Courte présentation des diverses revues et magazines nationalistes au Québec.
Chronique vidéo d'ACD
Vie intellectuelle
Présentation des principales publications nationalistes
Courte présentation des diverses revues et magazines nationalistes au Québec.
Chronique de Robert Laplante
Éditorial de l'Action nationale
La véritable nature du Canada va se révéler devant les tentatives autonomistes de Legault
Après la morgue pédante de Philippe Couillard, la bonhommie de François Legault fait quasiment l’effet d’un baume sur l’épiderme éraflé d’un Québec qui en avait assez de se faire reprocher de ne pas être à la hauteur de la morale canadian. Avant toute autre considération électorale, c’est peut-être de cela qu’il s’est agi dans le résultat du 1er octobre dernier : un ras-le-bol existentiel.
Quelle refondation pour le mouvement souverainiste?
Eric Le Ray reçoit l'auteur Denis Monière.
« Cette période de « survivance du Canada français », allant de la défaite patriote à la Révolution tranquille avait même des aspects héroïques »
J’admets volontiers que le discours selon lequel est ignoble tout ce qui est à droite et conservateur m’ennuie profondément. « Dire qu'on est de gauche ne rend pas intelligent », disait Falardeau. Il me semble nécessaire d’ouvrir un dialogue avec les gens de bonne foi de toute allégeance qui œuvrent à l’avancement du Québec.
Une analyse du nationalisme québécois sur le temps long
Présentation de M. Rodrigue Tremblay, économiste, professeur émérite de l’Université de Montréal et ancien ministre, lors du lancement du livre.
La relève patriote jette un regard lucide sur le Québec actuel
Interview de David Leroux à Qub Radio.
La projection de puissance politique s'appuie sur une identité forte
Le destin incertain de la souveraineté après la défaite du Parti québécois et la recrudescence effervescente de la question du fait francophone en Ontario ont remis en circulation l’idée d’un Canada français et d’une identité canadienne-française. On revient avec cette idée comme si elle était porteuse d’une solution identitaire et politique, oubliant qu’elle fut un jour évidée de son contenu historique.
Faut-il un référendum pour régler cette question ?
L’engagement que le premier ministre du Québec, François Legault, a pris dans le dossier de la réforme du mode de scrutin est de déposer un projet de loi sur ce sujet durant la première année de son mandat, d’ici donc le 1er octobre 2019. Pour le reste, rien n’est acquis, M. Legault ayant sagement rappelé dans son discours inaugural de mercredi cette évidence qu’on ne saurait procéder de façon légitime à une réforme constitutionnelle d’une telle envergure sans qu’il y ait consensus à ce sujet.
Lier le socialisme et l'indépendance : un piège dans lequel il ne faut pas retomber
Réflexion autour des derniers essais de Simon-Pierre Savard-Tremblay, L'État succurusale. La démission politique du Québec, Montréal, VLB, 2016 et Despotisme sans frontières. Les ravages du nouveau libre-échange, Montréal, VLB, 2018 et d’Éric Martin, Un pays en commun. Socialisme et indépendance au Québec, Montréal, écosociété, 2017
Le nationalisme conservateur est-il muet sur le néolibéralisme ?
Dans son texte Le «socialisme» est-il l’avenir du mouvement indépendantiste?, L’historien Éric Bédard a consacré récemment une triple recension critique à mes deux derniers ouvrages[1] et au dernier essai d’Éric Martin.[2]
Les Canadiens français, un groupe ethnique parmi d'autres du Canada post-national et multiculturel
La débat actuel entourant l’offensive francophobe du premier ministre Doug Ford contre les communautés franco-ontariennes est plus que nécessaire. Il est essentiel.
« Être majoritaire, cela consiste à assumer son destin en ayant le plein pouvoir sur soi. On appelle ça l’indépendance. »
Depuis quelques jours, avec raison, on parle beaucoup des Franco-Ontariens, ciblés par une frappe orangiste du gouvernement ontarien, qui depuis un siècle n’a jamais manifesté une tendresse excessive à leur endroit.
« Ainsi, ces dernières années, on a voulu convaincre les Québécois qu’ils étaient hantés par la tentation de l’extrême-droite. »
Discours de remerciements prononcé à Saint-Ours lors de la remise du prix Omer-Héroux, "prix décerné à un journaliste s'étant illustré pour ses convictions favorables à l'indépendance du Québec" par le Rassemblement pour un pays souverain, le 25 novembre 2018.
Vidéo de J.-J. Nantel
La minute de l'indépendance #5
Nous arrêterons de payer pour le Canada
Le jour même de l'indépendance du Québec, une foule de dépenses vont disparaître alors que des revenus nouveaux vont vite apparaître, par exemple les droits de passage à travers le territoire québécois
Québécois ou Canadiens français : un débat qui fait rage
Alors que l’on passe notre patrimoine au pic démolisseur sans que cela ne suscite indignation, je ne m’étonne pas que certains veuillent que nous abandonnions du même souffle notre distinction du Canada.
« C’est toute la différence entre le destin d’une minorité ethnique, toujours menacée par une dynamique de folklorisation, ou le destin d'un peuple, maîtrisant un État, »
Une idée circule ces temps-ci: selon certains, nous devrions, comme peuple, redevenir des Canadiens-français, en reprenant notre nom d’antan. Ils soutiennent, généralement, que ce terme correspondrait à notre réalité la plus profonde, alors que la référence québécoise se viderait aujourd’hui de sa substance avec l’échec de l’indépendance.
Chronique de Gilles Verrier
Canadien-Français ou Québécois francophone ?
L'original ou la copie ?
Nous verrons que Bock-Coté joue lui-même sur l'ambiguité identitaire. Il parle tantôt des Québécois dans le sens canadien-français et tantôt dans le sens pluri-national. Examinions ses arguments un à un.
« Les Québécois de souche sont tous des catholiques sociologiques. »
J’avoue avoir d’abord été un peu décontenancé. L’homme qui me posait la question avec son accent québécois était noir. Je voyais certainement que c’était un sujet qui l’affectait beaucoup. Ainsi, voici ma réponse.
Un jeune auteur pose la question
Seriez-vous prêts à abandonner l'appellation « Québécois » pour revenir au terme « Canadien français »? C'est ce que propose l'écrivain et publiciste Alexandre Soublière dans son livre La maison mère.
Lancôt se trompe sur un point : le rôle incroyable de l'Église catholique dans notre histoire
Je n’ai jamais entendu parler de David Leroux jusqu’à ce que je découvre cet ouvrage au titre intriguant : Anesthésie générale.
Le décès de Landry annonce-t-il la fin du Parti québécois ?
Plus d’un indépendantiste affichait un air sombre et abattu au lendemain de la lourde défaite infligée par les électeurs au Parti québécois le 1er octobre dernier. Bernard Landry n’était pas du nombre.
Chronique de ACD
Retour sur cet évènement souverainiste
Il faut séparer le bon grain de l’ivraie
Débutons immédiatement en affirmant qu’il ne sort généralement pas grand chose d’intéressant de ce genre de colloque, généralement empêtré dans le politiquement correct du mouvement souverainiste institutionnel.
Landry défendait le mot national et abhorrait la référence provinciale
Bernard Landry était profondément allergique aux mots « province » et « provincial ». C’était connu et quiconque l’oubliait s’en mordait rapidement les doigts. Lorsqu’il les prononçait lui-même, c’était pour mieux en faire ressortir l’archaïsme méprisant que ces mots évoquent par leur définition même.
« Écolo à gogo » : le nouveau titre de noblesse pour le prince Guilbeault
Je tiens à mettre en garde les fans inconditionnels du prétendu écologiste Steven Guilbeault, car cette chronique va leur déplaire. Selon moi, Steven Guilbeault est un passe-partout et je me demande pourquoi des journalistes et des politiciens le voient dans leur bouillabaisse. Très normal que les gens d’affaires et certains partis politiques l’aiment. Quant aux autres, je crois qu’ils se fient trop aux apparences. Je vais faire la lumière sur cet écologiste, ce qui va peut-être déplaire à certains, mais dans un esprit constructif et fraternel. Aucunement péjoratif.
Chronique de Gilles Verrier
De Canadiens français à Québécois
Ce que l'abandon de notre identité nous a coûté
On n'a pas fini de compter ce que nous a coûté l'abandon de notre identité. Pour en arriver là, il fallait d'abord lui faire un procès pour mettre en doute sa dignité. Si bien qu'aujourd'hui, se réclamer Canadien-Français est vu par plusieurs comme un retard d'évolution.
La lutte nationale se poursuit, malgré la défaite du PQ
Conséquemment à l’élection de la CAQ, l’actualité québécoise révèle l’empressement d’intellectuels, de lobbyistes et d’ex-hommes politiques à définir le nationalisme. On ne se surprendra pas que la conception des uns et des autres se fonde sur leur allégeance fédéraliste ou souverainiste pour tenter d’influencer le nouveau gouvernement. Quel que soit le point de vue, le nationalisme affiché par la CAQ n’aura de sens que dans la mesure où le Québec disposera de plus d’autonomie !
« La majorité historique francophone doit conserver le pouvoir politique sans lequel elle sera condamnée à devenir étrangère chez elle. »
La petite polémique des derniers jours à propos de l’avenir des francophones hors-Québec a au moins une vertu: elle nous permet de nous représenter les deux avenirs possibles du fait français en Amérique.
Le Devoir, porte-voix de Québec solidaire
À l’âge de quatre ou cinq ans, au moment où les enfants commencent à distinguer les valeurs nominales des pièces de monnaie, ils parlent volontiers, pour les reconnaître, du « caribou », du « voilier » ou du « castor ». Côté face, cependant, se pose toujours la question de l’identité de cette tête de femme parfois couronnée. « La reine des sous », concluent souvent les p’tits loups.
Le pays qui ne se fait pas
Quand ça va mal, il fait bon de pouvoir se tourner vers de grands esprits qui ont connu, eux aussi, les affres d’une déception qui ressemble à la nôtre. Comment ont-ils vécu la traversée du désert ? Comment ont-ils surmonté ce sentiment débilitant qui nous assaille quand ce qu’on croit être la vérité se voit rejeté par la majorité de nos contemporains ?
L'immigration a pour vocation de canadianiser le Québec
Débutons par une question toute simple : le Québec, c’est une nation ou pas? Je veux dire, au-delà des belles paroles et des motions sans conséquences de la Chambre des Communes sous Stephen Harper...