parfois vigoureux mais sans cacophonie, grâce à l'animation très professionnelle de Stéphan Bureau. Le premier ministre sortant, Stephen Harper, était évidemment da...

La parole souverainiste contrée - La désinformation et les dérives médiatiques

Le cas d’espèce VLB - Reine nègre, refait surface dans Vigile après la dérive médiatique du cas «&nbsp;McCartney&nbsp;»


Les souverainistes ont longtemps cru que la seule parade aux dérives médiatiques instrumentalisées par les canadianisateurs était de tancer les « fautifs », sans même prendre le temps d’en référer aux sources, en prenant pour acquis non pas le bien fondé des victimes de telles dérives, mais en se fondant sur l’enflure médiatique elle-même. Je ne suis pas sûr qu’après l’épisode de l’affaire « McCartney&n...

Le prisme déformant des médias canadiens sur notre identité collective



Le contexte canadien sur la démocratie québécoise génère un prisme médiatique déformant. En effet, Influence Communication à révélé aujourd’hui que seulement 11% du poids médiatique au Québec était accordé au Bloc québécois. Pourtant, depuis son baptême électoral en 1992, le Bloc détient la majorité des sièges au Québec et demeure la principale formation politique au Québec sur la scène fédérale avec près de 40% .

Québec

La propagande du journal La Presse: l'analyse de ses caricatures



Une image vaut mille mots ; or nous ne pouvons aborder le sujet de la propagande du journal La Presse sans considérer ses caricatures. La Presse… objective dite-vous… je vais donc simplement vous démontrer le contraire par un petit décompte mathématique. Ci-dessous, voici donc l’intégralité des caricatures du réseau Gesca pendant l’actuelle campagne faisant référence au Bloc et au Parti conservateur. À chaque fois qu’une caricature est favorable à son sujet, je lui donne un point. Inversement, je soutirerai un point si la caricature est défavorable. Voyons donc le résultat. _ _ Consultez l'article en ligne

Jour 15 - La Presse partisane. Le silence...

Un ancien ministre et un ex-Premier ministre péquistes appuient le Bloc... aucune nouvelle...


La Presse et Gesca auraient pu aujourd’hui équilibrer les choses après avoir fait une nouvelle de la prise de position de l’ex-ministre péquiste Jacques Brassard se questionnant sur l’efficacité de l’argumentaire du Bloc québécois. ( « Jacques Brassard varlope le Bloc - La Presse e...

Est-ce que le Conseil de presse du Québec peut faire quelque chose&nbsp;?

Je suis écœuré des grandes manœuvre du groupe Gesca afin de favoriser le Parti Conservateur et de ni plus ni moins tenter de détruire la Bloc Québécois


Les responsables de l’information de Gesca qui ont le mandat de couvrir la campagne électorale n’ont-ils pas bafoué " …le droit du public à l’information." ? Ne constatons-nous pas de " …présumés manquements à l’éthique journalistique." ?

La campagne électorale fédérale de 2005-2006

La mascarade

Un jeu de rôle orchestré en marge du débat des chefs à Radio-Canada


En démocratie, ce sont les citoyens engagés qui font avancer les débats, car la polarisation est un préalable à la recherche de solutions durables. Les débats où les acteurs sont mal informés donnent en général des consensus mous, des débats où il y a peu de discussions... comme celui que Radio-Canada a présenté en marge du débat des chefs ce soir-là.

Jour 9 - La désinformation à La Presse... et ça continue

La Presse n’est pas partisane que dans sa page éditoriale, ni dans la présentation de la nouvelle, elle l’est aussi dans ses chroniques et la page Opinion


Pas de nouvelle aujourd’hui. Normal, faut laisser le temps à la précédente de s’implanter et aménager la place pour la prochaine vanne. C’est donc à travers l’ensemble que forment les pages éditoriales, Opinion des lecteur(trice)s, Idée. La page Idée, donc, semble équilibrée. CHUM, Listéria, et un texte favorable au Bloc de Michel Gauthier, suivi de trois lettres du public, une défavorable au bloc, deux favorables. ...

La Presse en campagne anti-Bloc&nbsp;?

Citer des faits mensongers, c’est ça l’objectivité


Le quotidien LA PRESSE est manifestement en campagne électorale anti-Bloc. Toute attaque contre le Bloc semble être prétexte à un article (pseudo objectif) désavantageux pour le Bloc. Que reste-t-il de la démocratie, lorsque les grands médias s’ingèrent directement dans une campagne électorale ? Bien évidemment, de nombreuses stations de télévision et de radio se nourrissent de ce genre d’article, ce qui a pou...

Jour 8 - La désinformation à La Presse... encore et toujours partisane et propagandiste

La Presse n’est pas partisane que dans sa page éditoriale


Jour 8 - Campagne électorale fédérale 20008 Pour expulser d’Ottawa le Bloc québécois souverainiste tous les coups sont permis... Au Canada... le déséquilibre n’est pas que fiscal... il est médiatique et partisan... Le déséquilibre, l’asymétrie, l’iniquité, dans la présentation de la nouvelle, défendus par la déontologie journalistique, est encore et toujours le fer de lance des médi...

GESCA, « c’est la fin du Québec »...

Bloc-Bashing: Parizeau a raison



« L’empire Desmarais a pris la chronique de Jacques Brassard, d’habitude obscure, et l’a diffusée partout au Québec pour nuire au Bloc », a déclaré Jacques Parizeau au Journal de Montréal. C’est l’effet de la concentration de la presse; c’est l’effet de cette concentration entre les mains d’un fédéraliste qui croit, comme le rappelait Bernard Landry, que « l’indépendance, c’est la fin du Québec » en faisant référence à l’entrevue que Paul Desmarais a accordée au magazine français Le Point.

Jacques Brassard varlope le Bloc - La Presse en fait son affaire... partisane

À quand semblable étalage POUR le Bloc de la part d’un autre ancien ministre péquiste&nbsp;?


La Presse-2008 09 09-Joël-Denis Bellavance-L’ex-ministre Jacques Brassard varlope le Bloc La Presse en fait son affaire... partisane... C’est comme quand Radio-Canada a affirmé que les artistes n’appuyaient plus la souver...

Le chemin de croix de Ségolène



Ce qui est surprenant n'est pas que la chose soit arrivée. C'est qu'elle soit arrivée en France, patrie des Lumières, de la raison et... du décorum. Le show de Ségolène Royal au Zénith, il y a quelques jours, a probablement inauguré une nouvelle ère de la communication politique. Ou alors, fait faire un pas en avant vers le gouffre de la politique-spectacle. L'affaire est étrange, en effet. D'abord, cette «i...