Dehors tous les migrants illégaux!
12 août 2022
Le Danemark donne l'exemple de riposte à l'invasion migratoire envahisseuse en adoptant de nombreuses mesures anti-migrants.
Le gouvernement québécois se doit de les adopter et faire un pied de nez au fédéral en invoquant la close dérogatoire, au nom de la survie de la nation québécoise de souche.
Entre 2015 et 2021, les demandes d’asile ont été divisées par 10 au Danemark.
Copenhague oppose un traitement de choc pour éviter la désintégration du royaume scandinave, en durcissant sa politique migratoire.
Soumis à une immigration d’origine « non occidentale », selon l’expression consacrée dans le pays, le Danemark a subi une arrivée massive de migrants venus de Turquie, du Pakistan, d’Irak, du Liban, de Somalie, d’ex-Yougoslavie, d’Iran ou de Syrie.
Les problèmes d’intégration n’ont pas tardé à surgir, avec ghettos, économies parallèles et violences multiples, comme en France. Dans ces ghettos, le niveau de criminalité et de chômage explose.
Sont ciblés les quartiers où plus de 50 % des habitants sont d’origine extra-européenne, où plus de 60 % des 39-50 ans ne sont pas allés au-delà du collège, où plus de 2,7 % des majeurs ont été condamnés pénalement, où le revenu brut par habitant est inférieur de 55 % à la moyenne, où la proportion des 18-64 ans sans emploi ni formation dépasse les 40 %.
« Des lieux où la charia prend le pas sur la loi », dit l’ex-Premier Lars Lokke Rasmussen, instigateur du nouveau programme d’intégration, qui touche le logement, l’éducation et la réponse pénale :
- Obligation d’inscrire les enfants dans les crèches, pour apprendre la langue, la culture et les valeurs du peuple danois. À défaut, les allocations familiales sont supprimées
- Proportion d’élèves immigrés limitée à 30 % dans le second degré
- Doublement des peines pour les crimes commis dans les quartiers ciblés
- Destruction des grands ensembles et réduction à 40 % la part de logements sociaux
- Expulsion des logements sociaux en cas de délits commis par les enfants
- Expulsion en cas de non-recherche d’emploi
- Durcissement de l’accès à la naturalisation
- Externalisation des demandes de d’asile au Rwanda
- Objectif affiché par la Première ministre danoise : zéro demandeur d’asile en 2030 !
- Retour forcé des déboutés du droit d’asile, y compris en Afghanistan ou en Syrie.
Le Danemark a largement usé de sa liberté pour traiter les problèmes d’immigration
- En 2015, il dit non aux quotas d’accueil des migrants, imposés par Bruxelles
- En 2016, il rétablit les contrôles aux frontières avec l’Allemagne
- En 2016, il confisque les biens des demandeurs d’asile pour financer leur séjour
Et quand bien même certaines dispositions s’opposeraient aux conventions internationales relatives au droit des réfugiés, la loi danoise a autorité sur tous les autres textes, au nom de la raison d’État.
Tout ceci prouve qu'un état peut se libérer de toute entente internationale qui lui est nuisible. Ça fait pas notre affaire, on débarque!
Chapeau le Danemark et sa population décidée à ne plus se laisser envahir! Que le pays serve d'exemple à suivre par tous les autres, à commencer par le Québec.