Lorsque je vois le conflit du Journal de Montréal s'éterniser indûment, je ne peux m'empêcher de penser que certaines règles de négociations seraient à revoir au nom de l'efficacité du monde du travail.
J'ai déjà lu quelque part que le Québec avec ses grèves et lock-outs interminables était la risée des autres pays civilisés qui ne toléreraient jamais de tels excès.
Par exemple, pourquoi pas une loi qui limiterait les grèves et les lock-outs à un mois?
Au bout de cette période, une nouvelle ronde de négociations sera tenue avec signature d'entente, sinon un médiateur objectif tranchera en dedans de 7 jours en forçant les compromis nécessaires de part et d'autre.
Fini les rapports de force infantiles de gros bras qui cherchent à faire crier mononcle à l'adversaire. Je ne penche ni pour l'une ou l'autre partie, mais pour l'efficacité nécessaire au bon fonctionnement du monde du travail.
Et tout ce beau monde retournera à l'ouvrage le lundi matin suivant, comme il se doit dans une société moderne. Si cela marche ailleurs, pourquoi ne pas adopter les mêmes lois ici?
Réjean Labrie, de Québec, capitale nationale.
Visons l'efficacité des autres pays en ce domaine
Les règles des négociations des conventions syndicales à actualiser
Grèves et lock-outs doivent être mieux balisés
Tribune libre
Réjean Labrie878 articles
Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.
Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème gén&ea...
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Réjean Labrie est natif de Québec. Il a fait une partie de sa carrière dans la fonction publique provinciale.
Il tire la plus grande fierté d’être un enraciné de la 11ème génération en sol natal. Son élan nationaliste se porte sur la valorisation de la culture québécoise et sur la préservation de l'identité culturelle québécoise et de sa démographie historique.
Il se considère comme un simple citoyen libre-penseur sans ligne de parti à suivre ni carcan idéologique dont il se méfie comme des beaux parleurs de la bien-pensance officielle.
L'auteur se donne pour mission de pourfendre les tenants de la pensée unique, du politiquement correct, de la bien-pensance vertueuse, toutes ces petites cliques élitistes qui méprisent le bon peuple.
Plus de 875 articles publiés en ligne ont été lus un million et demi de fois par tous ceux qui ont voulu partager une réflexion s'étendant sur une période dépassant 15 ans. À preuve que l'intérêt pour une identité nationale québécoise affirmée ne se dément pas, quoi qu'on en dise.
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