Le premier ministre François Legault a réitéré son intention de tenir un référendum sectoriel sur l'immigration si l'administration Trudeau continue obstinément de refuser de céder de nouveaux pouvoirs en ce domaine au Québec.
Il est établi que la population du Québec est majoritairement contre la situation désastreuse provoquées par la surimmigration galopante actuelle avec tous les désagréments sociaux qu'elle occasionne. Donc ce référendum sera certainement gagnant et permettra d'exercer plus de pressions sur Ottawa, de sorte qu'il n'aura plus le choix de répondre enfin aux requêtes prioritaires faites au nom de tout le peuple québécois.
En même temps, le fédéral redoute ce référendum comme la peste, sachant fort bien que cela lui mettra à dos toute la population du Québec qui lui en tiendra rigueur advenant un refus net mais prévisible de sa part, et que cela compromettra dangereusement sa réélection. Autrement dit, ce référendum servira en même temps à éjecter le gouvernement fédéral libéral actuel, en place depuis beaucoup trop longtemps.
Un avantage supplémentaire de faire ce référendum réside dans le fait qu'il sera gagnant. Devant une telle victoire, les Québécois se sentiront plus confiants que jamais de l'emporter lorsqu'arrivera le référendum suivant sur l'indépendance du Québec, peu importe le parti qui le lancera par la suite. L'effort de mobilisation collective dans le sens de l'affirmation des désirs du Québec sera sur sa lancée. Le premier servira de tremplin au second. Il nous permettra de faire le bond en avant décisif avec plus d'aplomb et de détermination, et saura rallier les quelques hésitants qui resteront. Nous prendrons alors notre destinée solidement en main, comme il se doit pour toutes les nations.
Encore mieux, si ce référendum ne donne pas de résultat rapide et concret dans nos revendications légitimes faites à Ottawa comme il faut s'y attendre, nous pourrons utiliser ce nouvel échec comme un argument de plus pour faire l'indépendance au plus vite afin de régler le problème de la surimmigration par nous-mêmes. C'est un problème criant qui doit être réglé cette année, pas en 5 ans. Le surplus actuel qui dérègle tout le système doit être élagué et relocalisé dans le ROC. Cela fait augmenter l'urgence de réaliser au plut tôt cette indépendance salvatrice qui nous permettra de prendre toutes les mesures énergiques requises. Faire comprendre cette urgence à la population la motivera encore plus à ne pas temporiser.
Qu'on en fasse même l'un des enjeux majeurs du référendum. La population va soutenir cette idée de la nécessité de combattre l'immigration envahissante et dénaturante majoritairement. C'est un enjeu majeur qui vise la protection de la langue française, de nos valeurs fondamentales, de notre mode de vie avancé, et de notre identité collective historique. Comme on le voit, cela couvre pas mal d'aspects du fonctionnement quotidien de la société québécoise, qui sont mis en péril par ce surplus non désiré et difficilement intégrable issu du tiers-monde violent, corrompu et sous-civilisé, qui ne peut que nous faire reculer.
À lui seul, cet enjeu crucial que sont les problèmes liés à l'immigration débordante incontrôlée mérite de devenir le déclencheur du processus de la souveraineté nationale.
On a proposé ici un référendum portant sur l'immigration superflue comportant 10 questions éclairantes sur les intentions et volontés réelles de la population.
L'indépendance du Québec nous donnera les moyens d'action pour triompher de toutes ces embûches, et de nous aligner sur l'essentiel: la perpétuation du peuple québécois sur son sol natal qui pourra continuer de traverser les générations de père en fils pour atteindre son plein épanouissement.
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