Que veut démontrer Gérard Leduc avec cet article qui veut convaincre que Jacques Cartier ne serait pas le 1er Européen à venir en Amérique,sinon qu’il cherche des « poux » là où il n’y en a pas.Alors que nous tentons de fêter le « 400ème » anniversaire de Québec,nous trouvons sur la route de notre capiatle nationale, un grand nombre d’individus et de pseudo-historiens tentant de démonter, qui son fédéralisme, et cet autre, son assujettissement à la colonie Anglo-saxonne d’Amérique du nord !Que peut nous importer de savoir qu’un pêcheur de morue soit venu avant Jacques Cartier,ou avant Champlain, ou avec les Anglo-saxons, sinon à essayer de dévaloriser la fête que les citoyens et les citoyennes de la ville de Québec, desquels je dissocie les « Aristocrates fédéralistes et collaborateurs » des Anglais à toutes les époques depuis le traité de Paris et peut-être avant,les Québécois, dis-je, tentent de faire un succès malgré les interventions(et les millions$)« colonisatrices » du gouvernement d’Ottawa ?Que tous les Gérard Leduc et tous les Marcel Trudel aillent se rhabiller, nous n’avons que faire de leurs interventions
« malicieuses » et assujettissantes » qui ne visent qu’à « glorifier leurs maîtres » d’outre Outaouais » comme seuls des esclaves peuvent faire,tout en étant fiers de leurs mauvaises actions. « Historiens à genoux » n’attendez-pas votre délivrance qui ne saurait venir pour vous autrement que pas votre départ pour les cieux nuageux de la perfide Albion. Autre fois,on disait pour ces collaborateurs ,comme pour les « hommes politiques » collabos(puisque les femmes politiques n’existaient pas encore)qui se rendaient en Angleterre,allez vous faire « sirer » par la reine ou le roi d’Angleterre, nous n’avons que faire de votre « avilissement » caché sous de fausses prémices.N’attendez-plus que le « bateau coule » pour vous joindre à la famille « anglo-saxonne » partez rapidement afin de libérer l’espace géographique et politique à celles et ceux qui veulent vivre, et se développer dans un pays indépendant de langue française en terre des Amériques. Celles-là et ceux-là auront bien mérité de la « Patrie québécoise » qu’ils se seront donnée !