Le Conseil de presse du Québec a récemment fait une mise au point expliquant toute la latitude accordée aux journalistes dans l'exercice de leurs fonctions qui leur permet d'exprimer leurs points de vue librement sur le sujet de leur choix et ce, même au risque de froisser certaines susceptibilités chatouilleuses.


Je cite: «Le principe fondamental veut que la chronique laisse à leurs auteurs une grande latitude dans le traitement d'un sujet d'information. Elle permet aux journalistes qui la pratiquent d'adopter un ton polémiste pour prendre parti et exprimer leurs critiques, dans le style qui leur est propre, même par le biais de l'humour et de la satire.»

«Le Conseil de presse rappelle que, tout en restant fidèles à leur éthique professionnelle, les journalistes ont le droit et même le devoir d'aborder tous les sujets, même les plus délicats... »

Tous les auteurs de Vigile peuvent donc s'inspirer de ces lignes directrices qui présentent un éventail d'application ma foi fort large et oser exprimer sans détour ce que les plus pusillanimes ne se risqueraient pas à affirmer par veulerie et hésitation.


Un article peut être décapant et aller à l'encontre de la rectitude politique, cette forme de censure imposée par les innombrables groupes de pression et qui empêche toute forme de contestation légitime de leur volonté de contrôle. Au nom de la défense des intérêts de la nation, ne nous privons pas de parler de sujets tabous ou qui peuvent en faire sourciller certains; disons les vraies choses comme elles sont et faisons triompher le bon droit envers et contre tout.

En avant hardiment! Et que la nation libre du Québec advienne!


Source:
http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/chroniques/richardmartineau/archives/2010/12/20101202-035003.html

Un exemple de sujet tabou que j'ai abordé hardiment au nom de la nation:
http://www.vigile.net/Les-deux-categories-d-immigrants
Réjean Labrie, de Québec, capitale nationale.