Un parti politique existe depuis près de 40 ans en vue de l’indépendance du Québec.
Deux générations d’intellectuels structurés ont consacré le meilleur de leurs énergies pour établir le pourquoi de cette entreprise. Ils ont évalué les différentes stratégies pour y parvenir. Ils ont élaboré des programmes d’action et soumis au peuple le fruit de leurs cogitations diverses par voie électorale et référendaire à répétition.
Devant l’impasse anticipée de ce parti, on fait appel à tous!
Le seul fait que nous devions tous nous imposer ce pensum individuellement, pour affronter le gouffre démontre que le Parti Québécois a échoué. Sa feuille de route, avec le programme actuellement sur la table, le discrédite pour une démarche pédagogique envers les décrocheurs politiques, notre boulet électoral.
Dussions-nous recruter le meilleur de ce parti, pour repartir presque à zéro, se mettre d’accord entre factions diverses de la mouvance souverainiste lucide de la base, il faut trouver le moyen de démontrer au peuple québécois en quoi son sort sera amélioré si on se débarrasse de l’interférence d’Ottawa.
À cause de l’écran médiatique contrôlé subtilement par les apôtres de l’unité canadienne, une majorité décisive de la population ne croit plus que les politiciens soient élus démocratiquement. La rumeur populaire laisse croire que l’idée d’indépendance de la nation québécoise est folklorique. La grande Société Radio-Canada, protectrice des droits des minorités du pays, ne fait-elle pas une large place sur ses ondes pour nous renvoyer notre image glorieuse dans des rediffusions des séries d’époque? En effet, nous pouvons encore raffermir nos valeurs traditionnelles dans les personnages de Séraphin, Terre humaine, Le temps d’une Paix avec Memére Bouchard et Ticoune.
Ceci démontre le déficit d’information qu’il reste à combler. Le phénomène d’assimilation étant par définition subtile, quand on s’en rend compte, il est trop tard. Si nous voulons réveiller cette couche de la société, il nous faut lui faire réaliser, de façon évidente, les assauts assimilateurs systématiques qu’elle subit.
On fait croire aux Québécois qu’ils vivent dans une certaine aisance, comparée aux peuples asservis qui réclament notre secours militaire. Les images sélectionnées à la télé et sur les grands journaux visent à nous faire apprécier notre confort relatif, à l’ombre du drapeau rouge, passeport canadien à la main pour visites régulières de la République Dominicaine. Nous en sommes venus à croire que le Québec rayonne dans l’économie mondialisée grâce à l’encadrement de la fédération canadienne. On prête une force au Québec (province) dans le Canada sur le modèle de la France(pays indépendant) dans l’Union Européenne. À la faveur de ces médias concentrés idéologiquement, les gens de la rue ne se doutent même pas qu’à cause de cette domination notre nation traîne toujours derrière l’autre nation du pays, et que nous n’avons survécu à la conquête que par les miettes qu’Ottawa a bien voulu nous laisser.
HISTOIRE
Ce que les pseudo politiciens indépendantistes ont renoncé à faire, et que nous devons ici reprendre à leur place, c’est de NOUS sortir de l’OUBLI. Résumer en termes simples et frappants, les étapes occultées de notre HISTOIRE. Rappeler aux Québécois qui ils sont pour qu’ils puissent décider où ils veulent aller. Tourner la page n’efface pas l’Histoire. Éviter la chicane en retirant des pans de notre trajet nous maintient dans l’ignorance pour nous leurrer. On nous a caché les assauts sanguinaires qui ont culminé aux Plaines d’Abraham. On nous a caché les attaques racistes contre notre identité
-par l’exécution des Patriotes qui demandaient justice,
-par les enrôlements forcés aux guerres des Boers, à la Première et la Deuxième Grande Guerre et les autres,
-par la loi des mesures de guerre en 1970.
Les journaux ont même occulté les manipulations de démocratie contre nos récents efforts de libération par consultation populaire.
Dans la mouvance souverainiste, nous nous entendrons donc à dire que pour informer le peuple, il faut des médias libres et des cours d’Histoire authentiques, non censurés.
Pourquoi Vigile.net ne serait pas encouragé par les promoteurs d’un Québec libre? Pourquoi, Le Québécois, L’aut’journal, L’action nationale ne sont pas sur les tablettes des dépanneurs?
LANGUE
Tout ce débat ne serait pas nécessaire si nous n’avions pas, de toujours, persisté comme peuple, à vivre en Amérique en FRANÇAIS. Alors, à l’intention des décrocheurs de la politique, sachez que le problème ne date pas d’hier :
À la suite de la révolte des Patriotes, il y a à peine 6 générations, l’Empire britannique avait résolu d’absorber carrément les sujets français pour les sortir de leur statut infériorisé (Lord Durham). Ce projet de génocide doux, à la suite de démonstrations militaires violentes n’a rencontré que résistance molle du vaincu. Nos ancêtres ont subi dans la bonne boi les tactiques britanniques d’absorption par l’ INDIRECT RULE. Leurrés par nos représentants de langue française collaborant avec l’occupant, nous étions déjà dans la tromperie quand l’Acte d’Union nous minorisait dans un simulacre d’égalité des chances pour notre langue. La fédération canadienne a maintenu cette pression sur nous par différentes vagues d’immigration sans effort de sélection ou de francisation. La Supreme Court of Canada continue de démembrer la charte québécoise de la langue française et le tout récent vote à Ottawa a confirmé cette volonté de minoriser notre langue à Montréal, et par le fait même, au Québec. Notre nation ne s’inquiète même pas d’entendre les animateurs de SRC répéter «Refuser l’anglais à la Fête nationale du Québec? Mais n’étions-nous pas enfin rendus ailleurs? »
Le projet d’assimilation est tellement avancé que nous acceptons de discuter de la langue à utiliser par les hauts fonctionnaires. Mme Marois, Mme Harel, les artistes à la Fête nationale, doivent-ils parler anglais, aux fins d’inclusion? Notre projet de convergence devra donc trouver le moyen de faire réaliser à toute classe de la société que la normalité pour nous, au Québec, ce serait d’être aussi fiers ambassadeurs du français à l’étranger, que pour les Chinois, les Italiens, les Espagnols, les Allemands, voire les Français, pour leur langue respective. Ainsi, tous les éléments de la mouvance indépendantiste voudront ensemble
-que leurs représentants brisent cette polarité d’opinion : pour ou contre le français comme langue publique au Québec.
-renverser cet effet médiatique qui a fait croire aux jeunes artistes
-que chanter en français est folklorique,
-aux politiciens québécois que notre minorité anglophone assimilatrice n’a pas à respecter la langue commune, dans ses hôpitaux, ses universités, ses journaux, sous prétexte de droits acquis.
ENSEIGNEMENT
Nierons-nous que le retard en enseignement et diplomation occasionné par l’entre-deux régimes (conquête) n’a jamais été rattrapé pour nous? Ceci justifie un régime d’enseignement gratuit à tous niveaux. Un pays d’expression française se fera un point d’honneur d’inculquer à ses citoyens une fierté réelle de la qualité de sa langue. Ce devra être prioritaire avant l’enseignement de l’anglais langue seconde, aussi de bonne qualité, mais au niveau Secondaire. Nous rechercherons l’équité de subvention des universités pour ce qui a trait aux deux langues. De la maternelle à l’université, comme dans les pays scandinaves, la pédagogie personnalisée visera au décrochage zéro. Les jeunes citoyens vivant dans un tel projet de pays trouvent de toute façon plus de motivation à cause de meilleure perspective d’avenir.
Les nouveaux arrivants étant choisis sans ambiguïté nationale sauront qu’ils arrivent dans un pays de langue française. C’est donc avec enthousiasme qu’ils profiteront de l’enseignement qui leur sera fourni pour travailler en français, vivre dans un environnement en français et s’intégrer à leur milieu d’accueil pour célébrer la fête nationale du Québec dans sa langue officielle : le français.
MAÎTRES CHEZ NOUS.
Si nous nous approprions des médias libres, nous nous donnons des chances égales de faire la démonstration de notre aliénation sous les politiques d’Ottawa. Nous redonnons visibilité au français comme langue parfaitement concurrente dans le monde. Par cette prise en main de notre réalité il devient plus facile de comparer
-le sort d’un citoyen québécois obéissant aux règles d’une autre nation avec
-le sort de ce Québécois qui écrit ses propres règles.
Moyennant que l’on se donne les outils pour parler à tous ceux qui ont décroché de l’information politique, il deviendra facile de leur faire réaliser l’appauvrissement que nous subissons dans ce régime du « status quo ».
Ressources naturelles.
Peu d’effort sera nécessaire pour démontrer qu’un État s’enrichit s’il gère à son profit l’exploitation durable de ses ressources minières, forestières, énergétiques par l’eau, le vent, le soleil, la géothermie. On discutera peut-être sur l’idée de NATIONALISER les ressources naturelles, ou l’agriculture mondialisée, ou les banques. L’exemple le plus actuel est la Société des Alcools du Québec. La plus grande vache à lait de l’État, même en période de crise économique. Les tentations périodiques de se départir de portions d’Hydro-Québec paraissent mal avisées quand on voit venir l’ère des transports électriques : automobile, tramway, TGV éventuellement. S’en priver indiquerait une volonté de laisser passer devant nous l’économie de l’autre nation, dominante au Canda, l’industrie pétrolière.
Culture nationale.
Les Québécois qui ont eu leur opinion négativement braquée par les médias depuis des décennies sur le sens du mot culture pourront nécessiter quelques années d’absorption d’une information plus neutre de la part de leaders nationalistes forts. Mais l’exemple venant de haut normalisera une opinion publique biaisée qui voit en la mondialisation une nécessité d’abandonner sa culture.
Un pays normal ne coupera pas les vivres aux artistes les plus appréciés à l’étranger comme représentants de la nation. Le pays normal favorisera aussi la diffusion de journaux spécialisés dans la vulgarisation de son identité et dans la fréquentation internationale des peuples partageant avec nous une situation politique minorisée.
Comme groupes nationalistes québécois, nous nous entendrons sur le soulagement qu’un citoyen à part entière du pays Québec, contrairement à la situation provinciale, se sentira toujours plus libre de s’identifier fièrement, pour se défendre
-dans les débats politiques, intra muros ou internationaux,
-dans les causes juridiques touchant sa langue, en commerce privé ou gouvernemental, ou la délimitation territoriale de son pays, ou la délocalisation de ses institutions financières vers Toronto…
En résumé, les chicanes ancestrales éliminées d’avec la nation voisine envahissante, il adviendra un tel confort dans la vie quotidienne, qu’il ne devrait pas être si difficile de s’adjoindre cette immense majorité nationale qui nous est nécessaire pour obtenir l’appui de l’opinion internationale pour pouvoir voler de nos propres ailes de par le monde. Cette réunion massive de la famille est la condition pour éviter de s’exposer à nouveau à un fatal refus référendaire par le seul maître du jeu actuel : Ottawa.
Stratégies de convergence
Programme commun de souveraineté
Indépendance - le peuple québécois s'approche toujours davantage du but!
Ouhgo (Hugues) St-Pierre196 articles
Fier fils de bûcheron exploité. Professeur retraité d'université. Compétences en enseignement par groupes restreints, groupes de réflexion, solution de problèmes. Formation en Anglais (Ouest canadien), Espagnol (Qc, Mexique, Espagne, Cuba), Bénévolat latin...
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Fier fils de bûcheron exploité. Professeur retraité d'université. Compétences en enseignement par groupes restreints, groupes de réflexion, solution de problèmes. Formation en Anglais (Ouest canadien), Espagnol (Qc, Mexique, Espagne, Cuba), Bénévolat latinos nouveaux arrivés. Exploration physique de la francophonie en Amérique : Fransaskois, Acadiens, Franco-Américains de N.-Angl., Cajuns Louisiane à BatonRouge. Échanges professoraux avec la France. Plusieurs décennies de vie de réflexion sur la lutte des peuples opprimés.
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30 commentaires
Archives de Vigile Répondre
1 septembre 2009PROJET - STRATÉGIES et PROGRAMME COMMUNS de SOUVERAINETÉ
Dossier spécial de la Tribune libre
OBJECTIFS PARTAGÉS par les PARTICIPANT(E)S
- Exposer et discuter les termes de STRATÉGIES et d'un PROGRAMME COMMUNS de SOUVERAINETÉ ;
- Nous entendre sur l'ESSENTIEL de leurs termes ;
- Solliciter l'adhésion de toutes les composantes de la mouvance souverainiste.
Signataires : CUMULATIF du 2009 09 02 - 00h27
Luc Archambault, Raymond Poulin, Gaëtan Dostie, Ghislaine Caron, Daniel Roy C.A., Michel Gendron, Nicole Hébert, Steve Quilliam, Claude G. Thompson, etc..
{{Stratégies de convergence Programme commun de souveraineté-
Tribune libre de Vigile - Ouhgo- 2009 06 15
SI vous endossez ces OBJECTIFS, déposez ici-bas vos noms.
Archives de Vigile Répondre
22 juin 2009PROJET - Pour un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ
Dossier spécial de la Tribune libre
OBJECTIFS PARTAGÉS par les PARTICIPANT(E)S
- Exposer et discuter les termes d’un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ ;
- Nous entendre sur l'essentiel de ses termes simples et étoffés capables d'emporter l'adhésion du peuple souverain du Québec ;
- Solliciter l'adhésion de toutes les composantes de la mouvance souverainiste.
Signataires : CUMULATIF du 2009 06 22 - 23h
Luc Archambault, Raymond Poulin, Gaëtan Dostie, Ghislaine Caron, Daniel Roy C.A., Michel Gendron, Nicole Hébert, etc...
Au titre : Stratégies de convergence-Programme commun de souveraineté
Tribune libre de Vigile - Ouhgo- 2009 06 15
Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre
21 juin 2009Monsieur Archambault,
Mon exposé principal porte essentiellement sur ceci :
« Le seul fait que nous devions tous nous imposer ce pensum individuellement, pour affronter le gouffre démontre que le Parti Québécois a échoué » et ceci :
« Le projet d’assimilation est tellement avancé que nous(médias d’expression française) acceptons de discuter de la langue à utiliser par les hauts fonctionnaires. Mme Marois, Mme Harel, les artistes à la Fête nationale, (même le PQ, de gouvernance souverainiste est gêné du français !) doivent-ils parler anglais, aux fins d’inclusion ? »
Sur vos efforts pressants de persuasion (ouch, mon bras…), modification de la proposition, j’ai concédé ceci :
« Si par ailleurs, cette opinion se révèle erronée, et que Mme Marois veut repartir à neuf en écoutant les vœux des vrais Québécois indépendantistes, quitte à décaler au second rang son projet personnel de gérer une province canadienne et à prendre le temps qu’il faut pour démontrer à chacun les avantages qu’il tirera du pays Québec (condition essentielle à la victoire), le comité ad hoc trouvera ici quelques suggestions. » i.e. à cette condition, je mettrai la pédale douce sur la critique du parti.
Votre inquiétude était que mon appui conditionnel constitue mauvais exemple et cause effet domino. Vous voilà sans doute rassuré maintenant puisque l’enthousiasme croît pour le projet absolument souhaitable de programme commun de souveraineté.
Quelques récents adhérents signalent avec raison qu’une fois venu le moment des nécessaires réunions de concertation, les pseudonymes (qu’ils appellent, à tort, « anonymes ») ne pourront se présenter avec un sac brun sur la tête. Je m’en tiendrai donc à mon rôle habituel d’humble observateur, d’autant plus que les éminents penseurs optent pour donner au parti une autre dernière chance. Je peux les comprendre puisque j’en étais, jusqu’aux élections du 8 décembre 2008. Si on relève les archives de Vigile à cette époque pas si lointaine, on retrouve des incitations soutenues à ce qu’elle bloque, par un programme indépendantiste, la réélection du petit homme de main de Desmarais et qu’elle entame la construction du pays. Il lui aurait fallu faire alliance avec Mario, mais elle a préféré le battre, en vue d’autres ambitions. Pas de plan de pays, pas de vote des Québécois désabusés.
Désormais, pour ne pas faire entrave à la stratégie de convergence, je m’abstiendrai d’intervenir négativement. Mais ici, je n’engage pas les positions des indépendantistes reniés et mis au régime sec par le parti. Assez nombreux, ils seront de nouveau utiles pour contenir les Canadians le 13 septembre prochain sur les Plaines…et pour leur indiquer régulièrement la porte, partout au Québec. Naturellement, les Résistants, influents membres de la mouvance souverainiste, seraient peut-être plus « convergents » si le parti annulait ces irritants…
Archives de Vigile Répondre
21 juin 2009Stratégies de convergence-Programme commun de souveraineté
Tribune libre de Vigile - Ouhgo- 2009 06 15
CUMULATIF du 2009 06 21 - 20h
Dossier spécial de la Tribune libre
PROJET - Pour un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ
OBJECTIFS PARTAGÉS par les PARTICIPANT(E)S
- Exposer et discuter les termes d’un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ ;
- Nous entendre sur l'essentiel de ses termes simples et étoffés capables d'emporter l'adhésion du peuple souverain du Québec ;
- Solliciter l'adhésion de toutes les composantes de la mouvance souverainiste.
Signataires :
Luc Archambault, Raymond Poulin, Gaëtan Dostie, Ghislaine Caron, Daniel Roy C.A., Michel Gendron, etc...
Archives de Vigile Répondre
20 juin 2009@ Gaston Boivin
Ai-je tort de penser que votre commentaire est implicitement une adhésion à nos objectifs à partager tel que ci-haut décrit avec les signatures suivantes dont la plus récente serait celle de M. Dostie, en espérant que les modifications apportées au sous-titre précédent permettront de voir M. Ouhgo les endosser en y apposant sa signature ? Ces objectifs sont-ils l'expression de votre volonté ? Si OUI, est-ce que vous voulez apposer votre signature ?
Archives de Vigile Répondre
20 juin 2009Stratégies de convergence-Programme commun de souveraineté
Tribune libre de Vigile - Ouhgo- 2009 06 15
CUMULATIF du 2009 06 20 - 16h
Dossier spécial de la Tribune libre
PROJET - Pour un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ
OBJECTIFS PARTAGÉS par les PARTICIPANT(E)S
- Exposer et discuter les termes d’un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ ;
- Nous entendre sur l'essentiel de ses termes ;
- Solliciter l'adhésion de toutes les composantes de la mouvance souverainiste.
Signataires :
Luc Archambault, Raymond Poulin, Gaëtan Dostie, et...
Gaston Boivin Répondre
19 juin 2009@ Monsieur O,
Me semble,
Après avoir lu vos derniers commentaires, que je suis de plus en plus convaincu que vous avez pas mal raison.
Me semble,
Que le bon-sens devrait être contagieux!
Michel Guay Répondre
19 juin 2009Pour savoir ou nous en sommes comme mouvement indépendantiste en 2009, il nous faut pas oublier ou nous étions en 1970 avec les RIN et le FLQ et les offensives criminelles de Trudeau Bourassa et Drapeau contre toute la nation Québecoise .
En 2009 nous en sommes plus là nous sommes quasi majoritaire comme indépendantistes et nous n'avons plus peur en plus d'être instruis
Ce que nous vivons n'est pas une impasse mais de la grande patience pour pouvoir réaliser notre indépendance et notre ouverture au monde démocratiquement en évitant les guerres raciales et des dizaine de millier de morts.
Les canadians ont les armes nous nous avons la population de notre côté et l'indépendance nous la ferons et plus vite que certains pensent
Debout , marchons nous les cou bleus et agissons auprès de la population avant que Charest et les Desmarais Gesca aient finis de vider notre Caisse
Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre
18 juin 2009p.s.
Monsieur Luc,
Le Parti Québécois n'est pas géré par des innocents. Si ces gens-là y croyaient encore à l'indépendance du Québec, s'ils y ont déjà cru, ils y seraient déjà allés dans les coins, dénicher les doutes du peuple pour y répondre. Mais ça fait un bon prétexte: le peuple n'est pas prêt... Quarante ans d'étapisme pour en arriver à ce cul-de-sac, l'assimilation presque achevée, ça devrait nous rendre plus soupçonneux. Ménageons notre ulcère si nous envisageons un autre voyage de dupes avec eux.
Me semble...
Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre
18 juin 2009Monsieur Bruno Deshaies me fait un commentaire fort pertinent. L'extrait que j'en ai tiré comme exemple d'un niveau de langage peu attrayant pour notre public cible mérite cependant que je le ramène puisque nous naviguons ici en haute mer:
"Avant le Grand Soir, toutefois, un travail en profondeur s’impose auprès de l’opinion publique et de la population en général en vue d’influencer le mouvement que la société québécoise doit prendre. Cette transformation de la pensée collective exigera une vision totalement nouvelle de notre conception du NATIONAL. Il faudra apprendre à PENSER LA NATION DANS SON SENS INTÉGRAL qui, par essence, touche LA TOTALITÉ DE LA VIE COLLECTIVE D’UNE NATION. Quant au projet de pays véritable, il naîtra FINALEMENT de cette TOTALITÉ et non avant. Ce serait comme mettre la charrue avant les bœufs.
Après quoi, nous pourrons dire comme vous l’écrivez à la fin de votre article : « Cette réunion massive de la famille est la condition pour éviter de s’exposer à nouveau à un fatal refus référendaire par le seul maître du jeu actuel : Ottawa. » Les esprits doivent donc être préparés soigneusement, consciencieusement et sérieusement."
Ceci parle du noeud, de l'os, que rencontre désormais notre démarche: Nous ne sommes pas assez nombreux à y croire!
Monsieur Deshaies ayant appuyé, je me conforte dans l'idée que l'ensemble des partis établis doivent déjà avoir sur leurs disques durs les calculs de la plomberie pour la réalisation du projet. Mis autour d'une table, ils pourront bien s'entendre sur une voie commune. Mais là où ils ne sont pas nécessairement allés, et qui constituerait pour Vigile un vrai travail de terrain, c'est la stratégie pratique d'approche des décrocheurs politiques. Mon humble avis est que là est notre défi. Autrement, nous sommes en plein bénévolat naïf: nous substituons nos cerveaux à ceux, bien rémunérés de spécialistes dans l'opposition officielle, inefficaces parce que trop habitués aux beaux fauteuils et seaux de champagne.
Me semble, comme dirait Bousquet.
Archives de Vigile Répondre
17 juin 2009Suite
Le Programme commun de souveraineté me semble devoir certes tenir compte de tout ce qui précède et de tout le reste mais me semble devoir être formulé autrement. En tenant compte par exemple des programmes des partis politiques actuels, PI, QS, PQ, Bloc, Verts, voire ADQ qui de gauche à droite pourraient s'entendre sur un Programme commun d'après ce que nous nous pensons.
Par exemple le Programme commun de souveraineté s'engage à :
- Préparer l'avenir ( tout ce qu'on pourra énoncer dans ce qui est dit plus haut ) ;
- Fonder nommément sur les voix du peuple du Québec l'État légal, légitime et indépendant du peuple démocratique, pacifiste et souverain du Québec ;
- Etc... ;
Pour ce faire ( Par exemple ) :
- Faire ce qui est précisé dans le titre Préparer l'avenir ;
- Réunir en Assemblée constituante toute la députation du peuple souverain du Québec ( Ottawa et Québec ) ;
- Invalider l'État abusif actuel du Canada jamais soumis aux voix du peuple souverain du Québec ;
- Proclamer la souveraineté culturelle, énergétique, mémorielle ( Rapatrier les Plaines ) Etc... ( cela pourrait être sans effets juridiques, mais avoir un effet politique )
- Appeler le peuple souverain du Québec à adopter la Constitution primordiale de l'État souverain du Québec, rédigée par l'Assemblée de la députation du peuple souverain du Québec. ( Primordiale pour ne pas avoir à nous prononcer sur une foule d'éléments sujets à controverse... le tout sujet à être validé nommément par le peuple souverain du Québec ultérieurement )
- Proclamer seule valide, légale, légitime et souveraine sur le territoire national du peuple souverain du Québec, la Constitution de l'État du peuple démocratique, pacifiste et souverain du Québec, par l'Assemblée de la députation du peuple souverain du Québec, dès lors rapatriée au Québec et siégeant à l'Assemblée souveraine nationale et à la Chambre des régions du Québec souverain ( ± l'actuelle députation du Québec à Ottawa ) ;
- Etc... ;
Vous noterez que j'énonce ce que je crois devoir énoncer. Mais vous pourriez faire l'exercice selon ce que vous croyez devoir énoncer. Après on verra comment concilier tout ça.
Mais vous pourriez poursuivre comme vous le sentez, ou en proposant autre chose, à votre convenance.
ET ne me dites pas que le PQ n'acceptera pas ça... Ce n'est pas pertinent de le dire, maintenant, puisqu'il est question ici et maintenant, d'exprimer nos volontés personnelles pour en faire à terme et après discussion les termes de notre Volonté commune. La discussion pourra éventuellement ensuite, une fois exprimée notre volonté, se pencher sur ce qui pourra être fait pour faire en sorte qu'elle soit partagée par toutes les composantes de la mouvance souverainiste.
Cordialement et respectueusement.
Archives de Vigile Répondre
17 juin 2009M. Ougho,
J'ai fait une première lecture complète de ce titre. Si j'avais à faire ressortir le point essentiel de ce texte et voulais décrire sa nature, je dirais qu'il est question de
- poser des gestes qui n'ont pas été posés, ou qu'il nous faut mieux poser, ou qu'il nous faut continuer à poser. Un peu comme le dit Jacques Parizeau dans son discours du 6 juin dernier.
- dont un essentiel qui consiste à faire l'UNION de nos forces
- mais aussi plusieurs autres gestes à poser, que ce premier geste essentiel engage et que recoupent les 5 conditions de M. Julien. En somme, toutes choses existant déjà souvent dans ce qu'on retrouve énoncé dans le mouvement souverainiste. Comme vous l'avez déjà dit.
Mais, ce n'est pas à cela que je pensais quand je parlais de Programme commun de souveraineté. Cela, sans disqualifier ce que vous dites tous les deux et que je pourrais aussi dire par ailleurs. J'y reviendrai.
Nous pouvons tous identifier tel ou tel point, le mettre en évidence et dire, voici ce qu'il nous faut faire. On peut aussi dire telle condition est celle qui nous entrave, tel ensemble de condition sont celles qui nous entravent. Il nous faut donc agir sur ces conditions. Nous pourrions les énumérées, et joindre l'action, ou les actions qu'il nous faudrait engager pour changer la situation. Ce serait bien de le faire et nous pourrions le faire, faisons-le.
Mais parallèlement, je pense que nous pourrions aussi ouvrir un autre chantier. Qui n'est pas celui de l'argumentaire supportant les principes ou les actions à entreprendre. Supportant le Programme de gouvernement à décrire. Un Programme qui serait commun. Par exemple.
M. Parizeau parle de faire des études, certaines ont été faites et ne sont plus à faire, d'autres faites doivent être constamment mise à niveau, et d'autres n'ont pas été faites. Il faut les faire, et mettre refaire celles qui doivent être mise à niveau. On peut colliger l'ensemble par catégorie. Cet ensemble n'a pas nécessairement à être décrit ( bien que ce serait bien de le faire ) mais pourrait être classé dans la catégorie des actions à poser partie du Programme commun au titre : Préparer l'accession à la souveraineté de l'État du peuple souverain du Québec, appelons-le, Préparer l'avenir, on trouvera mieux chemin faisant
Préparer l'avenir ( avec comme sous titre )
Études utiles à la définition du Projet de pays
( Chiffrer le service de la dette, Revenus et dépenses, etc. )
- Ressortir les études utiles à la création de l'État souverain ( lesquelles ) ;
- Refaire les études à mettre à niveau ( lesquelles ) ;
- Faire les études qui nous manquent ( lesquelles ) ;
- Etc... ;
Projet de pays ( décrire les éléments parties de ce projet )
- Budgets ( coûts et bénéfices de l'accession à la souveraineté de l'État ) ;
- Constitution ( primordiale ) ( éventuellement à compléter ultérieurement ) ;
- Processus d'accession à l'État souverain indépendant ;
- Etc... ;
Dans une autre titre nous pourrions décrire un Plan d'action
Plan d'action Objectifs visés
- Contrer la propagande médiatique ( médias alternatifs ) ;
- Informer le peuple souverain du Québec (Histoire, géopolitique, politique, etc) ;
- Mobiliser les souverainistes ;
- Rétablir la symétrie et la réciprocité du processus qui valide l'État légitime sur le territoire national du peuple souverain du Québec ;
- Etc... ;
Mais tout cela n'est toujours pas un Programme politique
Suite ici-bas
Archives de Vigile Répondre
17 juin 2009Suite et fin
En espérant cher M. Ougho que vous accepterez de l'endosser ce cadre, pas ce qui s'ajoute à lui dans la discussion qui s'en suit. Au plaisir de créer ensemble l'oeuvre qui est par là encadrée ou... supportée.
Il s'agit en somme de décider qu'on choisit de peindre sur tel support, sur une toile par exemple et non du papier ( c'est un exemple ). Cela entendu, reste à créer l'oeuvre...
À vos pinceaux donc ! Pour ce qui est de la peinture, chacun, chacune apporte ses couleurs et médiums à penser.
Archives de Vigile Répondre
17 juin 2009Suite
Ce qui m'amène à commenter votre remarque à M. Deshaies quant à la simplicité et la clarté de ce à quoi nous devons parvenir. Je suis tout à fait d'accord avec votre énoncé. Cela n'empêche pas que, pour exposer nos idées, les soutenir, pour les défendre et illustrer, qu'on puisse invoquer, convoquer, engager une réflexion qui elle peut être fort complexe, voire compliquée ou hermétique. Ainsi, ce n'est pas tout ce qu'on pourra dire ou écrire qui compte, mais ce qui sera conservé au final de ce qui aura été pensé, exposé, discuté.
Les poètes connaissent bien ce principe, autant les nôtres occidentaux que les maître japonais du Haïku par exemple - Wikipédia. « Être ou ne pas être », peut suggérer, des milliers de pensées, et il en a fallu des millions pour parvenir à cet essentiel exposé. Il peut être appliquer à de multiples situation, on peut écrire sur le sujet des pages et des pages aussi savante et hermétique les unes que les autres, pour parvenir à comprendre et mesurer la portée de ce court texte essentiel, existentiel.
Les 5 conditions de la souveraineté.
Je n'ai encore pas lu en détail tout le contenu de ce titre. Mais de ce que j'ai pu m'en faire une idée, le fait d'énumérer des conditions du possible participe certes à notre réflexion, mais seulement à titre de fond de scène, ou de fondation d'un texte à rédiger qui lui me semble devoir être autre chose. Ce qui y sera dit tiendra compte du contexte, mais n'en fera pas mention puisqu'il est question de nous entendre sur le contenu essentiel des principes d'action, et de la nature des actions à poser identifiées en tant que Programme d'actions politiques.
Quand on convient d'incarner le programme d'action suivant il n'est pas question de décrire s'il pleut ou s'il vente, ou si j'ai la forme pour le faire, où s'il y aura de la circulation, on énonce le principe d'une action et le moyen de l'incarner dans la réalité.
C'est un exemple... Je n'ai pas parlé des conditions de route, de s'il pleuvra, de trouverai-je tel ingrédient, ou tel produit disponible ou pas sur le marché, y en aura-t-il encore au magasin. ET, je n'ai pas dit à quelle heure je vais rentrer, mais j'ai dit que je vais faire les courses, me rendre là où il faut pour acheter ce qu'il faut et j'ai dit que je vais faire à souper pour toute la famille et pour ensuite être de commerce agréable avec tous nos invités de tout le voisinage, pas seulement avec seulement l'un d'entre eux... Cela dit comme ça, pour parler du principe d'action à décrire.
En espérant que tout ce que je pourrai écrire ou dire n'empêchera personne d'endosser les deux principes à partager qui forment un cadre de discussion. En espérant que le contenu des discussions qui pourra être ce qu'on veut ou ce qu'on ne veut pas, ne servira pas de justification au fait de ne pas endosser le cadre de la discussion, qui n'est pas... la discussion.
Cela à l'image de ce à quoi nous aboutirons. Un texte sur l'essentiel, tout le reste sera l'objet de discussion continue pour le reste de l'éternité, dans un État souverain, valide, légal et légitime émanant nommément des voix du peuple démocratique, pacifiste et souverain du Québec.
Suite et fin ici-bas
Archives de Vigile Répondre
17 juin 2009@ M. Ouhgo,
J'accède à votre demande de retrait de votre nom.
CUMULATIF du 2009 06 17 - 18h40
Dossier spécial de la Tribune libre
PROJET - Pour un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ
OBJECTIFS PARTAGÉS par les PARTICIPANTS
- Exposer et discuter les termes d’un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ
- Le faire adopter par toutes les composantes de la mouvance souverainiste
Signataires :
Luc Archambault, Raymond Poulin, et...
_______________________
Non sans vous demander de reconsidérer votre décision. Pour les raisons suivante.
- Vous avez omis de considérer ce que vous signez... et ce n'est bel et bien que ce qui précède et non pas tout ce que je pourrais dire ou écrire par ailleurs. Tout ça est sujet à discussion à l'intérieur des paramètres signés.
- Ce qui permet bien de montrer que ce qui nous divise repose sur quantité de sujets qui sont prétexte à nous empêcher de manifester ce sur quoi nous pouvons nous unir. Ainsi. Vous considérez que ce que j'ai dit par ailleurs justifie le fait que nous ne signiez pas ce qui pourtant emporte votre adhésion. Nous sommes donc divisé non pas sur ce qui emporte notre UNION, mais sur ce qui n'a rien à voir avec le contenu des termes de cette UNION et en l'occurrence ces termes sont ce qui est écrit plus haut et non tout le reste qui fera l'objet de discussion à l'intérieur de ce sur quoi nous pouvons aujourd'hui faire l'UNION qu'il nous est actuellement possible de faire.
- Ainsi, considérant que nous nous engageons maintenant ensemble non pas sur le résultat de ce que nous engageons mais sur les principes que nous nous engageons à endosser, je ne vois pas pourquoi vous devriez retirer maintenant votre nom, puisque rien de ce que j'ai pu penser ou écrire n'est engagé par quiconque d'autre que moi.
- Ce pourquoi, je vous demande de reconsidérer votre décision de retirer votre nom endossant des principes que vous partager pourtant, ce me semble et sauf erreur.
Pour ce qui est de ce que vous dites et qui sera l'objet de discussion à l'intérieur de ces principes communs ci-haut décrits et qui ne contiennent pas ce que je dis et que vous contestez à bon droit, ce qui sera partie de nos discussions, vous dites :
« …que nous soumettrions ensuite à toutes les composantes de la mouvance souverainiste pour être discuté, puis approuvé, dont par le Congrès du PQ à tenir dans ± 20 mois. »
« mais je ne me porte pas candidat à la rédaction du programme de ce parti auquel je n’ai plus confiance. »
Nous sommes d'accord. Il n'est pas question de rédiger le Programme du Parti Québécois, et personnellement ça ne m'intéresse pas de participer au travaux du PQ à cette fin.
Le fait de rédiger un texte, qui sera soumis à l'attention et à l'approbation de toutes les instances et composantes de la mouvance souverainiste, y compris le PQ, pour que chacune en discute, et se gouverne, ou pas, en conséquence, est toute autre chose que faire ce que vous refusez à bon droit de faire.
Ainsi, il n'est pas question dans nos travaux de rédiger le Programme du PQ, il est question ne coucher sur papier sous forme de Programme commun de souveraineté, ce qui nous apparaît à nous, être le bon choix pour le peuple souverain du Québec. Il est question d'exposer, de discuter, et de nous entendre sur l'essentiel, le primordial incarné dans un texte.
Un texte que j'imagine très simple, clair, dont l'essentiel ferait moins d'une demi-page, et le développement pas davantage qu'une autre page.
Car plus nous voudrons rassembler toutes les composantes de la mouvance souverainiste plus nous devrons nous concentrer sur l'essentiel.
Suite ici-bas
Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre
17 juin 2009Monsieur Julien,
Vous avez choisi (arbitrairement ?) cinq (annoncées comme quatre) conditions pour l’avènement du pays. Leur absence vous désespère.
Quant à moi, toutes ces conditions sont absentes sans que la population n’en soit responsable. C’est le résultat de ce subtil et efficace programme d’assimilation fomenté contre le français par les patrons de Lord Durham après la révolte des Patriotes. (Éric Lapointe dit : « Les Patriotes sont morts, faut vivre de notre temps », victime lui aussi du modernisme à la mode.)
Depuis 1995 et les commandites, la frousse fédérale a commandé cette guerre à finir : Noyer le vote par l’immigration, discréditer la langue par l’écrasement juridique et le mensonge sur le rôle de l’Office, dénigrer la nation en faussant l’écriture de l’histoire et enfin, noircir l’avenir communautaire du peuple venu de Nouvelle-France en monopolisant les médias écrits et électroniques, donnant toujours le mauvais rôle au Québec, seule province habilitée à maintenir ensemble les autres. La technique du « Indirect Rule », chère à l’Empire britannique, a toujours cours au Canada : Ottawa tient à la gorge par leur chèque de paye toute une brigade de « parlants français » à LaPresse comme à Radiocadna. Ceci explique votre référence à Nuovo et Josée Legault. Toute la journée, à la première chaîne, la même propagande se passe d’un animateur à l’autre : « Refuser les Anglais à la Fête nationale ? Mais on pensait être rendus ben ailleurs ! » Même la belle Catherine Perrin(nouvelle assignation annoncée) donnait la réplique ainsi à Homier. À cause de cette bulle étanche où ces gens évoluent, se peut même qu’ils ignorent carrément où en est rendue l’assimilation.
Mais si tous les indépendantistes se mettent sur un projet unique de pays, il est encore possible de porter la nouvelle aux plus humbles parmi nous pour réunir une majorité significative, se désigner des dirigeants convaincus et se voter un pays sous la protection internationale. (Espèce menacée).
p.s. merci pour l'appréciation du texte soumis
Archives de Vigile Répondre
17 juin 2009Monsieur Ouhgo,
Pouvez-vous me dire si les 5 conditions que je posais comme essentielles à la construction du pays québécois sont selon vous réunies?
Suis-je dans le champs lorsque je réponds non?
Nous ne sommes pas sortis de l'auberge n'est-ce pas?
Pendant ce temps le nation building canadian se poursuit tel un véritable rouleau compresseur. Observez toute cette catégorie de nouveaux lèche-culs qui reçoivent le Prix du Gouverneur Général du Canada et qui nous disent que l'ouverture au monde passe obligatoirement par la bilinguisation du Québec.
Les dernièrs déclarations de Franco Nuevo, Josée Legault et autre souverainistes de salon me font vomir!
Franchement, il m'arrive des fois de vouloir lancer la serviette et de m'en tenir à sauver ma peau!
Au fait votre texte est très fort!
Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre
17 juin 2009· ...suite pour monsieur Luc,
tant qu’à parler d’archives(membres déçus), je m’étonne que vous ne me suiviez pas dans la géopolitique de M. Sauvé. Le 28 mai dernier, lorsqu’il répondait à une de vos thèses : « …Vous ne me croirez jamais. Vous venez de jeter une douche d’eau froide sur le projet et détruire le peu de détermination qui commençait à surgir. » J’ai pris le relais en lui demandant : «…tous se meurent d’impatience de lire les éléments d’action immédiate que vous souhaiteriez voir entreprendre par notre peuple endormi (5juin). Et sa réponse n’a pas tardé : " …Monsieur O, L’immédiat n’est pas mon fort, étant trop lent et trop lourd pour réagir tout de suite et avec efficacité. Je gagne mes batailles à long terme".
-Sans doute devrais-je emprunter le mot de M. Sauvé pour donner suite aux courtoises interpellations de MM. Deshaies et Archambault : Ma lenteur intellectuelle paraît moins par écrit.
Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre
17 juin 2009@ MM. Deshaies et Archambault,
Monsieur Bruno Deshaies,
je vous remercie d’avoir rapporté justement mon résumé de notes biographiques. Sur papier, elles vous sont apparues attrayantes. Mais pour une demande d’emploi, il y manquerait les dates et la photo. Or, je ne passe pas d’auditions. Pour le texte soumis, je ne revendique que très peu d’originalité. Les idées colligées ici circulent depuis longtemps en vase clos, sur Vigile. Là où j’insiste le plus, cependant, et vous l’avez remarqué, c’est sur la négligence élitiste et impénitente du Parti Québécois à adapter son discours aux « plus petits » d’entre nous. Ce parti qui a été aux commandes de l’appareil d’État, puis en méditation au purgatoire des obligations de gouvernement, dans l’opposition, en est encore à se demander comment il se fait que le peuple Québécois ne soit pas informé sur la Cause. Il oublie (ou néglige intentionnellement?) peut-être que pour informer tous les niveaux de la population, il ne suffit pas de publier un projet de pays en format pdf sur une page d’ordinateur. Il faut rejoindre chaque individu dans son milieu, dans son vocabulaire. Et là, M. Deshaies, je vous mettrais respectueusement en garde contre la rédaction de projet en termes de :
« Cette transformation de la pensée collective exigera une vision totalement nouvelle de notre conception du NATIONAL. Il faudra apprendre à PENSER LA NATION DANS SON SENS INTÉGRAL qui, par essence, touche LA TOTALITÉ DE LA VIE COLLECTIVE D’UNE NATION. Quant au projet de pays véritable, il naîtra FINALEMENT de cette TOTALITÉ et non avant. »
Ce que j’en dis, c’est que voilà un niveau de langage que le travailleur ne lit pas sur le journal du peuple au Quick le matin. Mon curriculum me permet de détecter ces hiatus pour interpréter les niveaux de langage au profit des deux. Cette habileté ne me qualifie pas nécessairement pour participer efficacement à un comité ad hoc qui devra œuvrer en toute souplesse pour la rédaction finale d’un Programme commun de souveraineté reflétant les stratégies de convergence de toute la mouvance souverainiste.
Monsieur Luc,
Ces propos me mènent à votre demande répétée de consentement pour endosser :
· OBJECTIFS PARTAGÉS par les PARTICIPANTS
Exposer et discuter les termes d’un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ
Le faire adopter par toutes les composantes de la mouvance souverainiste
J’en serais si on s’en tenait à ça. Mais vous ajoutez, tout en me demandant d’oublier le PQ :
…que nous soumettrions ensuite à toutes les composantes de la mouvance souverainiste pour être discuté, puis approuvé, dont par le Congrès du PQ à tenir dans ± 20 mois.
Alors je veux bien continuer à soumettre i ci des résumés critiques destinés à aider le travail du comité mais je ne me porte pas candidat à la rédaction du programme de ce parti auquel je n’ai plus confiance. J’ai succombé très récemment à l’influence de membres de longue date qui y ont vécu de grandes frustrations : Nestor Turcotte, Denis Julien, Pierre Cloutier… Ma réponse est donc : Retirez mon nom comme endosseur.
Respectueusement, O.
p.s. petite note à M. Deshaies : Vous concluez : « …Les esprits doivent donc être préparés soigneusement, consciencieusement et sérieusement. C’est un travail de sape. Sans doute y voyez-vous, à la relecture, une impropirété de terme. Sape : intrigue cachée pour détruire… Travail de fourmis, de tranchée ?…(pour construire dans l’ombre)
Archives de Vigile Répondre
17 juin 200917 juin 2009 Bruno Deshaies
Monsieur Ougho, qui êtes-vous ? Voici la réponse que je trouve sur le site Vigile.net :
« Fier fils de bûcheron exploité. Professeur retraité d’université. Compétences en enseignement par groupes restreints, groupes de réflexion, solution de problèmes. Formation en Anglais (Ouest canadien), Espagnol (Qc, Mexique, Espagne, Cuba), Bénévolat latinos nouveaux arrivés. Exploration physique de la francophonie en Amérique : Fransaskois, Acadiens, Franco-Américains de N.-Angl., Cajuns Louisiane à BatonRouge. Échanges professoraux avec la France. Plusieurs décennies de vie de réflexion sur la lutte des peuples opprimés. »
*************
Pour conduire le combat que vous voulez mener ici, il me semble qu'il serait préférable d'être transparent quant à votre identité civique. Les références actuelles sont trop floues.
Cela dit, je reconnais que votre texte possède l'inspiration qu'il faut pour agir plus en profondeur.
En revanche, il me semble que le plus urgent repose sur l'Idée d'indépendance. Pour y travailler sérieusement, il faudrait des rencontres entre des personnes bien déterminées à agir sur cette base.
La lutte nationale véritable ne pourra commencer que le jour où les indépendantistes auront donné le ton dans l'opinion publique. Il faudrait en arriver à ce que le cadre conceptuel de l'indépendance ne soit pas considéré comme une quantité négligeable ou un pis-aller. Il faudrait parvenir à faire en sorte que les partis politiques ou les médias ne peuvent plus systématiquement esquiver des ondes publiques et privées le point de vue des indépendantistes.
Des Anglophones se défusionnent de Montréal mais ils voudraient être présents à la Fête nationale du Québec. Le gros prétexte de Guy A. Lepage a consisté à déclarer : « On devrait être content, ils auraient pu aller à la Fête du Canada ! » Bullshit ! Quant à la réponse casuistique de Gérald Larose sur les ondes de Radio Canada (sans toutefois vouloir se faire reconnaître comme le président du Conseil de la souveraineté), on peut considérer ses propos de trudeauistes. Or, ce n’est pas une référence pour le Québécois-Français.
Avant le Grand Soir, toutefois, un travail en profondeur s'impose auprès de l'opinion publique et de la population en général en vue d'influencer le mouvement que la société québécoise doit prendre. Cette transformation de la pensée collective exigera une vision totalement nouvelle de notre conception du NATIONAL. Il faudra apprendre à PENSER LA NATION DANS SON SENS INTÉGRAL qui, par essence, touche LA TOTALITÉ DE LA VIE COLLECTIVE D’UNE NATION. Quant au projet de pays véritable, il naîtra FINALEMENT de cette TOTALITÉ et non avant. Ce serait comme mettre la charrue avant les bœufs.
Après quoi, nous pourrons dire comme vous l'écrivez à la fin de votre article : « Cette réunion massive de la famille est la condition pour éviter de s’exposer à nouveau à un fatal refus référendaire par le seul maître du jeu actuel : Ottawa. » Les esprits doivent donc être préparés soigneusement, consciencieusement et sérieusement. C’est un travail de sape.
Archives de Vigile Répondre
16 juin 2009Les quatres conditions essentielles pour faire du Québec un pays sont les suivantes:
1)La volonté de la nation québécoise de se prolonger dans le temps et l'espace par la reproduction et le contrôle de son immigration.
2)Une connaissance minimale de son histoire nationale.
3)L'amour de sa langue.
4)Le respect et l'admiration de ses ancêtres.
5) Le sentiment ainsi que la volonté de vivre un destin commun.
Je regrette d'avoir à dire qu'aucunes de ces conditions ne sont présentes.
BONNE CHANCE!
Archives de Vigile Répondre
16 juin 2009CUMULATIF du 2009 06 16 - 20h
Dossier spécial de la Tribune libre
PROJET - Pour un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ
OBJECTIFS PARTAGÉS par les PARTICIPANTS
- Exposer et discuter les termes d’un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ
- Le faire adopter par toutes les composantes de la mouvance souverainiste
Signataires :
Luc Archambault, Ouhgo, Raymond Poulin et...
Archives de Vigile Répondre
16 juin 2009Merci M. Poulin,
Si M. Ouhgo ne retire pas son nom de la liste, nous sommes trois... C'est déjà ça...
Vous qui êtes le premier à avoir soumis dans la Tribune libre de Vigile un texte en vertu de mes suggestions invitant les Vigiles à prendre la parole et déposé dans un Dossier spécial de la Tribune libre et concernant les Stratégies de convergences dont il nous faut stipuler l'essentiel des termes dans un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ à faire approuver par toutes les instances et composantes politique, institutionnelles et citoyennes de la mouvance souverainiste.
- Une rentrée par la porte des cuisines ?
Raymond Poulin - Vigile - 2009 06 14
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PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ
La balle est dans le camp des VIGILES souverainistes
Une réciproque OBLIGATION de RÉSULTATS, de la base au sommet !
Luc Archambault - Tribune libre de Vigile 14 juin 2009
Archives de Vigile Répondre
16 juin 2009Ils ne cesseront jamais parce que ce sont des psychopathes invétérés. Et quand c'est nécessaire, ils jouent les paranos.
Je parle peut-être à travers mon chapeau parce que je ne suis pas psychiatre, mais je ne crois pas me tromper. Leur comportement depuis 250 ans parle de lui-même.
Faut-il les plaindre ou les faire traiter???... Il y a urgence parce qu'il y a péril en la demeure.
Marie Mance Vallée
Archives de Vigile Répondre
16 juin 2009Cher M. Ougho
Loin de moi l'idée de vous reprocher d'être exhaustif. Surtout ne regrettez pas de l'avoir été. Et merci d'avoir abondé dans je que j'ai suggéré, je vous ai écrit pour ça, signaler l'effort et signaler l'a propos de l'effort. ET, il n'est pas question que je l'oublie. J'y reviendrai pour sûr.
Pourriez-vous préciser, je ne vous suis pas.
Excellent et merci encore, j'y reviendrai dans les meilleurs délais.
J'ai dû m'occuper d'urgence... Voir à ce sujet les prochains titres de Vigile concernant la Fête nationale du peuple souverain du Québec et la résurgence de l'affaire McCartney, pas étonnant c'est lié... Il aurait fallu être déconnecté de la réalité pour ne l'avoir vu arriver.
Pourrions-nous oublier un instant le PQ. Oublier toutes les raisons qui feraient en sorte que ne pourrait pas s'appliquer dans le réel politique qui est le nôtre, telle expression de notre VOLONTÉ en ACTE, incarnée dans les termes essentiels d'un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ, que nous mettrions au point ici, que nous soumettrions ensuite à toutes les composantes de la mouvance souverainistes pour être discuté, puis approuvé, dont par le Congrès du PQ à tenir dans ± 20 mois.
Nous aurons tout le temps à tout moment pour ce faire, et nous décourager... pour estimer telle ou telle circonstance ou situation défavorable.
Ma question est donc, endossez vous les objectifs précités, dois-je retirer votre nom de la liste déjà augmentée par le M. Raymond Poulin ?
Ouhgo (Hugues) St-Pierre Répondre
16 juin 2009Monsieur Luc,
Ne me faites pas regretter de l’avoir écrit. Si j’ai fait un effort pour produire un document à tendance exhaustive, c’est dans le but de répondre à votre souhait de recueillir chez chaque participant une vue d’ensemble de ce qu’il conçoit comme une réelle ébauche de programme souverainiste. Je ne considérerais pas un programme le moindrement sérieux pondu sur un feuillet unique, format que je privilégie normalement pour un message sur Vigile. Si vous craignez de vous fatiguer en le parcourant, je vous sers votre médecine : oubliez-le.
Pour ce qui est de l’expression Volonté en Acte, que vous concédez avec bienveillance à M. Sauvé, j’ai pour ma part bien pris note de sa réponse à ma question pour ses suggestions à moyen terme : Monsieur ne serait pas l’homme du moyen terme…
Pour ce qui est de mon endossement, ça s’arrête au titre, que j’ai utilisé comme adresse spécifique à l’intérieur de Tribune Libre. Je vous soumets le document pour que vous y puisiez toute parcelle d’idée qui n’aurait pas encore été soumise. Cependant, s’il est question de le faire approuver par le PQ, il bloquera dès le deuxième paragraphe où je déplore l’échec de ce parti après 40 ans d’essais et erreurs. Si par ailleurs, cette opinion se révèle erronée, et que Mme Marois veut repartir à neuf en écoutant les vœux des vrais Québécois indépendantistes, quitte à décaler au second rang son projet personnel de gérer un province canadienne et à prendre le temps qu’il faut pour démontrer à chacun les avantages qu’il tirera du pays Québec (condition essentielle à la victoire), le comité ad hoc trouvera ici quelques suggestions. Mais voyant les réactions des Québécois assimilés qui bossent à Radiocadna et LaPresse au sujet de la Fête nationale, je ne me fais pas d’illusions. L’an prochain, à Québec comme à Montréal l’animation de la fête se fera en anglais. Et nous serons partis à la pêche.
Raymond Poulin Répondre
16 juin 2009Pour continuer la liste: Luc Archambault, Ouhgo, Raymond Poulin et...
Archives de Vigile Répondre
16 juin 2009Rien à ajouter à votre texte, sinon mentionner que je suis TOTALEMENT D'ACCORD avec son contenu! BRAVO!
Michel Guay Répondre
16 juin 2009Sauf que les ennemis anglos protestants destructeurs de la nation Québecoise ne nous ont jamais laissés en paix depuis 1534
1)en attaquant nos bâteaux
2)en menaçant la France notre mère patrie
3) en nous obligeant de construire des forts au lieu de construire des villes
4) en nous massacrant par leurs mercenaires Iroquois ( Mohawks)
5) en nous envahissant à la moindre occasion (Phipps, Monction, Wolfe)
6) en commettant contre la nation Québecoise des véritables génocides des déportations et des occupations militaires ( 1755 -1867)
7) en nous imposant une confédération bidon de 1867
8) en suscitant un exode économique aux USA de 50% des Québecois de 1880 à 1910
9) en nous imposant des participations forcées à leurs guerres coloniales et raciales
10) en nous imposant les mesures de guerres abusives de 1970 et 1990
11) en volant les référendums de 1980 et 1995
12) en volant par des commandites les élections et en vidant notre Caisse de Dépôts
Et ces criminels ne nous laisserons jamais en paix car ils ne peuvent pas vivre sans voler mentir et tuer en nous imposant impunément coups après coups pour ensuite être nommés honorables et vivre en colonisateurs au Québec
Ils ne nous laisserons jamais nous unir nous libérer et informer , même pas sur Vigile
Archives de Vigile Répondre
16 juin 2009M. Ouhgo,
Merci de participer à l'exercice que j'appelle de mes voeux depuis un certain temps dans Vigile, cela afin que s'exprime la VOLONTÉ en ACTE du peuple souverain du Québec, comme l'exprime M. Sauvé. À commencer par celle des souverainistes.
Souveraineté OU Indépendance ?-
Souveraineté ! Celle du peuple souverain du Québec - Luc Archambault 2009 06 14
Vous me demandiez d'être bref et vous voilà bien long... je vais prendre le temps de vous lire plus qu'en survol. Merci de l'avoir écrit votre pensée politique.
De cet exercice et de sa discussion devrait je pense émerger sur l'essentiel un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ. Je constate que votre titre y fait référence. Est-ce à dire que vous endossez ma proposition ?
Ainsi, nous serions deux à nous entendre d'abord sur ça...
- le fait de concevoir, d'écrire, de préciser les termes d'une tel document
- à faire ensuite adopter par toutes les composantes de la mouvance souverainiste dont au premier chef le PQ. Est-ce bien ça ?
Ainsi donc nous pourrions dire que note objectif commun pour l'heure se décrit comme suit.
Dossier 15 mois pour concevoir un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ
OBJECTIFS PARTAGÉS
- Exposer et discuter les termes d'un PROGRAMME COMMUN de SOUVERAINETÉ
- Le faire adopter par toutes les composantes de la mouvance souverainiste
Signataires :
Luc Archambault, Ouhgo... et...
Toutes les personnes qui endosseraient ici-bas tels OBJECTIFS, qu'ils et elles participent en observateurs ou en proposant des textes ou discutant ceux des autres intervenants.