Voici le contenu d'un message que je viens d'envoyer au Devoir.
Messieurs du Devoir,
Vous semblez aimer les mises en demeure, alors en voici une :
Je vous somme de cesser ce procédé odieux, mis en marche directement ou
indirectement, à défaut de quoi, j’annulerai définitivement mes abonnements
au Devoir et je me ferai un devoir de boycotter tout ce qu’il soutient. Il
est incroyable de voir Le Devoir, qui a longtemps été la victime de tels
procédés duplessistes, s’y adonner, semble-t-il sans vergogne.
À bon entendeur, salut.
Pierre Galipeau
-- Envoi via le site Vigile.net (http://www.vigile.net/) --
De "l’usage raisonnable"
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1 commentaire
Thaïs Potvin Répondre
17 septembre 2007MONSIEUR GALIPEAU,
J'étais comme vous, une abonnée au journal Le Devoir. J'ai annulé le renouvellement de mon abonnement en juillet dernier.
Depuis plusieurs années, je constatais le glissement qui s'effectuait dans la page éditoriale. Le Devoir a fini par avoir raison de ma patience et la coupe débordant, j'ai quitté.
Ce dernier geste qu'il vient de faire en s'associant à La Presse pour une mise en demeure à Vigile en dit long, très long sur sa dérive. Ça me confirme que j'ai eu raison de l'abandonner.
J'espère que beaucoup d'autres abonnés feront comme nous. Car ce n'est plus le journal exceptionnel que nous avons connu alors que Lise Bissonnette nous livrait des éditoriaux limpides, directs, aux arguments en béton.
Thaïs Potvin