La sanction du mépris
Le mot d’esprit prononcé hier par notre premier ministre a retenti comme la sanction péremptoire de son mépris envers le mouvement étudiant. Ce Jupiter tonnant de la basse démagogie nous avait déjà mis la puce à l’oreille, avec tout le récent chantage autour de la question de la violence. Mais voilà qu’à présent même ses plus fidèles séides n’en peuvent plus douter. On commençait à suspecter Gabriel Nadeau-Duboi...