Enquête publique - un PM complice?

OUPS.... -* JJC sera-t-il pilonné par celui qu'il voulait remplacer à Ottawa? - Fin abrupte d'une carrière, dans la honte. Ruse de l'Histoire...

Enclume à Ottawa ? - D'autres « horreurs » attendent Jean Charest

Cette fois, le dégoût de la pourriture politique ne l'emportera-t-il pas sur la peur d'un autre référendum?


Cette coalition inopinée entre les conservateurs et les bloquistes paraît prendre au dépourvu libéraux et néo-démocrates. Pour le Bloc, il est vrai, l'occasion était belle de se porter à l'aide des Québécois bafoués, et pour Harper, d'y trouver enfin de quoi former un gouvernement majoritaire. Aussi, le PLC et le NPD emboîteront-ils le pas, sous peine d'être éliminés du Québec au prochain scrutin fédéral.

R3D, une firme «branchée» sur le gouvernement



La Presse avait déjà parlé des problèmes à la CARRA l'an dernier. Le système acheté à prix fort était inopérant, et les actuaires de la société étaient forcés de calculer «à la main» les prestations des fonctionnaires.

Marineau a-t-il trop parlé?

Le PLQ encore en mode « damage control »

Michelle Courchesne marine en eaux troubles.


Jean Lapierre a déclaré à Arcand 98,5 qu’il n’était pas au courant de ces histoires ni pour la police. Pourtant il aurait dû savoir. Il connaît très bien Jean-Sébastien Marineau. Il était avec le PLC lors de la campagne de 2004. Organisateur régional. Vraiment, mon petit doigt me dit que les libéraux doivent craindre ce que Marineau aurait raconté à Gravel.

Reste à voir si la prime n'a pas pris un autre chemin pour se rendre au même "bénéficiaire"...

Jean Charest perd sa prime

Le premier ministre du Québec, Jean Charest, perd à compter d'aujourd'hui la prime de 75 000 $ que lui versait le parti libéral chaque année depuis 1998.


Le premier ministre du Québec, Jean Charest, perd à compter d'aujourd'hui la prime de 75 000 $ que lui versait le parti libéral chaque année depuis 1998. Cette prime s'ajoutait à son salaire de premier ministre. Jean Charest s'était engagé à renoncer à cette prime une fois le projet de loi sur l'éthique adopté. L'Assemblée nationale a adopté à l'unanimité le projet de loi 48 qui dote les députés d'un code...

Commission d’enquête

Les « astuces » de Jean Charest

Artisan de son propre malheur, de celui de son parti, et de celui de ses proches


Dans de telles conditions, la tenue d’une enquête est la seule façon de faire bouger les choses, et prétendre le contraire est au minimum d’un niveau d’irresponsabilité indigne d’un premier ministre, et au pire le signe d’une implication coupable. Dans un cas comme dans l’autre, Jean Charest n’a plus qualité pour servir comme premier ministre du Québec et doit quitter ses fonctions au plus tôt.

Jean Charest et le modèle new-yorkais



Cette annonce faite en passant montre en tout cas que Jean Charest est résolu à ne pas créer de commission d'enquête publique. Ça montre également qu'il sent de plus en plus la pression populaire... et celle de son propre par

Quand ça va mal...

Cette étiquette ("corrompu"), la population semble l'avoir tatouée sur le front du gouvernement Charest et sur celui du PLQ.


Au-delà des "spins" des uns et des autres, commençons par quelques faits tels que l'Histoire nous les rappelle. Oui, oui. Notre histoire nationale. Celle-là même qu'on enseigne de moins en moins à mesure qu'on la dilue de plus en plus dans un magma aussi postmoderne et mondialisant que parfaitement incolore. Donc, les faits. Fait #1: Les résultats d'une élection partielle sont comme les feuilles de thé. Leur l...

Charest gagne du temps

Une «unité permanente» plutôt qu'une commission d'enquête


À l'Assemblée nationale, Pauline Marois a réclamé encore une fois la tenue d'une commission d'enquête publique

Corruption au Québec: Toronto Star

Voici ma traduction des faits saillants


Plus que jamais, une vaste enquête publique est nécessaire pour que la population regagne confiance en ses institutions.

Quebec's fog of corruption



Andrew Chung - MONTREAL—Forgive yourself if you haven't heard, but there's a by-election in Quebec on Monday: It's in an area that's largely rural and its name — Kamouraska-Témiscouata — doesn't exactly roll off the tongue. But this by-election is worth a second glance because it's giving voters in this province their first chance to cast judgment on a premier and a government that are becomi...

Commission d'enquête publique

Immunité limitée



Luc Hétu - La question de l'immunité des témoins est invoquée par nombre de politiciens et analystes pour contrer la création d'une commission d'enquête publique sur la construction, la collusion, le financement des partis politiques, bref la corruption qui mine présentement tout le milieu politique. Selon cet argument, il faut choisir entre le spectacle d'une commission où des fraudeurs se met...

Quebecers want probe but don't trust Charest



There's a fascinating paradox at work in Quebec. On one hand, for a year and a half now, polls have shown that at least two thirds of Quebecers want a special public inquiry into the financing of political parties and allegations of collusion and corruption in the construction industry. The same polls record a major gulf of trust between a large majority of the population and the premier and his g...

J'attends mon dissident



Nous avons plutôt assisté à l'incroyable robotisation des cerveaux et à la soumission totale d'un troupeau de moutons devant le rouleau compresseur. Le spectacle était assez triste. Chaque fois que le Québec se fait marcher dessus, Jean Charest affiche son sourire triomphant.

Quebec, a new scandal all the time

Allegations of wrongdoing keep piling up in Quebec


La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) has never been keen on having eyeballs, governmental or otherwise, peering in on its affairs. Part of the reason is pragmatic: as the largest union federa...

Motion de censure - Il n'a pas compris



Quant à l'allégation qu'une enquête publique serait «du bonbon» pour les criminels, notons plutôt qu'actuellement, la mafia semble avoir déjà le contrôle de la bonbonnière! Par contre, une enquête a l'avantage de briser l'isolement de ceux qui sont pris dans les tentacules de la corruption et expose à toute la société des problèmes jusque-là cachés.

La sourde oreille



Depuis des mois, tout le monde vante le courage de Robert Bourassa, qui avait osé créer la Commission d'enquête sur le crime organisé (CECO) dans les années 1970. Encore hier, le chef de l'ADQ, Gérard Deltell, a invité les députés libéraux à honorer la mémoire de l'ancien premier ministre en se joignant à ceux qui réclament une enquête publique sur la corruption dans l'industrie de la construction. Il reste ...

Le gouvernement Charest survit

Jean Charest évoque de nouvelles mesures permanentes contre la corruption


Québec — Quatre voix ont finalement permis au gouvernement Charest de survivre à la motion de censure de l'opposition officielle, hier. L'opposition espère maintenant que le gouver...

Exclusif

De l’aide d’un organisateur libéral pour devenir juge



Écrit par Vincent Larouche - Nouvelles allégations troublantes sur l’organi...

La dernière cartouche



Pauline Marois vient de tirer sa dernière cartouche. Elle peut bien continuer à viser son adversaire, en criant, en le menaçant, en lui lançant toutes les invectives. Elle ne touchera pas son adversaire téflon. Jean Charest est de marbre : il ne fera pas ce que Serge Ménard, alors Ministre de la Justice, n’a pas fait lorsqu’il était sur les banquettes ministérielles à Québec et que Jean Charest, alors Chef de l’Op...

Un choix impossible

Pas tout à fait sorti de l'auberge, le Parti libéral...


Ou M. Charest tente, tout au moins, de gérer son propre risque en mettant sur pied cette commission réclamée par 80 % des Québécois. Ou il continue de croire que le dommage sera moins pire s'il n'en tient pas une. (Il est fort probable qu'il continue à s'entêter de la sorte.) Son gros problème, par contre, est que cela ne tient pas compte de l'impact dévastateur que pourrait avoir une commission créée éventuellement par un gouvernement péquiste.

La motion de défiance présentée par Marois laisse Charest de glace



De la rallonge salariale secrète de 75 000 $ versée au premier ministre aux allégations de corruption en passant par les nominations partisanes, la députée de Charlevoix a brossé un tableau dévastateur de la gouvernance libérale depuis l'élection de 2008.

Mercredi, il y aura une motion de confiance...



Mercredi, il y aura une motion de confiance envers votre gouvernement. Je vous demande de ne pas vous lever avec les membres de votre parti et d’afficher votre appui à la majorité des Québécois et à vos anciens collègues enquêteurs.

Chantiers: un seul gros joueur tire les ficelles

Les enquêteurs auraient identifié le chef d'un réseau d'une trentaine d'entrepreneurs


Kathleen Lévesque - Le travail d'enquête de l'unité anticollusion du ministère des Transports et de l'opération Marteau aurait ...

La soif d’ignorance de l’inspecteur Charest



L’ancien président du Parti libéral du Québec et ex-député jusqu’en 2003, Robert Benoît, croit désormais que son parti “doit faire une enquête à l’intérieur du parti”. “S’il y a un ménage à faire, qu’on fasse un sérieux ménage” affirmait-t-il ce mardi à Radio-Canada.

Parti libéral du Québec

Des aveux d'un candidat défait éclaboussent le PLQ



David Grégoire, candidat défait du Parti libéral du Québec dans le comté de Masson à l'élection de décembre 2008, a fait des aveux à Radio-Canada. Il reconna...

Appel aux députés libéraux : vous pouvez faire la différence



Parce que vous comme moi, nous n’avons qu’un seul patron : les électeurs québécois. Écoutez-le. Demandez une commission d’enquête. Vous n’êtes pas obligés de couler avec le capitaine.