Cégep en français

Québec

Les syndicats, vendus à leurs intérêts corporatistes, contre le français !

Loi 101 au collégial : le silence coupable de la CSN et de la CSQ



Les grandes centrales syndicales doivent faire sauter les verrous stratégiques et idéologiques qui empêchent de débattre pour faire avancer l’idée d’étendre la loi 101 au collégial.

Québec

« Nous n'avons pas le luxe des demi-mesures »

ANGLICISATION

Loi 101 au cégep: Roberge vit dans l’esprit des années 1970



Le 9 janvier dernier, le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge, a défendu le projet de loi 96 du gouvernement du Québec en affirmant qu’il était inutile d’étendre la loi 101 au collégial. Selon ses propres mots, « la solution, ça se passe au pri...

Québec

Une mesure minimale

Sans la loi 101 au cégep, Montréal continuera de s'angliciser



Lettre publique adressée au premier ministre.

Québec

L'immigration temporaire, une filière d'immigration massive

ANGLICISATION

Les cégeps, les étudiants étrangers et l’anglicisation de Montréal



 

L’explosion du nombre d’étudiants étrangers qui ne maîtrisent pas le français menace l’équilibre linguistique à Montréal. Dans un nouvel essai à paraître le 7 octobre, que Le Devoir a obtenu, le chercheur Frédéric Lacroix braque les projecteurs sur ce qu’il considère comme un angle mort du proje...

Québec

Si le Québec est un État multinational, pourquoi ne pas reconnaître la nation canadienne-française ?

NATIONALISME

Le « gel » des effectifs dans les cégeps anglais



Le français en tant que langue d’enseignement au postsecondaire est en recul depuis plus de vingt-cinq ans au Québec. Le recul est si grave que même le gouvernement du Québec, qui a ni...

Québec

CÉGEPS bilingues : une idée de Lisée mise en place par la CAQ avec l'approbation des libéraux

Une autre étape dans la bilinguisation des cégeps



Le ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, M. Jean-François Roberge, a approuvé le 2 décembre dernier, en toute discrétion, deux nouveaux programmes d’études préuniversitaires au cégep : un programme de Sciences humaines avec « 

La loi 101 au cégep : apprendre l’anglais sans s’angliciser



Face au recul grandissant du français à Montréal et au Québec, le besoin d’agir est criant, et l’extension de la loi 101 dans les cégeps semble être une mesure essentielle qui pourrait faciliter un renforcement de l’apprentissage de l’anglais dans les régions éloignées de Montréal. Le français et l’éducation D’entrée de jeu, l’éducation joue un rôle primordial dans la transmission d’une langue...

Le français langue «secondaire»



Contrairement à leurs confrères des cégeps francophones (notre photo), plus de la moitié des étudiants diplômés des établissements anglophones de M...

For young anglos, educational opportunities are declining



DAVID JOHNSTON - MONTREAL - The other day I was talking to a colleague who told me she’s been hearing anglophone parents of high-school students expressing hope that Bill 101 is toughened to keep francophones and immigrants out of English-language CEGEPs. Normally, language crackdowns aren’t something anglophones like to see in Quebec. But competition for limited spots in English CEGEPs, which are n...

La liberté individuelle de qui?



À l’ère de l’économie du savoir, il est crucial de mettre fin au sous-financement des réseaux collégial et universitaire de langue française au Québec. Comme dans la plupart des États développés à travers le monde, la langue nationale doit constituer la voie de la réussite économique et sociale à l’intérieur du Québec. Il y a urgence d’agir.

Quand Marois tue la Révolution tranquille

La Loi 101 au cégep, pour plusieurs, constituait la dernière chance accordée au Parti Québécois.


Marois, en méprisant la démocratie au sein de son propre parti, en agissant d’une telle manière qu’elle met en grave danger la survie de notre langue, insulte ainsi non seulement ses militants, ses délégués, ses députés qui se sont battus pour le bien-être collectif des Québécois, mais elle renie le travail de tous ceux qui ont œuvré à la libération du peuple québécois. Elle tue la Révolution en espérant que cela lui permettra d’être couronnée.

Application de la loi 101 aux cégeps : aucune tergiversation, le Parti Québécois maintient sa position



Communiqué - 10 juin 2011 Montréal – La chef du Parti Québécois, Pauline Marois, tient à rectifier les faits concernant un article du journal La Presse de ce matin qui laisse entendre que le parti ne « s’engagerait pas à assujettir les cégeps à la loi 101 ». Cette information véhiculée par La Presse est tout à fait fausse. « Lors de notre dernier congrès, les militants ont adopté une proposition qui vise à éten...

Auto-liquidation

La loi 101 au cégep: Marois compte faire volte-face



Mme Marois refusera de confirmer ce virage puisque le PQ n'a pas à préparer sa plateforme dans un proche avenir. Mais elle se trouvera dans une situation délicate, car elle reproche à Lisette Lapointe précisément de ne pas se plier à la volonté exprimée par les militants réunis au dernier congrès.

C'est bon pour moi, c'est bon pour tous... L'argument démagogique de la Gâzette ne surprend personne.

English CEGEPS open doors

I'm proud to be a Francophone, but experiencing the mix of cultural realities has been valuable - and fun


I truly hope that my children will be given the same rights and opportunities, for which I remain forever grateful.

Le PQ et le syndrome du miroir



L’avis du comité de l’ONU est donc contestable. Quant à celui de la Cour suprême, espérons que la constitution québécoise que mijote le PQ mettra enfin la loi 101 sur un pied d’égalité avec la Charte québécoise des droits de la personne. La Charte de Trudeau devra semblablement ravaler sa superbe.

Selon un sondage CROP-SSJB-M

57 % des Québécois pour l’application de la loi 101 au cégep



Si on utilise une question qui présente la loi 101 comme une restriction ou une obligation, les gens sont naturellement portés à être contre. Mais lorsque les Québécois prennent en considération que le français est menacé par l’accès illimité aux cégeps publics anglais, ils appuient majoritairement l’application de la loi 101 aux cégeps.

Loi 101 appliquée au cégep : juste une normalité !

il ne s’agit pas ici d’interdire l’accès à l’école anglaise, il s’agit simplement de ne plus le financer par l’État.


Au Québec, jamais le réseau anglophone ne fut menacé, mais est désormais réservé uniquement à la communauté historique anglophone. Voilà pourquoi l’application de la loi 101 au cégep n’est pas un radicalisme, mais une simple normalité.

Un nouveau cégep bilingue ouvre ses portes à Lachine

Parce que le futur cégep du Collège Sainte-Anne sera subventionné par le ministère de l'Éducation, il en coûtera 3900$ par année pour fréquenter l'institution.


Au ministère de l'Éducation, on confirme que «les établissements d'enseignement privés qui dispensent l'enseignement de niveau collégial sont régis par la Loi sur l'enseignement privé», et cette loi «ne fait aucune référence à la langue d'enseignement». Donc les cégeps privés peuvent offrir des cours bilingues.

Québec Solidaire face à ses contradictions



La protection de notre langue ne doit pas constituer un sujet tabou: ce doit être la fondation de tout projet social ou solidaire. La Loi 101 au cégep ne doit pas constituer la fin, mais le début de tout projet ayant comme finalité le bien-être collectif des Québécois.

Loi 101 au cégep : OUI!



D’où vient cette hésitation à affirmer notre identité collective? D’où vient le fait que nous confondions toujours la défense de notre langue avec une manifestation de ­radicalisme, d’intolérance? Il ne manque pas de citoyens du monde aujourd’hui. La mode est aux nomades. Ils parlent souvent le « Justin Trudeau », en mélangeant le français et l’anglais dans la même phrase. Ils se sentent très branchés en nous i...

Le syndrome du miroir: retour sur une tentation démissionnaire



Conséquemment faut-il se méfier d'un certain « péquisme » comme culture politique investie de technocratisme et dénationalisée qui semble avoir perdu de vue à qui le souverainisme véritable est prioritairement destiné. L'ascendant au Parti Québécois de cette culture politique n'est peut-être pas étranger à sa stagnation dans les sondages.

Quarante-et-un ans après le «BILL 63»

Protection de la langue - L'avenir du français est encore fragile


Cinquante ans après le « Bill 63 » je ne suis pas moins inquiet, voire angoissé, devant l'avenir de notre langue, devant la laborieuse et difficile intégration de la majorité des immigrants au Québec.

La radicale

On est toujours trop radical pour ceux qui préfèrent baisser les bras.


De toute manière, le PQ a une obligation de cohérence. Après avoir abondamment documenté la précarité de la situation du français à Montréal, il serait irresponsable de ne pas agir sur tous les aspects du problème.

Sauver le français à Montréal

À 49,4% de la population de Montréal, les Québécois de langue maternelle française ne peuvent à eux seuls assurer le maintien du français dans la métropole sans une vigoureuse politique linguistique. Voilà le vrai débat


À 49,4% de la population de Montréal, les Québécois de langue maternelle française ne peuvent à eux seuls assurer le maintien du français dans la métropole sans une vigoureuse politique linguistique. Voilà le vrai débat. Il faut aujourd’hui choisir entre Montréal ville française ou ville anglaise.

Le PQ prend acte de l'avis, mais maintient sa position

La réalité saute aux yeux : le passage par un cégep anglophone pour les francophones et les allophones est un facteur anglicisant pour la suite de leurs études universitaires et pour leur carrière professionnelle.


Visiblement, le Conseil a omis d’utiliser des études qui font le lien entre la langue des études postsecondaires et la langue de travail. Il utilise à la place des lettres d’opinion.

Plaidoyer pour le libre-choix de la langue d'enseignement au cégep

Il y a une limite aux contraintes que l'État peut imposer, affirme le Conseil supérieur de la langue française


Pour Conrad Ouellon, la fréquentation du cégep anglais par des francophones et des allophones ne mène pas à leur anglicisation.

Au royaume des aveugles, les borgnes sont rois !

La SSJB considère que le financement et l’accès illimités aux cégeps publics anglophones nuit à l’intégration des allophones et à la cohésion sociale.


À l’encontre des résultats de nombreuses études, sinon du bon sens même, le CSLF dénie que la fréquentation des cégeps anglais puisse avoir un impact anglicisant sur la langue de travail. Cela reflète manifestement le manque d’indépendance des organismes conseils tels que le CSLF ou l’OQLF envers le pouvoir politique.