Le Parti Québécois n’a pas 56 choix qui s’offrent à lui.
C’est un cliché que de dire que le Parti Québécois est à la croisée des chemins. Et un tabou à la fois de parler des véritables raisons qui ont mené à la cuisante défaite du 7 avril dernier. Car une fois de plus, une partie importante de la députation tente de mettre la faute sur n’importe quoi sauf sur elle-même. L’aile parlementaire péquiste vit dans une tour d’ivoire et en vase clos d’où elle ne perçoit que les éluc...