L'hécatombe

Billet de Caroline


Hécatombe à Radio-Canada !
Un journaliste, qui plus est,

un correspondant parlementaire radio-canadien

entend représenter

un parti SOUVERAINISTE

aux prochaines élections !

Il n’en fallait pas davantage

pour créer une commotion au sein

de la société d’état de siège.
L’individu, estiment les fédéralistes,

s’avère suspect.

N’a-t-il pas, quelques jours auparavant,

dans l’exercice de ses honorables fonctions,

recueilli les secrets bien gardés des adéquistes ?

N’a-t-il pas interviewé le chef du Parti québécois

André Boisclair ?

Attaquons sa crédibilité !
Une personne qui possède

une feuille d’érable à la place du cœur

on en a l’habitude.

Cela ne surprend pas.

C’est normal.
Mais un être sensé

un homme respectable et respecté

qui affiche ses manies, ses travers indépendantistes

les bras nous en tombent.

Robert se retourne dans sa tombe.

On avale de travers.

On y voit un acte contre nature.

On se pince.
Radio-Canada

serait-elle, tel que s’en effrayait Guy Fournier,

un nid de séparatistes ?
AU SECOURS !

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Caroline Moreno476 articles

  • 261 020

Château de banlieue

Mieux vaut en rire que d'en pleurer !


Chapitre 1
http://www.tagtele.com/videos/voir/73927/

Chapitre 2
http://www.tagtele.com/videos/voir/73949/

Chapitre 3
http://www.tagtele.com/videos/voir/73967/1/





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1 commentaire

  • Jacques Bergeron Répondre

    9 février 2007

    Lorsque les «sbires» décident de défendre leurs maîtres , il ne trouve rien de mieux que d'accabler leurs frères et leurs soeurs, sous le couvert de fausses vérités. Qu'importe à ces gens de trahir leur peuple, s'ils gagnent quelques sous et un peu de faux prestige auprès de celles et ceux qu'il servent. Nous ne devons jamais oublier que les maîtres n'ont que faire de ces gens, lorsqu'ils ont atteint leur but. Il était vraiment pitoyable de voir et d'entendre Dominique Poirier, Alain Gravel, Michel David et consorts, ces individus qui ne craignent pas le ridicule de leurs propos dans une démarche de bassesse que seul-e-s des gens assujettis peuvent faire afin de mieux cacher les services qu'ils rendent à nos ennemis.Lorsque les peuples se libèrenet de l'emprise amoureuse de leurs maîtres, ces sbires/collaborateurs sont les premiers à vouloir profiter du nouveau statut du pays libre et indépendant.On n'a quà vérifier ce qui s'est passé au lendemain de la guerre alors que tous les collaborateurs et toutes les collaboratrices se sont «rangé-e-s» du côté des vainqueurs, ce que d'autres gens du même acabit ont fait lorsque leurs peuples se sont affranchis.