Quelques clés pour le renouvellement du programme du PQ sur la question de l'indépendance
L’indépendance passe par la défense et la promotion des intérêts supérieurs du Québec et du bien commun
Une seule priorité, la reprise du pouvoir
Comme je le soulignais déjà dans une chronique quelques jours après les élections générales, la défaite du 7 avril n’a pas que du mauvais pour le PQ. En plus de lui éviter d’avoir à faire les frais de la crise avec le risque qu’une part importante de sa base électorale ne se retourne contre lui comme en 1985 lorsqu’il avait dû, à cause d’une très grave récession, enlever aux travailleurs du secteur public les avantages qu’il leur avait consentis quelques années plus tôt, elle lui offre une occasion de redéfinir son option, un exercice qui accuse un sérieux retard et qui aurait dû être mené dès la défaite de 2003.