La patrie est en danger
À propos des leaders charismatiques
Réponse à Henri Martineau.
Cela vous surprendra peut-être, Henri Marineau, que j’écrive que je suis gaulliste. C’est parmi mes rares regrets, celui de ne pas avoir serré la main du Général lorsqu’une occasion absolument imprévisible s’est présentée à moi à l’Expo 67. J’avais seulement vingt ans et j’étais resté comme pétrifié devant l’idole, cet homme de caractère comme vous dites, et qui avait déjà lancé son si puissant et si espéré « Vive le Q...