Inquiétude fondée
Dans l’édition du Devoir du 22 juin, on apprend que 90% des Québécois francophones estiment, à raison, le français menacé à Montréal. Comment en est-on arrivé à décrire les Québécois comme des Québécois francophones? Est-ce qu'on peut se considérer Québécois si on ne parle pas français? Il est aussi, dans l’article de Marco Bélair-Cirino, question de la notion des deux peuples fondateurs. Or, ce sont les Français qu...