« Un délinquant peut être content d’être en prison sachant que ses biens seront disponibles à sa sortie, ou que sa famille pourra continuer à profiter du fruit de ses crimes. Le but [du remboursement] est de s’assurer que le crime ne paie pas », a lancé le juge Salvatore Mascia en condamnant Richard Chandroo, hier, au palais de justice de Montréal.

Ce méprisable individu immigré on ne sait d'où, qui semble être un hindou d'origine (impossible de trouver la réponse exacte, comme c'est couramment le cas lorsqu'il s'agit de malfaiteurs importés) est un fraudeur en série spécialisé dans les fraudes d’héritages.

L'être sans scrupules n’a pas hésité à frauder des aînés, en mélangeant des vrais et des faux documents, personnifiant parfois d’autres personnes pour mettre en confiance ses proies.

« L’exploitation implacable des victimes, sans le moindre scrupule, ne peut être décrite que comme méprisable, sinistre et odieuse », a dit le magistrat en rappelant que, même accusé, Chandroo continuait à frauder.

Pas de conscience

Car l’accusé ne semblait pas avoir une seule once de conscience, a noté le juge.

Même après avoir « saigné [ses victimes] à blanc », le fraudeur continuait à leur demander toujours plus d’argent.

À un moment, il a même fait croire à un octogénaire qu’il allait contracter un prêt pour la rembourser, mais qu’il avait besoin d’une mise de fonds.

L’aîné a allongé l’argent, qu’il n’a évidemment jamais revu.

En tout, il a fait trois victimes, toutes octogénaires, qui ont perdu un total de près de 900 000 $, soit pratiquement toutes leurs économies.

« En raison de leur âge, de leur santé et des pertes encourues, il y a peu de chances qu’elles puissent recouvrer leurs finances et aller de l’avant pour le reste de leur vie », a résumé le magistrat, rappelant que l’une d’elles était depuis décédée.

Incorrigible, Chandroo a même essayé de berner le juge, après avoir été déclaré coupable en juin dernier.

Un autre cas qui démontre clairement le bas niveau de moralité de bons nombres de ressortissants du tiers-monde corrompu jusqu'à l'os. Une raison de plus pour écarter toutes les demandes d'immigration de ces pays sous-développés sous tous les plans. Il n'y a pas de risque à prendre.

À sa sortie de prison, ce malfaiteur doit être expulsé du pays sans pitié, en le bottant au derrière.

Sources: Encore un autre immigré fraudeur en série

Un fraudeur en série a détroussé au moins un demi-million de dollars à des aînés

Les dizaines de commentaires précécents en relatent quelques-uns perpétrés au Québec. S'il fallait élargir les cas au reste du Canada ou de l'Occident, il y en aurait des milliers d'autres, tous signes de l'ensauvagement de notre monde par des cerveaux sous-développés et limités.

Un autre crime de déshonneur familial commis cette fois par une famille entière de réfugiés syriens barbares:

Trois membres d’une famille de Granby d’origine syrienne accusés de menaces de mort parce qu’ils voulaient marier de force une femme de leur entourage.

Il s'agit de Yazn Aiesh, 19 ans, Rami Aiesh, leur mère Madjeh Halawleh, 40 ans, en détention préventive à la suite de leur arrestation.

Un exemple de menaces faites à une femme qu'ils voulaient forcer à se marier contre sa volonté: «le sang va couler», «tu ne connais pas la famille Aiesh» et «on peut agir dans la terreur».

Ces barbares doivent être expulsés sans délai du pays, comme le devraient tous les réfugiés fraudeurs et profiteurs.

Source: Trois membres d’une famille de Granby d’origine syrienne accusés de menaces de mort

Selon nos informations, les policiers auraient également saisi une arme et des stupéfiants.

Les trois criminels de race noire, Daniel Amecia, 26 ans, de Longueuil, Jerry Fleurmeus, 26 ans de Saint-Jérôme, et Steve Sillion, 27 ans de Montréal, seront accusés de tentative de meurtre, possession d’arme et possession de stupéfiants, vendredi après-midi au Palais de justice de Montréal. Ils ont différents antécédents judiciaires et, selon nos informations, ils seraient reliés aux gangs de rue.

À leur sortie de prison, ces dangereux criminels violents doivent être à jamais expulsés du pays.

Plus il y aura au Québec de minorités à haut taux de criminalité, plus il y aura de crimes commis contre les Québécois par ces minorités.

Source: Tentative de meurtre dans Ahuntsic: trois suspects violents de race noire arrêtés

Le monde civilisé ne doit pas être accessible à ceux qui ne le seront jamais.

On relate ici le meurtre d'un jeune latino à une heure où il aurait dû dormir chez lui:

Des citoyens résidant près des lieux du crime ont raconté au Journal avoir vu trois ou quatre individus rejoindre un groupe de jeunes, vers minuit jeudi, dans le Parc-École des Explorateurs, sur le boulevard Saint-Elzéar Est, dans le quartier Vimont.

Une querelle d’une douzaine de minutes aurait ensuite éclaté, selon des voisins qui ont entendu le ton de la discussion monter.

Puis, au moins trois coups de feu, que le voisinage a d’abord confondu avec des feux d’artifice, auraient retenti dans le quartier.

L'ado a succombé à ses blessures une heure plus tard, malgré les manœuvres de réanimation.

Un autre jeune homme de 18 ans a aussi été blessé par un projectile. Ce dernier a obtenu son congé d’hôpital en avant-midi.

Belle vie de quartier!

Source: Montréal, un ado de 17 ans abattu par arme à feu

On peut lire:

Les enquêteurs de l’Équipe intégrée de lutte contre le proxénétisme, appuyés par les patrouilleurs du poste de quartier 39 du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), ont procédé le 27 avril dernier à l'arrestation de Denis Désiré pour proxénétisme.

Le suspect fait face à des chefs d'accusation de : proxénétisme, avantage matériel provenant de la prestation de services sexuels, publicité de services sexuels, voies de fait, extorsion, menaces et bris de conditions et a été remis en liberté sous conditions.

Denis Désiré est âgé de 44 ans, a la peau noire, mesure 1 m 90 (6'3''), pèse 100 kg et s'exprime en français, en anglais et en créole.

Désiré, 45 ans, est l’ancien responsable de la sécurité à l’école secondaire Calixa-Lavallée, dans l’arrondissement de Montréal-Nord. Et selon la Couronne, il aurait utilisé un modus operandi classique de proxénètes, tel que Le Journal en a fait état dans un dossier publié dans les derniers jours.

Tout a commencé quand Désiré a rencontré sa présumée victime alors qu’elle n’avait que 15 ans. L’adolescente dansait déjà nue, mais ce n’est qu’à sa majorité que l’accusé aurait déployé ses griffes pour en faire une prostituée.

« Il y a eu la séduction et une fois attachée émotivement, il va en profiter, a résumé Me Dostaler. M. Désiré avait une aura, un standing. Il lui a offert des cadeaux, il a aidé la famille de l’ado, il lui a fait croire qu’ils étaient en couple. »

Le pimp récoltait tous les gains, ce qui lui permettait de vivre une vie tranquille, sans frais. Et quand il n’était pas content, il n’hésitait pas à frapper la jeune femme. 

Lors d’une dispute, Watts l’a frappée pendant qu’elle était déjà au sol et une autre fois, il lui a cassé le nez.

Sources:

Un pimp qui joue au bon samaritain sauveur des ses victimes

Ouverture du procès pour proxénétisme de Denis Désiré, ancien responsable de la sécurité à l’École Calixa-Lavallée

Proxénétisme : la police cherche à identifier des victimes potentielles de Denis Désiré

Procès de Denis Désiré: «Il m’a étranglée avec un fil de laptop»

De tels individus qui ne cherchent qu'à assouvir leurs bas instincts sur les jeunes femmes blanches québécoises et qui n'hésitent pas à s'en servir comme source de revenus d'appoint ne méritent qu'une chose: l'expulsion immédiate après la prison.

À Montréal: Un autre cas de proxénète manipulateur et violent qui leurre et enlève les jeunes Québécoises de bonne famille pour en faire des esclaves sexuelles..

Un proxénète de race noire, Stanley Hercule, qui a tissé « une toile de mensonges » autour de sa victime pour l’amener à danser nue pendant trois jours a écopé hier de trois ans de détention.

En janvier 2017, Stanley Hercule a sauvagement battu une jeune femme de 21 ans, l’obligeant à lui remettre les 900 $ qu’elle venait de gagner après l’avoir amenée à danser dans un bar des Laurentides pendant trois jours. 

« Il n’est guère superflu de souligner les dommages sociaux importants causés par la chosification du corps humain et la marchandisation des activités sexuelles », a dénoncé hier la juge Patricia Compagnone, en condamnant l’accusé de 31 ans à 39 mois de détention pour proxénétisme, séquestration et voies de fait. 

Hercule a recruté sa victime en novembre 2016, sur Facebook. À ce moment, la jeune femme travaillait dans un dépanneur. L’accusé lui a alors dit que belle comme elle était, elle pouvait faire davantage d’argent. 

Battue pour son argent

Il lui propose d’emblée de danser nue. Elle refuse. Pour la convaincre, il la met en contact avec une danseuse érotique, Nadine, qu’il présente comme sa sœur. La victime ignorait à ce moment qu’il s’agissait plutôt de sa conjointe.   

Pendant deux mois, Hercule essaie de convaincre la victime d’essayer ce nouveau métier, lui promettant qu’elle fera beaucoup d’argent si elle accepte de faire des danses contact. 

Elle se laisse finalement tenter. Elle abandonne son emploi au dépanneur ainsi que ses études de soir. 

Au début de janvier 2017, Stanley Hercule, Nadine et la victime se rendent dans un bar de danseuses du Lac-des-Écorces, dans les Laurentides. Pendant trois jours, cette dernière gagne 900 $ en dansant pour des clients. Elle ne s’était jamais adonnée à de telles activités auparavant. 

Sur le chemin du retour vers Montréal, Hercule lui dit qu’elle doit lui remettre tous ses gains. Surprise, la jeune femme refuse. 

« Il la frappe et insiste pour qu’elle lui remette l’argent. Elle refuse toujours. Il la frappe plus fort. La violence de l’accusé s’intensifiant tout au long du trajet en voiture et craignant pour sa vie, elle lui remet l’argent gagné », a résumé la juge Compagnone dans son jugement. 

Toile de mensonges

La jeune femme réussit à s’enfuir du véhicule et se réfugie dans une station-service. « Constatant l’état de détresse » de la jeune femme, le préposé compose le 911.

En tentant de déterminer quelle sentence rendre, la magistrate a davantage retenu la violence de l’accusé, admettant même « qu’il est difficile de retracer une ou des circonstances atténuantes ». 

« L’accusé témoigne qu’il a des remords, allant jusqu’à s’excuser auprès [de sa victime] pour “l’impact” que la situation a eu sur elle [...] Impossible pour le tribunal de comprendre pourquoi il s’excuse auprès de la victime, en se reportant à ce qu’elle a vécu, alors qu’il nie avoir été violent à son égard », a-t-elle soulevé. 

La juge a aussi insisté sur la « préparation et préméditation » de l’accusé, qui a mis en place un « stratagème » pour amener la victime vers la prostitution.

« Ici, manipulateur et sournois, l’accusé a su tisser une toile de mensonges afin de leurrer [sa victime] dans le monde de la danse nue et avec contacts », a-t-elle écrit. 

Le Québec doit se débarrasser de tels êtres immondes par l'expulsion. Cet individu primitif n'a jamais mérité d'être considéré comme Québécois. Une simple condamnation ne suffit pas. La seule solution: E-X-P-U-L-S-I-O-N

Source: Trois ans de prison pour un violent proxénète

Les dizaines de crimes qui sont rapportés plus bas et tous commis au Québec ne sont que la pointe de l'iceberg.

En France, la situation est bien pire. La population en est rendue à devoir se terrer chez elle tellement la dangerosité  de certains quartiers de zone rouge a atteint des sommets.

M. Philippe Bilger, magistrat honoraire et président de l'Institut de la parole, déplore la tragique situation.

Il a eu la même idée que moi d'énumérer des dizaines de crimes commis par des immigrés, surnommés la racaille des banlieues, qui ensauvage et obscurcit le pays des Lumières. Il a le courage de dénoncer.

La seule solution: l'expulsion, même de ceux nés de parents immigrants tiers-mondistes.

Source: On sait qui ensauvage la France. Ne fermons plus les yeux !

Montréal: un proxénète et prédateur sexuel latino a été condamné lundi à une sévère peine de 15 ans de pénitencier pour de multiples accusations d’agressions sexuelles et de proxénétisme à l’égard de sept adolescentes et deux jeunes femmes. Les crimes sordides du latino Luis Fernando Camacho Vera ont eu des répercussions « lourdes et dramatiques » sur ses victimes.

Luis Fernando Camacho Vera a plaidé coupable en mars dernier à une vingtaine d’accusations pour agressions sexuelles, contacts sexuels, leurres d’enfant et proxénétisme. La plupart des crimes ont été commis à l’encontre d’adolescentes âgées de 15 à 17 ans entre 2014 et 2017. L’accusé a agressé sexuellement sept victimes et trois de ses victimes se sont prostituées pour son compte.

Source: Un proxénète et prédateur sexuel latino écope de 15 ans de prison

De tels individus malfaisants capables des crimes les plus sordides doivent être expulsés sans pitié du pays dès la fin de leur sentence. E-X-P-U-L-S-I-O-N

La police de Laval recherche Isaiah Atkins, un homme de race noire de 23 ans soupçonné d’avoir agressé son ex-conjointe avec un couteau et blessé deux autres personnes.

Un mandat d’arrestation a été émis contre lui le 28 juillet pour des accusations de voies de faits graves, introduction par effraction, agression armée et vol, indique le Service de police de Laval.

Les trois victimes ont été transportées à l’hôpital pour soigner des blessures qui laisseront des séquelles.

Des actes d'une telle sauvagerie ne peuvent être ni tolérés ni pardonnés.

De tels dangereux individus irrécupérables pour la société doivent être expulsés rapidement du pays, peu importe qu'ils y soient nés ou non.

Source:

Un homme recherché pour avoir attaqué sa femme

Un autre cas récent: le maniaque sexuel récidiviste de race noire, l'agresseur Rosenthal Jr Dorleans.

Le maniaque sexuel récidiviste de race noire, l'agresseur Rosenthal Jr Dorleans, a plaidé coupable le 7 août dernier à cinq chefs d'accusation d'action indécente dans un lieu public, d'agression sexuelle et de contacts sexuels sur un enfant de moins de 16 ans. Ces deux derniers chefs procédaient par voie sommaire, des infractions moins graves que des actes criminels.

Plusieurs autres aggressions sont détaillées dans l'article:

Le maniaque sexuel récidiviste de race noire, l'agresseur Rosenthal Jr Dorleans.

L'expulsion sans recours doit s'appliquer dans ce cas irrécupérable.