Inflation islamique

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Ravary devrait se renseigner au lieu de dénigrer les médias étrangers : les pétromonarchies du Golfe financent à coup de milliards l'islam politique en Occident


Partout sur Terre, le hijab a la même utilité que dans les pays islamiques : protéger les hommes du péché en dissimulant les cheveux de ces impudiques naturelles que sont les femmes.


C’est pourquoi je ne peux plus entendre les pro-hijab claironner : « Le Québec n’est pas l’Arabie saoudite. Ici, le hijab est un choix personnel. Arrêtons de comparer. »


Tant qu’à faire, l’excision deviendrait-elle plus acceptable au Canada si les femmes étaient libres de s’y soumettre ?


L’Institut national d’études démographiques français estime que 53 000 Françaises sont excisées. Rappelons que les mutilations génitales sont pratiquées sur des filles entre 10 et 15 ans, la plupart du temps par la force, même si aucun texte religieux ne l’impose.


Ça ne se relativise pas, pas plus que le hijab.


Infiltration


Je ne crois pas un instant qu’un complot civilisationnel se prépare pour imposer la charia au Canada. Je prends avec un gros grain de sel l’annonce de la création d’un parti islamique en Ontario rapporté par l’agence de propagande russe Sputnik. Certains en rêvent certes, mais y a-t-il péril en la demeure ?


Oui et non, mais l’infiltration de nos sociétés par l’islam politique prend des formes de plus en plus inattendues. Par exemple, Twitter surveille, au nom du Pakistan, les interventions d’activistes pour les droits de l’homme, même si la personne visée n’a aucun lien avec le Pakistan.


Ensaf Haidar, l’épouse du blogueur saoudien Raif Badawi, a reçu un avertissement de Twitter l’avisant qu’elle avait enfreint la loi pakistanaise alors qu’elle n’y a jamais mis les pieds. Le Wall Street Journal rapportait que Twitter a fermé le compte de la journaliste américaine de droite Laura Loomer pour avoir écrit que la nouvelle représentante au Congrès, Ilhan Omar, n’aime pas les Juifs. Vu ses écrits passés, cela se défend.


Et pour la liberté de parole, on repassera.