La commission Bouchard-Taylor
Ça sort dru, tantôt posé, tantôt cru, des fois généreux, des fois douloureux.
Pour nos araignées du soir/quitter au plus vite ce Canada rébarbatif/et pour réaliser nos espoirs/investir un monde bien plus réceptif.
Pourtant, sans le statut de langue officielle nationale au Québec, le français sera toujours toujours menacé d’appauvrissement.
Démission de mon poste de responsable du Parti indépendantiste pour les régions de la Capitale nationale et de Chaudière/Appalaches
Le sort des Premières Nations est historiquement lié à celui des capacités de l’État du Québec
INDÉPENDANCE DU QUÉBEC 303
1776-1787 : Une décennie qui parque les Canadiens-français dans l’annexion
(Vidéos des interventions)
Malgré tout, il faut espérer que madame Marois maintiendra le cap. Ça passera ou ça cassera. Le temps du niaisage est terminé.
Non vraiment, les fédéralistes pourraient bien être pris à leur propre jeu et feraient bien d'apprendre à se défendre, non plus contre des arguments économiques, mais contre des faits économiques.
Autant M. Philpot est respectable par sa rigueur et son honnêteté intellectuelles autant la campagne de marketing de Roméo Dallaire est méprisable.
Connaître la langue de son pays d'accueil comme préalable à l'immigration: le débat est lancé.
Ce qui a toujours foutu le bordel dans l'éducation, c'est le nombre affolant de chefs qui manifestaient leur incompétence par des voltes-faces incompréhensibles
Ainsi, en traitant les uns de morons et les autres de racistes, ces derniers servent-ils d’exutoires pour toutes nos craintes et nos peurs refoulées