Tante Pauline

Billet de Caroline


Dans la comédie de Gabriel Pelletier
Ma Tante Aline
une tante du même nom ne se voit pas vieillir.
Elle vit de ses souvenirs. (Ici)
Il semble en aller de même avec le PQ.
Le parti fondé par René Lévesque
s’est complètement dépolitisé, démagnétisé.
Il a fait de sa lutte pour l’émancipation nationale
une lutte contre les indépendantistes
trop indépendantistes
au sein même et à l’extérieur du PQ.

Dès son arrivée au parti, Lucien Bouchard a refroidi
toutes les ardeurs.
Avec Bernard Landry, André Boisclair et Pauline Marois
le PQ est devenu l’ordre du temple référendaire,
le Parti neutralité.
Le PQ a livré la marchandise qu’il avait à livrer.
Il est en rupture de stock.

Il s’agit maintenant de savoir
si l’on doit assister à son déclin ou, dès à présent,
participer à la création d’un parti
réellement indépendantiste.

Qu’avons-nous à perdre
que nous n’ayons déjà perdu ?

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Caroline Moreno476 articles

  • 261 020

Château de banlieue

Mieux vaut en rire que d'en pleurer !


Chapitre 1
http://www.tagtele.com/videos/voir/73927/

Chapitre 2
http://www.tagtele.com/videos/voir/73949/

Chapitre 3
http://www.tagtele.com/videos/voir/73967/1/





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1 commentaire

  • Archives de Vigile Répondre

    29 juillet 2007

    Tante Pauline va revenir de ses vacances, ranger les valises, arroser son jardin et, probablement, faire un acte de foi en la souveraineté à assez courte échéance, pour rassurer les vrais souverainistes qui doutent de sa foi en l'option constitutionnelle actuelle du PQ. Ça couperait l'herbe sous le pied d'un nouveau parti indépendantiste en gestation, à moins qu'elle désire que le PQ change définitivement son option en une de vraie confédération avec le ROC...genre, ce qui couperait plus l'herbe sus le pied de l'ADQ.
    Entre-temps, les souverainistes nagent en plein mystère sur les réelles intentions de la tante Pauline qui, dès son élection à la tête du PQ, a mis le poing sur sa table en même temps qu'elle a semblé mettre le pied sur son option constitutionnelle afin, il semble bien, d'avoir une meilleure chance de gouverner le Québec dans le Canada pendant quelques mandats.