Au lendemain des élections fédérales
Le Mardi des larmes
Un jour à surmonter
Au lendemain des élections, ce n'est plus le temps de paniquer, de pleurer, d'abandonner ou de se blâmer entre nous. Oui, j'ai eu bien du mal à accepter la décision des Québécois le 2 mai 2011 et je doute fort qu'elle s'avère excellente. Le choix est fait. Le sort est jeté. Le verdict est tombé. Peut-être est-ce le couteau de la guillotine en route vers notre tendre chair ou peut-être que c'est nos barreaux qui se bris...