C'est la faute aux «médias sociaux» et aux «thuriféraires de l'apocalypse». Vigile ? Si oui, on revendique fièrement
Nous sommes comme dans une campagne électorale permanente. La nouvelle du jour suffit à faire sortir une armée d’intervenants
J’ai toujours aimé le théâtre politique, quand il vire au vaudeville ou au burlesque. Rien de plus gratifiant pour le citoyen que de voir un ministre se mettre les pieds dans les plats, s’empêtrer dans ses mensonges, se faire «planter» solidement, ou mieux encore, échapper un lapsus qui dit la vérité.