Difficile de ne pas voir un certain élan en faveur des libéraux qui, avec un taux de satisfaction pareil, n'ont sans doute pas terminé leur remontée.
Si le débat était moins partisan, Pauline Marois moins crinquée et Jean Charest moins jovialiste, on découvrirait que les libéraux et les péquistes modernes sont en fait du même côté, assez d'accord avec les mêmes grandes orientations, valoriser l'enseignement du français, mieux intégrer les immigrants, accélérer la francisation des PME.
La plupart des onze gestes proposés sont relativement anodins et n'annoncent pas d'interminables chicanes.